Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré
sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités
pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous
limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez
également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du
cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités
spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le
bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers
cinématographique.
L'adolescence de Marcel, sa découverte de l'amour, son retour à l'amitié et les grands départs pour ses chères collines où, pour arriver plus vite, toute la famille passe en cachette sur un domaine privé.
Aussi indispensable que "La gloire de mon père", cette suite directe est un bijou. La phrase de fin, que je me garderai bien de vous spoiler ici, met un point final sublime et bouleversant à cette adaptation de l’œuvre de Pagnol. Incontournable.
J'attendais de voir ce que Nathalie Roussel allait arriver à faire dans Le château de ma mère et je n'ai pas été déçu. Si elle avait déjà quelques passages intéressant dans La gloire de mon père, être enfin le personnage principal lui donne l'occasion de retraduire ce que l'auteur avait écrit sur sa mère.
Entre les bons moments du début, la triste fin vite évoquée et le souvenir d'Augustine quand Marcel adulte redécouvre le château de la peur, c'est des moments de poésie et d'émotion qu'elle a réussi à faire paraître, le tout accompagné par la musique toujours excellente et inoubliable de Vladimir Cosma. Un excellent souvenir cinématographique.
C'est toujours un plaisir de regarder la série des Marcel Pagnol. Pour celles et ceux qui ont lu les livres dans leur enfance, c'est un agréable retour aux sources.
Super film comme le premier. Marcel retourne dans les collines avec sa famille et retrouve son ami Lily et rencontre une jeune fille plutôt hautaine qui construit une relation avec Marcel basée sur un mensonge.
J'ai beaucoup moins apprécié ce film là que la gloire de mon père, certainement parce qu'il est beaucoup plus triste et que je n'ai pas aimé la fin. Le ton est moins léger, moins innocent, même si les acteurs restent toujours aussi touchants.
Après la gloire du père, Yves Robert nous offre cette suite des souvenirs d'enfance de Pagnol. On retrouve donc avec plaisir, Joseph, Marcel, Paul et surtout Augustine toujours excellemment jouée par Nathalie Roussel. L'amour du fils pour sa mère est très bien traduite dans ce film et la fin est d'une tristesse... Le temps qui passe emporte tout et le réalisateur a très bien réussi à nous retranscrire cela. Il faut profiter de ceux qui nous sont cher avant qu'il ne soit trop tard.
Un excellent souvenir de cinéma, même si le premier était mieux.
Synopsis
L'adolescence de Marcel, sa découverte de l'amour, son retour à l'amitié et les grands départs pour ses chères collines où, pour arriver plus vite, toute la famille passe en cachette sur un domaine privé.
Afficher en entier