Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré
sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités
pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous
limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez
également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du
cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités
spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le
bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers
cinématographique.
Lorsqu’il fait la connaissance de Maria Altmann, un jeune avocat de Los Angeles est loin de se douter de ce qui l’attend… Cette septuagénaire excentrique lui confie une mission des plus sidérantes : l’aider à récupérer l’un des plus célèbres tableaux de Gustav Klimt, exposé dans le plus grand musée d’Autriche, dont elle assure que celui-ci appartenait à sa famille ! D’abord sceptique, le jeune avocat se laisse convaincre par cette attachante vieille dame tandis que celle-ci lui raconte sa jeunesse tourmentée, l’invasion nazi, la spoliation des tableaux de sa famille, jusqu’à sa fuite aux Etats-Unis. Mais l’Autriche n’entend évidemment pas rendre la « Joconde autrichienne » à sa propriétaire légitime… Faute de recours, ils décident d’intenter un procès au gouvernement autrichien pour faire valoir leur droit et prendre une revanche sur l’Histoire.
De l'art, de l'histoire, une enquête : tout ce qui fait un bon film à regarder sans interruption ! Et le jeu des acteurs ajoute une touche de perfection !
Un film historique qui nous bouleverse et nous touche avec violence.
En effet, nombreuses familles Juives ont été volées et pillés de leur biens durant la seconde guerre mondiale.
Le fait que ce film nous informe de cette infâme événement et de l'égoisme avec lequel les musées refusent de rendre des oeuvres à leur propriétaire, nous retourne l'estomac.
Les acteurs sont parfaits et je mets quiconque au défit de ne pas être touché par le passé de Maria, vraie symbole de femmes fortes et courageuses.
Ce qui selon moi fait de ce film une merveille, c'est dans un premier temps le choix des acteurs. Tous sans exception m'ont donné des frissons et ont joué sublimement leur rôle. Chaque personnage m'a transmis ses émotions au fil de l'histoire. Je les ais suivis dans leur passé, leur présent, et leur futur, qui sont tout trois entremêlés.
En effet, l'histoire de l'Holocauste, la question de la restitution de biens artistiques, mais aussi celle de la fuite dans un autre pays pour la suivie, sont les sujets qui ont été véritablement partagés par le biais de ce film. J'ai particulièrement apprécié les différentes étapes des personnages principaux dans leurs ressentis – Maria, jeune autrichienne juive qui tente de survivre à l'arrivée des nazis dans son pays, et que l'on retrouve bien des années plus tard avec le désir de renouer avec le souvenir de sa famille et de sa patrie. Randol, jeune avocat aux idées folles et à la détermination incroyable qui tente le tout pour le tout de lui aussi vivre dans le passé de ses ancêtres, et de rétablir une justice. On y découvre aussi différentes générations qui au départ ont chacun leurs propres convictions et leurs propres idées face à une Histoire qui leur est pourtant commune ; convictions qui petit à petit vont être largement partagées, leur permettant ainsi de recréer cette Histoire qui les unie.
Un retour dans le temps très bien réalisé
Le passage du présent au passé est également une pure merveille. Là encore le choix des acteurs me semble idéal, les ressemblances sont parfaites (ok, c'est peut-être une base pour un film du genre, mais je tenais quand même à le souligner). Les couleurs du films sont également superbes : le passé est coloré, mais subsiste une certaine 'chaleur ancienne' – vous savez, le filtre qu'on utilise pour vieillir les photos.. ! - rendant ainsi perceptible et subtilement proche l'Histoire de notre monde. La tension est palpable à chaque instant dans ce passé reconstitué, tandis qu'un autre combat se joue au présent : celui d'une justice souhaitée par les personnages principaux, et d'un cheminement vers le rétablissement d'une vérité.
Et puis ce qui en fait un coup de cœur...
La musique est par ailleurs sublime (merci Martin Phipps et Hans Zimmer), les personnages sont émouvants, les images magnifiques, l'histoire – vraie qui plus est – nous plonge dans une réalité qui finalement est la nôtre, particulièrement pour les générations futures (sans en exclure la mienne). En effet, nous nous devons, davantage encore aujourd'hui, de nous souvenir de ce qui s'est passé il y a à peine plus d'un demi-siècle – et pas seulement en Autriche. Comme le personnage de Randol au commencement du film, il nous est facile de croire que ce temps de la seconde guerre mondiale est loin. Pourtant, d'une certaine manière, c'est arrivé seulement hier. Nos grands-parents s'en souviennent encore et il est de notre ressort de perpétuer ces souvenirs afin de ne pas les oublier. Nous avons tendance à dire que l'on se souvient, que l'on n'oublie pas ce qui a pu se passer, mais je pense qu'il est indispensable de garder en mémoire le fait que tout peut recommencer si l'on ne fait pas attention. « Laisser au passé le passé » nous dit Maria, mais elle et Randol nous prouvent aussi qu'il faut se battre pour la justice et les souvenirs.
Dernier petit plus du film : il m'a permis de faire écho à certains cours que j'ai dans mon master, en terme de droit de la culture, ce qui indéniablement est très intéressant !
