The duke of Burgundy
Réalisateur
- Peter Strickland (Réalisateur)
Bande annonce
Commentaires récents
Woaw, quel film. On ne s'attend pas à un amour aussi intense mais tellement spécial. Cette façon d'être aimé est surprenante. Ce film m'a tenu en haleine du début à la fin. Il est construit comme une oeuvre d'art avec des intermèdes où on étudie les papillons et les insectes. Ce film est juste woaw.
Par contre, je pense que son sujet peut déranger. Moi j'ai été gêné parfois pour Cynthia. Je n'aurais pas aimé jouer un rôle comme ça tout le temps. Mais elle le fait par amour et c'est beau. Vraiment ce film est étrange. Belle surprise, tant pour son originalité que pour sa perfection artistique à l'image et au son. De magnifique portraits, de magnifiques paysages, de très bonnes idées pour un sujet aussi tabou et spécial.
A voir si vous êtes ouvert d'esprit et tolérant.
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Le cinéma de Strickland est particulier. A la fois envoutant et repoussant, onirique et énervant...Ce film n'échappe pas à la règle. Tout au long du visionnage, le spectateur a envie de tout arrêter, et pourtant, il continue, encore un peu, encore...jusqu'au générique de fin qui lui fait poser plusieurs questions : qu'est-ce que je viens de voir ? je ne sais pas...est-ce que j'ai aimé ? je ne sais pas... Etrange.
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Date de sortie
The duke of Burgundy
- France : 2015-06-17 (Français)
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Editeurs
Les chiffres
| spectateurs | 6 |
| Commentaires | 2 |
| répliques | 0 |
| Evaluations | 3 |
| Note globale | 6.5 / 10 |
Synopsis
Pour son troisième long métrage, Peter Strickland s’intéresse à la relation masochiste entre deux femmes d’âge différent : l’une a la cinquantaine, l’autre une vingtaine d’années. Dans l’intimité, elles jouent à s’affirmer dans des rôles conjugaux fantaisistes, où la répétition et l’échange de casquette, donnent naissance à des mises en scène érotiques fascinantes. Oeuvre manipulatrice, " The Duke of Burgundy" est surtout une nouvelle expérience sensorielle de l’étrange, mais aussi une brillante étude des rapports de domination/soumission au sein d’un couple aimant et attentionné. En accordant bienveillance et crédibilité à des fantasmes considérés comme sordides, il dédramatise nos pulsions sexuelles et montre l’intimité d’une relation de couple sous un versant fièrement masochiste. Il nous invite malicieusement dans sa dialectique éprouvée : Cynthia, désireuse de faire plaisir à Evelyn en se glissant dans son rôle de dominatrice, devient elle-même esclave des caprices de son esclave…Un film unique, mystérieux, à la beauté formelle évidente.
sources : http://www.cinediagonal.com/node/1051
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