Commentaires de films faits par wind-of-river
Répliques de films par wind-of-river
Commentaires de films appréciés par wind-of-river
Répliques de films appréciées par wind-of-river
- Maintenant, il y a des fruits sophistiqué ?
- C'est des hybrides d'autres fruits, ils sont adaptables comme moi.
- Mandarine ?
- Tu saignes.
- Merde. Merde ! J'ai buté qui ?
- Trouve une lingette.
- C'est pas mon sang.
- Ah ?
- Je saigne jamais.
- Ouvre ton manteau, qu'on voie bien.
- Je montre ma cravate.
- T'es con ou quoi ?
Couvre toi, ça attire l'attention.
- Moins que nos noms de code débiles.
Comme fruits, y avait pomme, orange...
Un marais est un lieu de lumière où l'herbe pousse dans l'eau et l'eau s'écoule dans le ciel.
Mais au sein des marais, ici et là, se trouve de vrai marécage.
Le marécage sait tout de la mort et il ne la considère pas forcément comme une tragédie, encore moins comme un péché.
- Tu ne "religionnes" pas ?
- Non. J'ai de fortes croyances, mais j'aime pas vraiment... j'aime pas vraiment la religion.
- Je ne vais plus à l'église.
- Vera aimait y aller ?
Depuis quelques semaines, un vieux poème de l'école, appris avec Mme Stoddard, me tourne dans la tête. Je ne sais plus si on avait dû l'apprendre par cœur. Il s'appelait "Thanatopsis". Je me rappelle de ce morceau :
Alors, vivez
Tant que vous n'avez pas été enjoint
De rejoindre la caravane innombrable
Qui se dirige vers ce royaume mystérieux
Où tout un chacun traverse les couloirs silencieux de la mort
Ne partez pas
Tel un esclave au milieu de la nuit
Enchaîné dans sa prison
Mais apaisé à la douce idée
De votre libération prochaine
Tel celui qui fait son lit
Et s'allonge
Prêt à rejoindre le royaume des rêves
C'est étrange, non ?
- Cabinet d'exploration métaphysique.
- Ça roule. Cabine d'exfoliation métal-musique. Bonjour.
comme un grand tapis de fleurs.
Et allongée sur ce tapis,
se trouvait une belle et jeune demoiselle endormie.
Et la mère pleura :
"Est-ce mon reflet que je vois dans tes yeux étincelants ?"
Et la fillette répondit :
"Est-ce mon reflet que je vois dans les tiens ?"
Puis la jeune fille se transforma en cygne majestueux
et déploya ses ailes puissantes.
- Oui, bien sûr. Il était assis dans le fauteuil et il te lisait des histoires. Tu te rappelles pas?
- Étrange, il paraissait si réel.
Tout ne meurt-il pas toujours et trop tôt ?
Dis moi, que vas-tu faire de ton unique, sauvage et précieuse vie ? "
Quand il pleut, ce sont nos ancêtres qui pleurent car ils partagent notre souffrance dans les cales sombres des navires à destinations de rivages lointains.
Quand le vent souffle, ce sont nos ancêtres qui nous poussent à aller combattre de toutes nos forces ceux qui nous réduisent en esclavage.
Quand le tonnerre gronde, ce sont nos ancêtres qui nous ordonnent de nous libérer du carcan de doutes qui entravent nos esprits et de fondre sur l'ennemi avec courage.
Nous nous battons aujourd'hui pour notre avenir.
Nous sommes la lance de la victoire.
Nous sommes l'épée de la liberté.
Nous sommes le Dahomey !
Une sale ordure talentueuse.
J'ai un travail pour vous.
- Roi de Finlande ? Je peux y penser.
- Le chef du service pénitentiaire va venir ici dans trois semaines.
Vous allez jouer pour ses proches. Vous allez faire un spectacle.
Si c'est drôle, vous et votre troupe survivrez.
Le sergent-majeur supervisera les répétitions.
Mettez-vous au travail. Vous avez 18 jours.
Faites rire le public. Ou vous serez exécuté.
elle sent son corps en trois dimensions.
Paradoxalement, la douche lui fait aussi perdre contact avec le temps et le monde qui l'entoure.
- Non.
- C'est un grand… c'était un grand écrivain de chez nous.
Il a écrit :
"Toute action humaine est une manifestation contre la mort".
C'est une phrase très importante.
- C'est une phrase très dangereuse.
- C'est une phrase qui m'aide à me réconcilier avec l'être humain.
- Bgnar Magnerson, c'est un nom qui sent la neige.
