Activité récente
Editeurs
Les chiffres
spectateurs | 4 |
Commentaires | 0 |
répliques | 3 |
Evaluations | 0 |
Note globale | 0 / 10 |
Cher Cinéphile,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe CineNode
spectateurs | 4 |
Commentaires | 0 |
répliques | 3 |
Evaluations | 0 |
Note globale | 0 / 10 |
Synopsis
"En 1959, Vittorio Gassman demande à Pasolini une traduction de l’Orestie d’Eschyle, pour une mise en scène avec Luciano Lucignani et le Teatro Popolare Italiano au Théâtre Grec de Syracuse. Œuvre d’un poète, la traduction est de ces « belles infidèles » qui s’imprègnent avec bonheur de l’univers esthétique et théorique de leur traducteur. Quelques années plus tard, Pasolini approfondit cette « réappropriation » du texte d’Eschyle : entre 1968 et 1970 il tourne en Afrique et à Rome un film hors norme, un Carnet de notes pour une Orestie africaine, présenté comme une suite de notes filmées sur un film à faire. Œuvre hybride, polyphonique, qui tient du collage et fait de l’inachevé la structure même du film, le Carnet de notes est un splendide objet non identifié, une expérimentation formelle qui paya cher sa modernité et entra an panthéon des films maudits, refusés par la distribution cinématographique et par la télévision."
Synopsis Critikat
Afficher en entier