Commentaires de films faits par Mercer
Répliques de films par Mercer
Commentaires de films appréciés par Mercer
Répliques de films appréciées par Mercer
Murray : Moi ? Je suis immonde ? Ah. En quoi je suis immonde ?
Arthur : Passer mon sketch. M'inviter dans ton talk-show dans le simple but qu'on se moque de moi. Tu es exactement comme tous les autres.
Murray : Oui ?
Arthur : Quand vous m'appellerez sur le plateau, vous pourrez me présenter sous le nom de Joker ?
Murray - Je veux être sûr de comprendre, vous croyez que tuer ces trois gars, c'était comique ?
Arthur - J'en suis sûr. Et j'en ai marre de faire comme si ça l'était pas. C'est subjectif la comédie Murray, hein, c'est pas ce qu'on dit ? Alors que vous tous, ce système qui sait tellement de choses. Vous décrétez ce qui est bien ou mal, de la même façon que vous décrétez ce qui est comique ou non.
Murray, - D’accord, alors c’est ça, vous êtes fou ! C’est ça, votre défense pour le meurtre de ces trois jeunes hommes ?
Arthur - Non. C'est que même sous la menace d'une arme, ils continuaient de chanter faux. Oh, pourquoi tout le monde se lamente autant pour ces gars-là ? Si c'était moi qui agonisais sur le trottoir, vous m'auriez simplement marché dessus. Je passe devant vous chaque jour vous me remarquez pas. Mais ces gars-là, enfin parce que Thomas Wayne est allé pleurer sur leur sort à la télé…
Murray - Vous êtes remonté contre Thomas Wayne aussi ?
Arthur - Oh que oui. T'es allé voir un peu comment c'est dans le vrai monde, Murray ? Ça t'arrive, des fois, de sortir des studios ? Tout le monde hurle au lieu de discuter, tout le monde engueule tout le monde, y'a plus aucune bonne manière ! Il y a plus personne qui se demande ce que c'est d'être le gars d'à côté. Tu crois que les types comme Thomas Wayne, ça leur arrive de se demander ce que c'est que d'être dans ma peau ? D'être autre chose que ce qu'ils sont ? Absolument pas. Tout ce qu'ils se disent, c'est qu'on va rester à notre place et encaisser comme des bons petits gars et qu'on va pas devenir fous furieux comme des loups-garous !
Yondu : -Qu’est-ce qu’il a dit ?
Rocket : -Il a dit : “Bienvenue chez ces bâtards de Gardiens de la Galaxie”. Et oui, il nous a traité de bâtards.
Yondu : - Et c’est cool ?
Peter Quill : - Ah oui, c’est très cool.
Yondu : - Je suis Mary Poppins, les jeunes !
Peter Quill : -J’aime bien la crasse. Avec une lumière noire, cette cabine ressemblerait à un Jackson Pollock.
Rocket Raccoon : -Faut te faire soigner, Quill.
Peter Quill : -Parce-que je fais partie des cons qui vivent dedans, je te signale !
Nova Prime : -Seigneur !
Denarian Saal : -Cet homme est un délinquant ! C’est un piège !
Nova Prime : -Vous a-t-il donné des raisons de le croire ?
Rhomann Dey : -Il dit que lui et sa bande viennent de s’évader de prison et que la preuve de leur bonne foi, c’est qu’ils prennent un risque en nous appelant. Il reconnaît qu’il est, je cite, « un trouduc », mais qu’il n’est pas… et là encore, je reprends ses paroles, qu’il n’est pas pour autant « un crevard ».
Nova Prime : -Et vous croyez cet homme ?
Rhomann Dey : -À vrai dire, je ne saisis pas bien la nuance entre un crevard et un trouduc, madame.
Drax : De faire quoi ?
Peter Quill : D’être à la hauteur. Pour une fois. De pas nous défiler. En ce qui me concerne, je refuse de rester là les bras croisés alors que Ronan s’apprête à exterminer des milliards d’innocents.
Rocket Raccoon : J’ai un plan. J’ai un plan.
Drax : Alors arrête de palabrer et libère-moi de cet enfermement !
Peter Quill : La, je dois dire que je suis assez d’accord avec notre dico ambulant.
Drax : Je t’interdis de me traiter de dico.
Peter Quill : C’était une métaphore.
Rocket : Laisse tomber. Il ne comprend pas le second degré. Les métaphores lui passent au-dessus de la tête.
Drax : Rien ne passe au-dessus de ma tête. Pour les reflexes, j’ai aucun rival, j’attrape tout ce qui vole.
Gamora : Je vais mourir en compagnie des pires dégénérés de la galaxie.
Rocket : De la part de la servante d’un adepte du génocide, ça laisse songeur.
Chapelier : -Si ce n’était pas le cas, j’aimerais que ce le soit. Je vous connais ?
Alice : -Oui ! Enfin… non. Je veux dire, pas encore.
Chapelier : -C’est drôle, j’ai l’impression de vous connaître.
Alice : -Nous nous sommes rencontrés quand j’étais plus jeune.
Chapelier : -Je regrette mais je ne m’en souviens pas du tout.
Alice : -Parce que ce n’est pas encore arrivé.
Chapelier : -Quand cela arrivera-t-il ?
Alice : -Plus tard ! Quand vous serez bien plus âgé.
Chapelier : -Quand vous serez plus jeune et moi plus âgé…
Alice : -Je comprends que ce ne soit pas très censé.
Chapelier : -C’est parfaitement censé pour moi. Je m'appelle Tarrant.
Alice : -Je le sais. Je m'appelle Alice.
Chapelier : - Alice ? Vous semblez un peu fâché avec le temps.
Alice : Oh non je ne suis pas fâché avec le temps ! En fait c'est lui qui est fâché contre moi.
Chapelier : - Vous êtes un peu folle, non ?
Alice : - Oui on me l'a déjà dit.
Chapelier : - La plupars des gens bien le sont !
Le Temps : - Pour quoi ?
Alice : - Votre temps Monsieur !
Le Temps : - Jeune fille, on ne peux pas changer le passé, mais je dirais que souvent on peut en tirer de bonnes leçons.
Le Temps - Ces minuscules artisans sont mes secondes.
Alice - Curieux ! Et je suppose que chaque secondes compte !
Le Temps - Comptes ? J'aimerai bien ! Elles ne sont pas très maligne;
Je suis l'auteur de ce poème.
Arthur Fleck