Commentaires de films faits par Biquet
Répliques de films par Biquet
Commentaires de films appréciés par Biquet
Répliques de films appréciées par Biquet
Il n'a pas adopté le ton moralisateur que je redoute dans toute démarche politique des écolos. Car à ceux qui me disent "quelle terre laisserez vous à vos enfants?", je réponds systématiquement "Rewind, j'ai pas d'enfant et aucun regret"
En vrac quelques idées désarmantes mais marquées du sceau du bon sens que j'ai collectées dans le film
Le pouvoir aux villes et moins à l'état
Introduire une monnaie locale pour faire consommer localement en complément de la monnaie commerciale. Une application immédiate en Grèce me paraît une idée plus que bonne.
Un sénat par tirage au sort à côté d'un parlement élu
Des professeurs du primaire dotés d'un diplôme de master comme en Finlande
Le recyclage sélectif, ma ville est en pointe dans ce domaine dans un pays qui est en pointe en EU
La mise en culture de terrain en friche dans la ville, çà on connait déjà, même dans ma rue
J'ai regretté
L'absence d'un chapitre sur les transports
Le goût d'un pas assez du chapitre sur l'enseignement finlandais. Ce chapitre était particulièrement roboratif
Des chiffres un peu fantaisistes dans le chapitre de l'énergie (ex: en Allemagne, uniquement 18% de l'énergie est fournie par des sociétés commerciales)
A conseiller!
Une trame simple, des personnages passablement stéréotypés, cela nous change des scénarios hyper-sophistiqués à multiples tiroirs et à héros pleins d'état d'âmes.
Comme les Westerns sur la violence, les space-operas doivent se concentrer sur leur coeur de métier, l'espace!
Dans "Gran Torino" il laissait pointer un soupçon d'empathie pour ces Viets. Dans "Lettres d'Iwo Jima" et "Mémoires de nos pères" il n'était pas loin de manifester une certaine admiration pour ces Japs.
Aucune manifestation de tels sentiments dans le présent film sans nuance, ils sont mauvais point barre.
Des performances d'acteur remarquables et "so british". Le seul point faible dans le scénario serait l'allusion non déguisée au "Pont de la rivière Kwaï", c'était superflu.
Les héros du Mossad israélien ne sont donc pas aussi parfaits que leur mythologie rapporte.
Le rythme du scénario, ses phases, les flashbacks fréquents tout cela me fait irrésistiblement penser aux livres de John Le Carré. J'ai en tête "L'espion qui venait du Froid", ou encore "Une Petite Ville en Allemagne" ou enfin "La Constance du Jardinier".
Le contraste entre le glauque et le lumineux du scénario est superbement rendu par le preneur d'image.
Helen Mirren, comme d'habitude, époustouflante!
Tous les ingrédients y étaient pourtant pour faire quelque chose de convenable: une paire de pistoleros redresseurs de tort, des méchants plus noirs que charbon, une demi-mondaine se prétendant veuve . Mais que vient faire de taureau Hereford au milieu du film? Ces malheureux indiens Chiricahuas échappés d'une réserve étaient très peu apaches, n'est-il pas! Cela confirme l'impression que le scénario a brutalement été modifié plusieurs fois. Le résultat global est particulièrement pitoyable. Vive les westerns des années 70-80: au moins les scénaristes connaissaient leur métier et les réalisateurs tiraient le meilleur parti de bon scénario.
On en redemande.
Les acteurs sont excellents, évidemment! Par contre les commentaires off sont illisibles.
C'est un rien trop franchouillard pour avoir un film inoubliable
A propos d'une situation aussi dramatique que le conflit Israélo-palestinien, la pratique de l'humour avec une telle efficacité confine au miracle. Les deux côtés en prennent pour leur grade.
Mémorable et désopilant.
o Des scènes technologiques trop longues où tout est centré sur le gadget. De la sobriété que diable!
o Mêmes remarques pour les scènes de violence, de poursuite. Comme l'issue de l'histoire est déjà clairement identifiée, il n'est pas nécessaire d'en remettre une couche.
o Quand apparaît par inadvertance une infime trace de suspense, on s'empresse de la gommer. Pas malin!
o Des raccourcis dans le scénario, une absence de fluidité, de liant. On ne sait plus très bien où on se trouve.
Pourtant l'idée du scénario était consistante mais cela débouche sur un grand bof.
Bref excellent.
Un excellent film d'action selon moi.
Scénario nul de chez nul. Le vrai message, c'est qu'il y a un futur cinématographique après la politique. Gare au premier film avec Sarko! Ce serait tomber de Charybde en Scylla.
Pas de sexe, pas de violence mais des gens. Avec comme toile de fond un Mumbai moderne, un scénario très original et des acteurs à la hauteur . Adorable.
On en redemande.
Di Caprio tire son épingle du jeu dans ce scénario tarabiscoté, mais c'est bien le seul.
C'est du bon cinéma de boulevard qui passe bien au petit écran. Bruel à contre-emploi dans un rôle de Beauf, il fallait l'oser. Il est entouré d'une palette d'acteurs de talent comme feu Valérie Benguigui, Guillaume de Tonquédec et Charles Berling.
Dès lors le récit d'un amour impossible dans un Téhéran d'avant Khomeini lasse.
Il rassemble quelques acteurs de valeur qui à mon avis se sont lamentablement fourvoyés. Quant au titre, une incompréhension.
Bof!
Je reste trop marqué par le personnage campé par Sean Connery. Même les rappels au passé comme l'Aston-Martin à mitrailleuses, le château en Ecosse, les filles pulpeuses n'y feront rien. Ce n'est qu'un passable divertissement!
Je ne savais pas qu'il fut acteur et en plus un excellent acteur.
La police d'une hypothétique brigade de l'enfance vue de l'intérieur, une vue pas tout-à-fait réaliste mais un excellent film.
Un film un peu long mais une réussite bien que fort arrosée d'hémoglobine
Pour la forme le tout est situé dans un pays absurde à la manière de Samuel Becket. C'est d'ailleurs plus une pièce de théâtre filmée qu'un film. N'essayez pas de trouver une logique dans certains faits comme l'obligation de boire un verre d'eau toute les heures, comme la piqure faite à Dafna avant qu'on ne sache de quoi elle souffre.
Et pourtant ce film est pétri d'humour comme la barrière qui se lève pour laisser passer le dromadaire, le Foxtrot que Jonathan danse avec son fusil mitrailleur, les godillots filmés avant et après la traversée de la boue.
Filmés de très près, les acteurs principaux, inconnus de moi sont tout simplement extraordinaires.
Une critique féroce contre la guerre, contre son absurdité. On reste scotché.
Rien vu de pareil depuis "Incendie" de Denis Villeneuve ou "Z" de Costa-Gavras..