"Tu tombes, on tombe..."

"- Vous voulez mon numéro ?

- C'est ça oui, je voudrais votre numéro.

- Vous voulez quoi comme numéro... George ?

- George... J'aime bien votre façon de dire ça... George. Je sais pas vous en avez beaucoup ?


- Oui j'ai des numéros pleins les poches. Vous voulez un exemple ? 10.

- 10 ?

- Oui. 10 mois, c'est l'âge de ma petite fille.

- Vous avez une fille ?

- Oui. Sexy hein ? Vous voulez un autre numéro ? 6, c'est l'âge de mon autre fille, 8 c'est l'âge de mon fils, 2 c'est le nombre de fois où je me suis mariée et divorcée, 16 c'est le nombre de dollars sur mon compte en banque, 850.39.43 ça c'est mon numéro de téléphone et avec tous les numéros que je viens de vous filer, 0 c'est le nombre de fois que vous téléphonerez !"

"Appuie sur l'interrupteur, c'est ce que nous faisons tous... l'Amour n'existe pas..."

"- Comment t’as su qu’il y avait quelqu’un dans le placard ?
- Y a toujours quelqu’un dans le placard. Ça me coûte un fortune en porte de placard !"

"- Je t'Aime, Molly ! Je t'ai toujours aimé...
- Idem"

"Méfiez-vous du regard de Mary Shaw.
Elle n'avait pas d'enfants, seulement des poupées.
Et si vous la voyez, ne criez pas.
Car c'est votre langue qu'elle arrachera."

"Le hibou ravi jubile..."

"Tu dois pas le dire. Fais une croix sur ton cœur !"

"- Allez au Diable !
- Non, je le quitte au contraire !"

"Y’avait une époque j’avais qu’une crainte c’était qu’il parte, et maintenant c’est qu’il reste... pour toujours !"

"- Elle est gentille, ma fille, hein ?
- Oui... Mais qu’est-ce qu’elle est laide !"

"L’intelligence des hommes n’a d’égal que leur cruauté !"

"- Serre moi.
- Je peux pas..."

"Cette ville a besoin d’un lavement !"

"Montre-toi, ménestrelle lilliputienne !"

"- J’veux pas une grosse myrtille pour fille ! Comment va-t-elle concourir ?
- Vous la présenterez au concours agricole."

"- C’est impossible.
- Seulement si tu crois que ça l’est."

"Bon allez, juste une pipe ça ira !"

"Demain le soleil se lèvera, et qui sait ce que la marée peut apporter."

"Je pense à toi sans cesse, tu es mon bonheur et toute ma joie, je t’aime."

"Trompe moi une fois, honte à toi.
Trompe moi deux fois, honte à moi."

"Tu es un voyeur. Ce sont donc tes yeux qui devront payer."

"Bonjour Michael,
Du plus loin qu’on puisse remonter dans ta vie, tu l’a gagnée en regardant... Les autres. En général, on appelle les gens comme toi des informateurs, des rats, des balances. Moi je te trouve indigne de l’enveloppe corporelle que tu possèdes, de la vie qui t’a été offerte. Alors on va voir si tu arrives aussi bien à regarder en toi plutôt que chez les autres et si tu peux abandonner ce qui... T’a fait gagner ta vie.
L’attirail que tu as autour du cou est un masque mortel. Ce masque est relié à un minuteur. Si tu ne trouves pas la clé pour arrêter le mécanisme à temps, le masque... Va se refermer un peu comme une plante carnivore. Ce que tu es en train de regarder est ton propre corps il y a moins de deux heures. Ne t’inquiètes pas, tu es anesthésié, tu ne peux pas ressentir la douleur. Tenant compte du fait que la situation n’est pas à ton avantage, je vais te donner un indice pour savoir où est cachée la clé. Regarde attentivement, l’indice c’est ça... La clé est sous tes yeux ! Combien de sang verseras-tu pour rester en vie Michael ? Vivre ou mourir à toi de choisir !"

"La plupart des gens n’ont aucune reconnaissance d’être en vie."

"Tu as à peu près autant de charme qu’une limace crevée !"

"- Qu’est ce qui se passe là-bas ?
- Dois-je tout vous décrire ? Ou vous trouver un marche pied ?"