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Hasta el sol tiene manchas



Description ajoutée par titine59400 2017-02-23T19:30:13+01:00

Synopsis

Depuis ses premières fictions, Gasolina (2008) et Marimbas del infierno (2010), très remarquées, Julio Hernández Cordón reste fidèle à son univers. Des adolescents en déroute, soumis à la nécessaire débrouille ; le comique superposé au pathétique ; un regard documentaire organisant une fiction délibérément ouverte ; l’usage de ces figures perdues comme allégories implicites du destin du Guatemala. Ce dernier opus ne déroge pas à la règle, même si, pour la première fois, tout est signé par l’artifice : tournage en studio, décors en deux dimensions, couleur jaune souveraine, utilisation de masques, schématisation des personnages et des situations, renvoi politique direct (une séquence d’archives ouvre le film), etc.

Parmi la petite tribu qui peuple allègrement cette fable, deux personnages se distinguent. Pepe Moco, handicapé mental, fait la publicité pour un candidat aux présidentielles qui a promis d’organiser au Guatemala sa Première Coupe du Monde de football. Beto est un gamin qui arpente une ville dessinée à la craie, pour y graver sur ses murs son mécontentement, tout en agressant les passants à coups de balles. Les deux deviennent rapidement complices, pour évoquer tant le passé que le présent d’un pays qui fait mal. Mais, une fois encore, ce scénario minimal sert d’alibi à fabriquer une œuvre qui mélange, comme chez Brecht, bien des registres, tous joyeusement « distanciés » : une poésie aux accents mélancoliques, des déclarations sur le cinéma, la possibilité de faire un film entre amis. (Jean-Pierre Rehm, délégué général du FID)

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