- Bjorn Magnussen, c'est la neige.
- Il est mort comment, lui ?
- Suicide.
"Ça peut être utilisé contre nous ?"
Alors donnez-moi des munitions.
- Kangourou.
- Mais encore ?
- En 1770, le navire du capitaine Cook s'échoue près de l'Australie.
Lors d'une expédition, il rencontre les Aborigènes.
Un marin montre les animaux qui sautent et portent leurs petits dans une poche.
Il demande leur nom, les Aborigènes disent "kangourou".
- Et donc ?
- Plus tard, ils apprirent que "kangourou" signifie "je ne comprends pas".
Je procède ainsi pour éviter des contresens, sinon, ce sera 10 fois plus long.
- Je peux vendre ça pour l'instant. Mais montrez-moi les mots avant la prochaine session.
- Bien.
- Souvenez-vous du sort des Aborigènes.
Une race plus avancée les a presque anéantis.
- C'est une bonne histoire.
- Merci. Elle n'est pas vraie. Mais elle étaye mon propos.
c'est découvrir de nouvelles choses.
Et repousser ses limites.
Mon but cette année : voyager plus.
On se limite trop si on ne voit pas le monde de ses propres yeux.
Vous savez ce qu'on dit :
"Le monde est un livre.
Ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page."
Pourquoi se limiter ?
Voyager m'a fait réaliser à quel point je n'avais rien vu.
La Thaïlande a une histoire super riche.
Je suis en paix ici.
J'adore m'imprégner de cette culture et partir à la découverte de l'Asie telle qu'on doit la découvrir.
Loin de notre zone de confort.
C'est à couper le souffle.
Pour que l'aventure vienne à vous, laissez-vous emporter par ce que l'univers vous donne.
Je vis vraiment la Thaïlande.
<< Je viens de descendre mon troisième rhum-coca.
Je vais passer la nuit ici. >>
Abandonnez-vous à l'instant présent, et vous découvrirez que cela vous suffit.
Il y a une certaine liberté à ignorer de quoi demain sera fait.
Il y a tellement de gens incroyables vivant l'instant présent.
Faites-vous de nouveaux amis partout dans le monde.
Ils voient les choses différemment.
La différence avec les Etats-Unis est flagrante.
Et j'adore m'en imprégner.
Il me reste plus que quelques jours pour m'immerger dans cet univers.
Bisous à tous.
_ Je suis si heureux que ça n'en soit pas arrivé là.
Nanatchy, relève donc la tête, veux-tu ?
Je souhaite du fond du coeur que tout au long de votre route, vous soyez inondés de malédictions et bénédictions.
_ Boucle-la.
_ J'avais bien raison, tu es si adorable...
_ Je ne veux pas paraître faible.
C'est tout.
Pas devant lui.
_ Tu peut être faible et fort à la fois.
Tu le sais, pas vrai?
Tu vas être super.
_ Merci.
dans mon univers idéal
où le vent fait danser
les branches d'un arbre
et projette des taches léopard
à la surface d'un étang.
L'arbre se dresse immense,
majestueux et solitaire,
tout en ombrageant le monde
qui domine.
Et c'est là,
dans le berceau de ce qui m'est cher,
que je garde mes souvenirs de toi.
Quand je serai figée
dans la boue du réel,
loin de tes yeux aimants,
je retournerai dans cet endroit,
fermerai les miens,
et trouverai du réconfort
dans le simple fait de te connaître.
Lui, c'est Citron.
- Quoi, les fruits ?
- Tu connais Thomas le petit train ?
- C'est reparti.
- Tu regardes la télé aujourd'hui, ta quoi ?
Rien, que dalles. Coups tordus, violences, drames, aucun message. Pourquoi voir ça ? Hein ? Tu crois que tu vas apprendre quoi ?
- Tout ce que je sais sur le genre humain perso, je l'ai appris de Thomas.
- Ah, t'as ta feuille de stickers sur toi ?
- J'ai toujours ma feuille de stickers sur moi et tu le sais. Mandarine, par exemple, lui c'est un Gordon. Le bleu, là.
Gordon c'est le costaud, le mec le plus important mais seulement il n'écoute pas toujours les autres.
- Toi, tu dis ça ?
- Dans la vie, il y a pas mal d'Édouard, prudents, gentils.
Y a beaucoup de Henry, des gens bosseurs, costauds.
Et il y a des gens, c'est des diesel. Putain de merde. Eux, c'est les pires.
Mais toi... Toi, tu serais plutôt un Percy. Jeune. Mignon. Un peu à l'ouest.