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Le Huitième Jour est un film belgo-franco-britannique1 écrit et réalisé par Jaco Van Dormael, sorti en 1996.
Harry, cadre ultra-dynamique, a sacrifié à sa carrière sa vie de famille et son mariage avec Julie, avec qui il a eu deux filles. Une nuit, il écrase accidentellement un chien. C'est celui de Georges, un trisomique qui s'est évadé d'une institution pour retourner chez sa mère. Harry accepte de le conduire chez celle-ci. Or, il s'avère que la mère est décédée depuis des années. Harry emmène alors Georges chez sa soeur, Fabienne, qui ne veut pas de lui. Il décide donc de le ramener à l'institut. Auparavant, ils passent chez Julie.
Le Huitième Jour est un très beau film qui raconte la rencontre entre Harry, un homme qui ne vit que pour sont travail et un homme atteint du Syndrome de Down, George.
Ce film montre le handicap avec un œil nouveau. On prend conscience du rejet des personnes qui peuvent avoir un handicap par la société, mais aussi de la manière dont ces gens peuvent le vivre. C'est une très belle histoire, qui porte à réfléchir.
Un chouette film, qui a un peu vieillit mais qui reste très beau malgré quelques longueurs. Qui donne un regarde neuf sur notre quotidien s'il est ennuyeux et sur nos priorité ainsi que sur le handicap même si j'espère que depuis lors la société et les gens ont changé (un peu du moins) parce que la réaction de tous les protagonistes est débile, horrible et vraiment inappropriée.
Un film qui ne laisse pas indifférent, un peu simple parfois mais tellement humain dans le fond que c'est bon tout de même.
Pascal Duquenne est vraiment bon dans son rôle et c'est bien dommage que les personnes handicapées n'apparaissent pas un peu plus dans le cinéma d'aujourd'hui.
Daniel Auteuil est bon aussi même si j'ai trouvé que son personnage acceptait un peu trop vite Georges. Mais entre lui et ses enfants qu'il ne voit plus, c'est acceptable.
On voit dans ce film : la rencontre, les disputes, tout ce qui fait qu'une amitié débute et lasse comme deux bouts d'un lacet sur une chaussure.
Nos amis sont des enfants, des personnes âgées, des jeunes, des adolescents, des pères, des mères, des personnes en situation de handicap, qu'importe puisque l'essentiel, c'est l'âme.
Le Huitième Jour est un très beau film qui raconte la rencontre entre Harry, un homme qui ne vit que pour sont travail et un homme atteint du Syndrome de Down, George.
Ce film montre le handicap avec un œil nouveau. On prend conscience du rejet des personnes qui peuvent avoir un handicap par la société, mais aussi de la manière dont ces gens peuvent le vivre. C'est une très belle histoire, qui porte à réfléchir.
Synopsis
Le Huitième Jour est un film belgo-franco-britannique1 écrit et réalisé par Jaco Van Dormael, sorti en 1996.
Harry, cadre ultra-dynamique, a sacrifié à sa carrière sa vie de famille et son mariage avec Julie, avec qui il a eu deux filles. Une nuit, il écrase accidentellement un chien. C'est celui de Georges, un trisomique qui s'est évadé d'une institution pour retourner chez sa mère. Harry accepte de le conduire chez celle-ci. Or, il s'avère que la mère est décédée depuis des années. Harry emmène alors Georges chez sa soeur, Fabienne, qui ne veut pas de lui. Il décide donc de le ramener à l'institut. Auparavant, ils passent chez Julie.
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