Popcorn en mains et lunettes sur le nez, la séance commence.
On se laisse emporter par la voix des acteurs (en VO bien sûr), on s’imprègne de leurs joies, de leurs peines, de leurs souffrances.
C'est ça le cinéma : un écran géant qui vous surplombe et vous bouffe tout cru, vous enferme dans une intrigue, entre deux protagonistes, puis vous recrache sans égratignures hors de la salle. Sans égratignures, mais la tête pleine d'images et le coeur secoué.