Un très beau film, bien que l'on suive l'histoire d'une famille, ce n'est en aucun cas la famille cliché. Les personnages sont tous très intéressants, les dialogues sont fins et la performance des acteurs est juste géniale.

Beaucoup de rires, de l'émotion, une photographie plus que sympa, Little Miss Sunshine gagne sur toute la ligne ! (j'ai oublié la bande-son qui est très agréable aussi !)

Un classique, l'histoire fait toujours son effet même après des années ! Il faut dire qu'il y a plusieurs bons ingrédients, entre la romance, la bande-son qui est plutôt cool, les acteurs bien sûr et aussi de l'action (même si c'est vachement triste ce qui leur arrive).

J'ai aussi aimé que tout ne soit pas rose, on voit vraiment les différentes réactions de l'être humain en situation de crise, autant certains gardent un minimum d'humanité et autant d'autres se révèlent être de vraies pourritures...

Avec un tel scénario, j'avais peur que l'histoire prenne une directive trop prévisible mais le réalisateur a bien évité les écueils.

On a bien sûr une grande quantité de scènes très mignonnes et drôles, surtout quand Yasube devient un peu l'homme à tout faire de la maison. Sa relation avec Tomoya est aussi bien traitée.

La romance a une place infime dans l'histoire et c'est tant mieux, on sent plus une relation de confiance, d'amitié et un peu d'amour entre Yasube et Hiroko. Ce qui colle parce qu'après tout ils ne sont ni de la même époque et n'ont pas le même âge, ça aurait été vraiment déplacé que Hiroko tombe en pâmoison comme une adolescente.

Ce film bien qu'ayant un cadre fantastique (voyage dans le temps) a su rester réaliste, ce qui fait que le résultat n'est pas lourdingue. Même la fin, qui aurait pu me chagriner (I ship this couple!), est tellement bien présentée et logique qu'on ne reste pas sur une note amère.

Un joli divertissement, et puis c'est le premier rôle au cinéma de Ryo Nishikido (une idole Johnny's) et je trouve qu'il s'en tire très bien ! Ah et prévoyez de quoi grignoter, le passage avec les gâteaux est à tomber par terre.

Je suis contente d'avoir trouvé ce film, ça me change un peu de ce que je regarde d'habitude. Bon, il y a toujours un lien avec le Japon (réalisateur japonais, acteurs japonais) mais l'histoire se déroule en Californie.

C'est un film indépendant, très court (1h22). Dès le début du film l'atmosphère est sympa avec sa petite musique en fond, des plans simples et agréables. On rentre de suite dans le vif du sujet, le scénario est sans chichis.

Les deux personnages sont caricaturales mais pas trop, enfin ce que je veux dire c'est que même s'ils le sont au départ, il y a un développement par la suite. Les dialogues font très réalistes (mais autant de gros mots, était-ce nécessaire...), tout comme certains personnages secondaires.

Je dois dire que la performance de Gaku Hamada m'a plus impressionnée que celle de Eugene Kim. On sent qu'ils ne sont pas du même niveau, Hamada est quand même un acteur très connu et talentueux au Japon (d'ailleurs vous pouvez le voir dans The Eternal Zero et Robo-G)

A voir comme film !

Je suis en général allergique au coup de coeur de Cannes, mais là c'est un film japonais, je connais déjà le réalisateur... qu'est-ce que je risque ?

Une grosse claque tout simplement. L'histoire est très forte, mais ça n'a été possible qu'avec la performance de Yuya Yagira qui joue Akira, le fils aîné.

Sans spoiler l'histoire, c'est incroyable la transformation qui s'effectue pour le personnage d'Akira tout au long du film. L'acteur a su tout faire passer dans son regard... il mérite son prix d'interprétation masculine.

Le film a aussi une belle photographie, comme dans "Tel père, tel fils" ou "I wish"... j'aime beaucoup le style du réalisateur.

Je vous le recommande vivement !

L'idée de base est cool mais le film... est juste moisi. Si vous voulez voir un film qui a très, très mal vieilli c'est celui-là !

Déjà que Keanu Reeves joue très mal et a une voix (en VO) niaise, tous les personnages sont fringués dans un style soit-disant futuriste et cyberpunk censés être tendance. Mais en les voyant j'ai juste envie de rigoler.

Est-ce qu'à l'époque le réalisateur a envisagé que son film allait périmer en moins de deux ? Vraisemblablement non parce qu'entre le méchant barbu qui ressemble à Jésus et le dauphin moche...

Un film vraiment naze, à voir pour rire !

Autant j'ai trouvé Kimi Ni Todoke mou et ennuyeux, banal dans sa mise en scène, autant j'ai adoré O-to-nari (Romantic Prelude).

La photographie et les plans y sont mieux travaillés (les images sont un peu plus sombres que dans Kimi Ni Todoke, mais bon ici c'est une romance entre adultes, pas entre lycéens, donc c'est peut-être pour ça que c'est plus lumineux dans KNT)

L'histoire est adorable, on aurait pu facilement basculer dans la niaiserie totale mais les dialogues et les personnages ont un côté réaliste qui empêche le film de finir en grosse guimauve.

