Commentaires de films faits par Cellophane
Répliques de films par Cellophane
Commentaires de films appréciés par Cellophane
Répliques de films appréciées par Cellophane
C’est vrai, il y a du rigolo nawak, des références à des films SF, de l’irrévérence, de l’humour déjanté…
Sauf que c’est un peu trop tout.
Trop répétitif, trop long, cette course-poursuite.
Trop de références à d’autres films, c’est plus du clin d’œil, ça frise la parodie mais sans aller aussi à fond que les Scary Movie ou Hot Shots, trop timoré…
C’est trop sage pour avoir le côté déjanté crade de la série Happy mais c’est trop léger pour être comme un Men in Black.
Donc c’est gentillet à regarder mais pas ultra palpitant non plus.
Le vieux relou Michel Blanc qui se fait aux autres, l’école à sauver, la vie du village…
Mais sans surprise également, on s’attache aux personnages, on a envie de les voir réussir, on s’émeut de les voir s’entraider, on vibre pour que leur petit coup réussisse, on trouve mignon le vieux Michel Blanc qui se fait pote avec des jeunes…
Alors ça va pas forcément super loin, mais ça met bien en avant le problème des petits villages pour survivre et ça joue super bien sur le positif de la solidarité.
Alors c’est mignon et sympa à suivre.
Donc, on est d’accord, le noir et blanc est très joli, les comédiens sont impeccables, la bande son est super chouette.
Mais bon, voir une femme souffrir pendant 1h45, c’est moyennement mon délire.
La situation posée, ça évoluerait…
Mais non, on suit Delia tout ce temps à faire bonne figure, maltraitée par son mari, malmenée par son beau-père, dédaignée par une des femmes qui tricotent, méprisée par sa fille, ignorée par ses fils relou…
Ben c’est assez étouffant et je n’ai pas arrêté de penser « barre-toi » pendant tout le film…
Ah, elle a bien une copine qu’elle voit parfois et un vieil amour raté que oh la la t’aurais pu avoir la belle vie mais non, pas de bol…
Tous les mecs sont pareils, y’en a à peine un pour relever le niveau, à part le black.
Bref, très étouffant et appuyé.
Avec une fin, certes, assez jolie, et dans l’idée et dans l’esthétique du film…
Mais qui arrive comme un cheveu sur la soupe, comme si à la fin d’un film de James Bond, tout d’un coup, on comprenait que toute son aventure était pour danser en tutu dans un ballet.
Rien n’amène à cette fin qui, pour moi, n’a rien à voir avec le film…
Et la scène où le mari bat sa femme comme s’ils dansaient, oui, c’est joli, c’est original, mais ça minimise vachement la douleur de la femme battue dont les ecchymoses disparaissent aussitôt. Bon après, vu l’ambiance, je ne sais pas si on avait en effet besoin d’une scène plus dure…
Deux types un peu looser, un peu nature, qui ne reculent devant rien pour aller au bout de leurs idées.
Un gros délire où tout s’enchaîne en mode n’importe quoi, on n’hésite devant rien (la palme au minibus de Scooby) et on se fiche de toute vague cohérence.
Clin d’œil à plein d’autres films, avalanche de stars…
C’est amusant, comme les autres, mais un poil long pour un délire…
Ce monde différent du nôtre est suffisamment bien créé pour être crédible et fonctionner.
L’idée de tous ces gens qui disent la vérité est très drôle en soi pour les situations générées et totalement impossible dans notre monde à nous, mais aussi pour l’inventeur du mensonge.
C’est drôle, efficace et ça tient super bien.
Après, les vingt dernières minutes m’ont moins branchées, on retombe dans de la romance classico-banale…
Mais l’ensemble est un bon moment.
4 ou 5ème film que je vois de lui et, à chaque fois, je retrouve le côté esthétique, des décors, des mouvements de caméra, des ralentis, des déplacements des acteurs qui ont généralement toujours des personnages forts et classes.
Là, ça ne manque pas, on a le jackpot, tout y est.
Le film avance sans temps mort, alternant les passages d’action réussi, les scènes d’humour, les révélations en veux-tu en voilà.
Sam Rockwell s’éclate dans son rôle, plus peut-être encore que les autres qui offrent un film distrayant et intelligent.
Excellent divertissement.
D’habitude, je marche bien aux film de Ferrel – pour ceux que j’ai vu, il réussit toujours à créer des personnages délirants, drôles, réussis.
Là, c’est pas qu’il ne soit pas marrant : c’est qu’il n’est pas intéressant, pas plus que celui de son frère.
Ça ressemble à du Mayne’s World, mais sans le pep’s, le délire amusant qui donne envie de les suivre…
Alors comme en plus, la musique de l’époque qui meuble ce film creux n’est pas mon truc, j’ai pas franchement accroché…
Un de ces films qui proposent des réflexions sur la vie, le couple, la société, la jeunesse, tout ça…
Qui se prend à philosopher là-dessus sans avoir de réponse, juste en blablatant et s’étalant en montrant des scènes sans intérêt qui se suivent…
C’est assez creux, il n’y a pas de réelle évolution, j’ai juste l’impression de voir des gens qui ont trop bu en train de refaire le monde…
Quand on bascule sur l’authenticité du documentaire, ça reste globalement assez fade
Bof.
