Commentaires

Une larme.

Ce film m'aura fait verser une larme.

Je ne pleure jamais devant un film, jamais.

Aucun film n'est parvenu à m'arracher une larme.

Sauf celui-là. Et deux autres films pour lesquels une larme aura coulé aussi. Ni plus, ni moins.

Je l'ai vu il y a plusieurs jours, mais il est resté gravé au fer rouge dans mon esprit.

Je ne cesse d'y penser.

De voir certaines séquences défiler devant mes yeux.

La scène du repas familial m'a donné envie de vomir.

Edward Furlong m'a rappelé quelqu'un.

Edward Norton est détestable, je l'ai haï.

Le noir et blanc est épuré, glacial, presque tranchant, opposé aux couleurs, qui elles se révèlent chaleureuses.

Avec ce film, on comprend véritablement le sens de ce que veut dire : « Avoir la haine. »

Il s'agit d'un cercle vicieux. Qui te happe et t'aspire.

Tout le monde le sait.

Mais ce que tout le monde ne sait pas, c'est comment en sortir.

J'ai eu la haine en regardant ce film.

En y repensant, je me suis reçue un coup de poing en pleine face et je me suis souvenue qu'avoir la haine, c'est une perte de temps.

Un film poignant qui marque les esprits dans tous ses aspects. Certaines scènes choquent, d'autres nous émeuvent aux larmes, mais au fond ce film est représentatif de la réalité. Un superbe film qui montre les tréfonds dans lesquels la haine peut emmener.

Les films de ce genre sont vraiment rares. Il est super intelligent, sans en être chiant. Il fait vraiment réfléchir et les personnages sont super attachants. Je me suis retrouvée en pleurs à la fin, sans vraiment savoir pourquoi. Peut être parce qu'on est confrontés à cette injustice, cette étroitesse d'esprit qui crée le racisme. Je trouve ça révoltant, ça me met tellement en colère...

Film très dur et choquant mais a voir absolument qui prouve une fois de plus que la haine ne résout rien. Bravo à Edward Norton pour sa performance.

un film qui vous retourne, une vrai réflexion sur le racisme et l'endoctrinement. Simplement grandiose. Les acteurs sont irréprochables. Il s'agit de l'un des rares films qui m'ont fait verser une larme. C'est un film qui fait réfléchir et qui passionne autant qu'il captive.

Une vraie claque sur un thème malheureusement toujours d'actualité. Le traitement en flashs-back avec passage en noir et blanc donne une atmosphère glaçante. Les deux Edward (Norton et Furlong, qui m'avait déjà impressionné dans Little Odessa) sont stupéfiants, et le lien qui unit leurs personnages est touchant. C'est un film où se rencontrent la violence (physique/verbale) et des moments de respiration, où soudainement tout devient plus facile à encaisser (je pense à la rencontre de Derek avec un noir en prison, à la scène où Spoiler(cliquez pour révéler)les frères enlèvent leurs posters et étendards nazis). C'est un film poignant, terrible mais émouvant, qui porte un regard lucide et souvent froid sur nos sociétés contemporaines. Je crois pouvoir dire qu'"American History X" est un film rare, qui fait mal mais qui est fantastique à regarder d'un point de vue cinématographique. Si je devais mettre un bémol, ce serait le fait que l'on voit des meurtres de sang-froid des noirs par les blancs, mais pas l'inverse. Car Spoiler(cliquez pour révéler)même quand à la fin, Danny se fait tuer, son meurtrier semble apeuré par son geste. Il manquerait donc un équilibre pour montrer que ces extrémités sont bien présentes des deux côtés.

Ce film nous laisse sans voix.

Edward Norton, dans l'un des ces plus grands rôles nous prouve qu'un individu influencé par les idéologies raciales de son entourage peut devenir quelqu'un de bien.

La mort de son père et ces idéologies feront de Derek (Edward Norton) un homme influençable, doté d'une extrême violence et de haine.

Il fera tout pour protégé sa famille et nous le montre à travers l'amour qu'il porte pour son petit frère Danny (Edward Furlong).

Il sympathise avec un afro-américain et se confronte avec ses propres idéologies.

Il réussit à sortir Danny de toute cette monstruosité, de cette haine, à faire de lui un jeune homme bien, ayant un grand avenir, mais fini par le perdre.

Le drame et les revirements intérieurs font de ce film un très grand classique qui nous donne une véritable leçon de vie : "La haine est une saloperie".

Le travail de la mise en scène en incluant l'usage du noir et blanc pour différencier l'instant présent du passé est excellent. Mais elle sert aussi à différencier le positif du négatif.

Tony Kaye réussit à nous prouvé que l'amitié, l'amour, jouent un grand rôle, font de nous des personnes biens, et la haine nous détruit.

C'est un film que je conseille à tout le monde, surtout aux jeunes ados qui sont dans la construction identitaire et sociale. C'est une histoire forte et puissante, qui pousse à réfléchir sur un sujet très important. Edward Norton est magistral dans ce rôle, et le jeune Edward Furlong ne démérite pas.

Ce film m'a mis une grosse claque, et sans ménagement.

Je m'attendais à ce que ce soit violent (comment ne pas s'y attendre avec un film sur ce thème?) mais certains moments m'ont tout de même fait plisser les yeux.

Ce qui rend ce film étrangement fantastique est le charisme d'Edward Norton dans son rôle; bien qu'il joue un connard fini, disons le franchement, on évolue avec lui tout au long du film... jusqu'à le prendre en pitié et même l'apprécier.

Parallèlement à Derek, un autre personnage que j'ai trouvé très touchant est Danny. Il a un regard très mélancolique par moments, très expressif et émouvant.

Le système de narration du film, et puis l'utilisation du noir et blanc et de la couleur d'après les époques, qui partagent vraiment la haine et l'évolution vers un meilleur soi, m'ont beaucoup plu. Ils contribuent à faire du film un véritable récit qui nous emporte...

J'ai été totalement scotchée.

C'est un film très long, très dur à regarder aussi au niveau émotionnel...