Comme vous l'aurez compris je pense, je vous conseille très fortement ce film qui apporte beaucoup en terme d'émotions, d'Histoire, ainsi que de devoir de mémoire.
J'ai beaucoup aimé ce film. Il aborde l'Histoire d'une manière originale, très humaine, avec de bons et de mauvais côtés. Maria souhaite à tout prix retrouver son passé et en sera finalement effrayée tandis que Randy est d'abord intéressé par l'argent, presque ennuyé par le cas, mais quand Maria lâche prise, c'est lui qui s'acharne. L'histoire comme la psychologie des personnages sont mis en avant d'une manière très agréable. Le film m'a même arraché quelques larmes.
Un sujet en or pour un film qui aurait dû être passionnant. Malheureusement, la réalisation est tellement plate et académique qu'elle gâche la vision du film. Les sentiments ont souvent du mal à passer malgré une interprétation correcte. Dommage. Reste tout de même de bons moments et une petite leçon d'histoire de l'Art. C'est toujours ça.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu un vrai coup de coeur pour un film ( dernier coup de coeur en date pour un dessin animé => Vice versa).
Ce film a tous les ingrédients d'un bon film: il a un bon synopsis, de bons acteurs, des musiques excellentes qui savent nous émouvoir, une superbe mise en scène ( excellent choix de la VO,on comprend mieux pourquoi il y a des allers retours entre l'allemand et l'anglais).
J’ai tout simplement adoré l’intrigue et je me suis laissée porter par celle-ci. Maria, vieille dame un peu autoritaire, suite à la mort de sa sœur découvre que celle-ci faisait des démarches afin de récupérer les tableaux exposés dans l’appartement familial à Vienne. Elle fait appelle au fils (Randol Schoenberg, dit Randy) d’une amie qui est avocat. Celui-ci est sceptique et ne souhaite pas vraiment l’aider au début. Puis, au fur et à mesure qu’il s’attache à Maria, il commence à prendre son dossier au sérieux. De là commence leur quête (oui pour moi ça tient un peu de la quête tant tout paraît difficile et voué à l’échec) qui les mènera de Los Angeles à Vienne puis à la Cour Suprême des États-Unis puis à Vienne encore une fois.
Au cours de leur périple, ils croiseront des personnes aussi bien prêtes à les aider (Hubertus Czernin, journaliste autrichien) qu’à leur barrer la route. Il faut dire que l’enjeu est de taille : un des plus célèbres tableaux de Klimt, le portrait d’ Adèle Bloch Bauer.
Au fil du film, la psychologie des personnages évolue. Les rôles parfois s’inversent. Ainsi, Maria, au début, est véritablement le moteur. Elle veut récupérer ce tableau, sûre de son bon droit, et ne laisse pas Randy en douter. Elle le pousse à la suivre et le convainc peu à peu. Toutefois, elle a aussi ses faiblesses, et son passé pèse lourd sur ses épaules, notamment sa fuite de l’Autriche en laissant derrière elle ses parents, ses amis, sa vie…
Randy quant à lui est le petit-fils du célèbre compositeur Arnold Schönberg. Jeune avocat il n’a pas au début très envie de suivre le dossier de cette vieille dame. Puis, se rendant compte de la valeur des tableaux, il se laisse convaincre. Détaché du passé et de l’Histoire, son voyage à Vienne va faire remonter en lui son histoire familiale étroitement liée à l’Histoire. Ainsi, un basculement s’opère et pour lui il devient nécessaire de faire en sorte que Maria récupère son héritage.
J’ai beaucoup apprécié lors du film les différents flash-back. Le passé au coin d’une rue de vienne se mêle au présent. Les souvenirs de Maria se mêlent à l’histoire et nous aident à comprendre ce qui a pu se passer, les hésitations de Maria, sa force etc. Les flash-back s’insèrent très bien dans le film et ne gênent en aucun cas le déroulement de l’histoire.
Film extrêmement prenant et émouvant. Tant l'histoire que la réalisation nous mettent dans une émotion intense. Basé sur une histoire vraie très intéressante.
Synopsis
Lorsqu’il fait la connaissance de Maria Altmann, un jeune avocat de Los Angeles est loin de se douter de ce qui l’attend… Cette septuagénaire excentrique lui confie une mission des plus sidérantes : l’aider à récupérer l’un des plus célèbres tableaux de Gustav Klimt, exposé dans le plus grand musée d’Autriche, dont elle assure que celui-ci appartenait à sa famille ! D’abord sceptique, le jeune avocat se laisse convaincre par cette attachante vieille dame tandis que celle-ci lui raconte sa jeunesse tourmentée, l’invasion nazi, la spoliation des tableaux de sa famille, jusqu’à sa fuite aux Etats-Unis. Mais l’Autriche n’entend évidemment pas rendre la « Joconde autrichienne » à sa propriétaire légitime… Faute de recours, ils décident d’intenter un procès au gouvernement autrichien pour faire valoir leur droit et prendre une revanche sur l’Histoire.
Afficher en entier