Le film n’a jamais attiré mon intérêt à cause de scène trop plate et de dialogues fades.
Ça se confirme.
Histoire qui peut vouloir tirer vers l’acceptation de l’autre, la surpopulation, le manque de nourriture…
Mais qui s’avère finalement juste être un film sur des vampires qu’oh là là on peut les guérir et les rendre à nouveaux humains en les exposant au soleil !!!!
Des millions de films, d’histoires, d’années à nous dire que le soleil tue les vampires et là, paf, si on n’y reste qu’un certain temps précis, pouf, on guérit !
C’est trop appuyé, ça se prend trop au sérieux, pour une histoire finalement peu intéressante dans laquelle je ne suis jamais entré.
C’est un principe déjà vu, plus ou moins bien.
Là, on est dans la moyenne, voire qui tire légèrement vers le bas.
Pas de lien époustouflant entre les deux vies – à part, peut-être l’accident.
Mais rien de trop badasse génial, juste deux histoires d’amour qui se suivent mais sans être ultra palpitantes…
Sympa sans plus.
Après, c’est dit dans le pitch, hein… On a quand même des castors zombis, c’est dire que ça va être nawak.
Et ça l’est.
Au plus haut point, avec des castors qui ressemblent à de pauvres peluches moches…
C’est du second degré totalement assumé dans le décalé.
L’inconvénient, c’est que passé la « surprise » du début, ça tourne assez vite en rond et ça devient classique. Comme c’est volontairement nul, ça double quand même les inconvénients et même à 1h15 de film, j’ai trouvé ça trop long.
Mais nul doute qu’en bande de copains, on doit passer un bon moment…
On a une première et longue partie qui n’a rien à voir avec un film d’horreur, c’est plus entre le thriller ou le drame intimisto-indépendant.
Un peu mou, un peu long, un peu moyennement intéressant.
Une mini-partie de bascule où le jeune devient comme le vieux, ça pourrait être sympa dans l’idée de transmission, formation, mais bof et trop court.
Et on bascule effectivement dans la tendance film d’horreur mais tellement nawak venue de nulle part que ça marche pas.
Un film étrange qui satisfera ceux qui aime l’originalité bizarre…
Il y a une idée avec ce passé, ces souvenirs ; il y a une ambiance ; il y a un malaise avec ces gens qui disparaissent…
On pourrait presque aller à dire que c’est correctement joué.
Hélas, le scénario est un peu confus, embrouillé. Il mélange des scènes sans intérêt avec des révélations qui arrivent d’un coup, s’étale beaucoup trop sur l’ambiance ado débile, amène assez mal ses scènes d’angoisse…
Ça fait un peu brouillon et la bonne idée (avec un final pourtant pas mauvais) se dilue dans l’ensemble alors que les scènes effrayantes sont pourtant plutôt bien réussies.
Ce côté Harry et Sally, revisité par la paternité d’un enfant, ce côté Tootsie avec le secret qu’on n’arrive pas à dire et qui ne fait qu’empirer la situation…
Ça marche globalement bien, c’est mignon, ça se suit avec plaisir…
Mais c’est aussi un peu mou.
Il n’y a aucune scène qui prenne vraiment aux tripes, qui réjouisse à fond.
Ça avance, on ne s’ennuie pas, mais on ne s’enthousiasme pas non plus outre mesure.
Un peu sage…
On reste dans l’excès des personnages, mais comme ils commencent à devenir nombreux, il y a plein de scènes variées qui font qu’on ne s’ennuie pas.
Et puis Jessica Alba, si son personnage est classique, maîtrise bien celui-ci et est bien sympa à suivre.
L’humour est moins bas de plafond que les autres fois…
Bref, ça s’agite toujours mais c’est plus convaincant.
C’est amusant de suivre leur amitié naissante et le développement de leur relation, de leur rencontre à leur sororité.
Bon, le souci, c’est qu’une fois qu’elles sont toutes d’accord, ça tombe un peu à plat. Rien d’exceptionnel, pas de plan dingue ou alors confus…
C’est donc agréable mais ça cesse de surprendre aux deux tiers, c’est dommage…
A regarder quand on est malade, qu’on a bien mangé ou qu’il fait moche dehors et qu’on n’a rien d’autre à faire…
Bon, on finit par s’attacher aux personnages mais l’ensemble est super bavard et peu intéressant.
On prend un postulat de base (les mecs sont cons) pour arriver à un final banal et idiot (les femmes veulent leur con et reviennent en pardonnant) que l’on étire avec plusieurs personnages. La même chose sur le fond, légèrement différent dans la forme, mais c’est pareil.
On enchaîne donc des scènes avec un intérêt moindre (le seul truc qui m’a fait marrer, c’est Kevin Hart et sa suite de luxe).
Pour le reste, c’est entre guimauve et plat banal.
