Wayne's world, Wayne's world, party-time, excellent !

"J'ai le cul sur le fil du rasoir...Un pet de travers et j'monte au ciel"

"Le jour où je serai dans le trou, tu viendras pas m'déterrer pour me faire la bise !"

"Les amis, c'est comme les sous, quand on commence à plus
pouvoir les compter, c'est qu'on en a de trop !"

"Quelle époque de cinglés : va bientôt falloir un diplôme pour dénoyauter les cerises"

"C'est d'la prune avec un dé à coudre d'alcool à brûler, pour pas
que le bouchon colle au goulot"

"T'as vraiment rin dans les pattes, même un flamant rose
avec une tendinite il y arriverait !"

Don't lose your head.

Aaah, Mirette. Le fidèle serviteur non voyant qui fait le guet en haut d’un arbre : « A vue de nez, il n'y a personne."

- Mirette voici Atchou, un jeune maure en vacances.
- Un accident de ski ?
- Non un maure, pas un mort !

Enseigner la philosophie pour moi, c'est comprendre qu'on ne comprendra jamais rien d'autre que notre propre incapacité à comprendre notre incompréhension.

- Des culs !....Y a des culs partout !!!
- Oui, j'ai vu passer quelques culs.

Le premier souvenir que j’ai de ma mère c’est quand j’avais quatre ou cinq ans. Elle nous appelle, mes deux frères et moi, pour le dîner en disant : "Les garçons et Guillaume, à table !" et la dernière fois que je lui ai parlé au téléphone, elle raccroche en me disant : "Je t’embrasse ma chérie" ; eh bien disons qu’entre ces deux phrases, il y a quelques malentendus.