Déjà, bon, le scénario ne casse pas des briques, avec cette histoire basique de chaque à l’homme plan plan.
Mais surtout, les effets spéciaux sont assez médiocres.
Et, pire, le jeu est très mauvais !
On se croirait dans les productions à la chaîne de TF1 qui diffusait des reconstitutions mal faite et mal jouée le matin…
La réalisation ne vaut pas beaucoup mieux…
On dirait un petit film de potes qui s’ennuient le week-end… Mais ça ne présente aucun intérêt de jeu, de réalisation ou de narration…
Sauf que c’est vachement plat…
Pas de suspense particulier, pas de scènes traumatisantes ou gore…
C’est une sorte de thriller un peu extrême mais assez sage et mou…
Alors oui, il y a bien une petite surprise, un final intéressant et logique, mais l’ensemble manque d’attrait et d’intérêt…
Je m’étais endormi devant le premier, j’avais conclu que c’était pas un bon jour et j’ai laissé une chance au second.
Eh ! Ben autant je suis assez fan de Toy Story, autant ces personnages de musée qui prennent vie la nuit, j’y arrive pas.
Ça me dépasse.
Je rentre absolument pas dans le truc, je trouve juste que ça s’agite dans tous les sens sans réel intérêt…
Je ne nie pas, c’est bien fait dans les trucages, les personnages sont marqués, mais j’ai l’impression de regarder un film pour enfant l’aprem d’un jour férié sans parvenir à agripper quoi que ce soit : Ben Stiller ne m’intéresse pas, l’histoire me paraît molle et pas prenante, les personnage du musée ne me font pas rire, je me fiche de la tablette…
Bref, je passe à côté.
J’ai vu Tenacious D in The Pick of Destiny, c’était très drôle.
Wayne’s World ou autre film déjanté, sur le rock, le hard, le délire, m’ont bien fait rire.
Là, j’ai trouvé ça creux, fade, redondant, des petits bouts de rien mis bout à bout…
J’ai peiné à suivre par manque d’intérêt…
Un groupe de rock qui se reforme, chacun se cherche dans la vie, les copines, le boulot…
Ben oui, mais c’est assez plat tout ça…
C’est pas déjanté, c’est pas hilarant, c’est pas fou, y’a pas de révélations, d’enjeu hyper prenant…
Ça se suit mais c’est très banal.
Au moins, c’est dynamique, il y a quelques scènes rigolotes à partir du milieu du film, la première moitié s’étirant un peu…
Ça passe.
Les scènes se suivent, sans vraiment d’éclat pour une comédie, sans vraiment être prenant pour un drame, sans réellement être mignon pour du romantisme…
C’est tout plat, pas réellement intéressant…
En fait, cette femme (Jessica Alba) qui quitte son mec (Pierce Brosnan), sans que celui-ci soit particulièrement gênant et qui fait vaguement quelques histoires… C’est tout plat, ça ne mène nulle part de foufou, Brosnan qui se met avec Salma Hayek, c’est fade, on n’y croit pas vraiment, on n’est pas franchement ému…
Comme Starter For 10 ou Mademoiselle Detective, le réalisateur ne prend pas de risque et développe mollement une histoire peu intéressante…
L’avantage, c’est qu’il se passe toujours plein de choses puisqu’on suit plus d’une vingtaine de personnages. Pas de temps mort, la petite vieille rigolote, le mec coincé amusant, le petit couple mignon, le stagiaire, le vigile black qui se la pète un peu, les rayons peinture, jouet, etc.
L’inconvénient, c’est que chaque personnage est un peu caricatural, pas le temps de développer une personnalité complexe ou une réelle évolution. Tout le monde est assez simpliste et d’un bloc.
Et puis l’histoire est vraiment hachée à suivre tout ce petit monde, on passe rapidement d’une formation à un changement, du saut à l’élastique à Noël, du déguisement de Carnaval au marathon…
Au final, on a quelque chose de sympathique, pas désagréable en soi parce qu’on a plein de petits « sketchs », mais une trame un peu faible, pas aboutie, dont le message n’est pas clair : tous ensemble, on s’en sort ? A quoi bon puisque le système est pourri ? Il y a des patrons sympas ? Quoi qu’on fasse, les gens ne s’entendront pas ?
Gentillet.
Des aventures, des thrillers, des films d’horreur, des comédies, des drames romantiques…
Je ne suis pas sûr d’en avoir vu un si mauvais.
Le retour à la fac de ces types-là n’a pas de justifications convaincantes.
Le bras de fer avec le doyen qui a leur âge ne tient pas la route une seconde.
On a droit à une débauche de scènes inutiles et pas drôles pour justifier leurs fêtes avant que ce duel ne prenne vraiment de l’ampleur pendant 3 minutes.
Je n’ai pas compris l’intérêt de donner des cours de fellation plus que suggestif à cinq femmes…
J’ai pas compris.
Ça m’est passé au-dessus, c’est pas drôle, c’est pas intéressant, ça ne donne pas envie de se retrouver sur un campus américain à faire la fête, ça donne juste envie d’oublier le film.