C'est intéressant comme les deux histoires parallèles finissent par se rejoindre pour donner l'intrigue principale :

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on attend bien évidemment que Nojima et Nanao se rencontrent mais ça n'arrivera qu'à la fin ! Entre-temps ils vivent chacun de leur côté leur quotidien et une situation imprévue

Les deux acteurs principaux Junichi Okada et Kumiko Aso étaient très convaincants dans leur rôle. J'ai eu la surprise aussi de retrouver un autre acteur de Kisarazu Cat's Eye, Yoshinori Okada qui jouait Ucchie. Sa transformation est bluffante, rien à voir avec le gars zozotant dans le drama et les films, ici il a su être un personnage totalement différent.

Je recommande vivement ce film, ça change des romances habituelles et le genre m'a parfois rappelé un peu 5cm par seconde de Makoto Shinkai (style terre-à-terre mais très émouvant)

Je n'ai pas lu le manga et je n'ai pas vu l'anime. Je découvre donc Parasyte avec ce film. Mon bilan est mitigé.

Après le magnifique Eien no Zero (The Eternal Zero), je pensais que le réalisateur Takashi Yamasaki renouvellerait son tour de force avec Parasyte (même si l'histoire n'a absolument rien à voir)

On retrouve les mêmes teintes bleutés dans les deux films et une bonne photographie, sans compter un très bon acteur dans le rôle principal : ici Shota Sometani, qui avait joué un rôle secondaire dans Eien no Zero.

Cependant, j'ai trouvé le rythme du film très mou, à cause des parties où l'intrigue doit avancer à coup de dialogues et d'explications ennuyeuses. Déjà que les gens victimes des aliens ne sont pas très expressifs, si en plus ils font une réunion au sommet avec des dialogues plats...

Mais comme il y aura un deuxième film, je comprends que le réalisateur ait bien voulu planter les bases de l'histoire. D'où cette lenteur dans le premier film. Heureusement que les scènes d'action (quand il y en a) sont palpitantes et très impressionnantes au niveau des effets spéciaux (assez gore ces aliens, et le bruitage quand ils mangent est juste dégueulasse)

J'espère que le second film sera à la hauteur, voire mieux.

Voici donc la seconde partie de Kisarazu Cat's Eye ! Autant le premier film était assez bancal (le passage sur l'île + le monstre chat, c'était vraiment naze), celui-ci rattrape le coup.

J'ai trouvé ce film plus drôle et mieux rythmé, même si l'histoire de l'équipe de baseball fantôme était agaçante.

Les interactions entre Bussan, Bambi, Ani, Master et Ucchie sont toujours aussi agréables à voir, avec cette espèce d'humour noir qui ressort de temps en temps.

Enfin, j'ai aimé que les intrigues des personnages secondaires s'imbriquent de manière logique avec l'intrigue principale. On finit par s'attacher aux différents personnages.

Comme le drama "SP", Kisarazu Cat's après une série de 9 épisodes se décline en deux films. Le premier est celui-ci, "Kisarazu Cat's Eye: Nihon Series"

On retrouve dans ce film la même bande d'amis, toujours dans le même bled paumé. Le principe de la narration est le même, c'est-à-dire avec beaucoup de flashback pour montrer les différentes actions des personnages (procédé très similaire à l'anime Durarara!!)

Le scénario est toujours aussi ponctué de passages franchement débiles mais drôles. Cependant la fin du film devient du n'importe quoi, avec une sorte de chat géant composé de poubelles (normal). Je regrette que l'histoire soit "partie" aussi loin dans le délire, on sent bien que le réalisateur comptait sur le succès de la série pour se permettre une suite assez médiocre.

La seule chose qui reste d'assez bonne qualité est la manière dont la mort prochaine de Bussan est rappelée, avec des moments émouvants et des dialogues très réalistes.

Le film dure deux heures mais je pense qu'on aurait pu le faire un peu plus court. Il n'est pas mauvais mais pas exceptionnel non plus : le scénario est bateau, les péripéties sont donc très prévisibles.

La manière de filmer est assez statique, il n'y a pas de prisque de risque. Même les passages où le protagoniste chante sont filmées de manière trop banale.

Pareil pour les acteurs : ils m'ont donné cette même impression de ni bon ni mauvais. En fait tout le film est passable !

Dommage que le réalisateur n'ait pas eu ce petit grain de folie que j'ai pourtant retrouvé chez d'autres cinéastes Sud-Coréens...

Bof, assez cliché et ça manque d'originalité dans la narration. Dans le même style "des jeunes qui apprennent à jouer des instruments" je préfère largement Swing Girls (plus pétillant dans sa narration et avec un humour différent)

Visuellement ce n'est même pas intéressant alors forcément quand déjà on n'accroche pas à l'histoire mais qu'en plus les images n'offrent pas d'intérêt... bref, pas du tout ma tasse de thé.

Ce film est du même réalisateur que Departures et je ne m'en suis rendue compte qu'à la fin... mais du coup je suis vraiment contente de voir un autre style du réalisateur.

Contrairement à Departures, il s'agit ici d'un film historique sur le premier astronome officiel du Japon. On peut penser que les films historiques tombent souvent dans le piège d'être lourd et ennuyeux à cause du travail sur les décors, et il y a souvent ce côté un peu cérémonieux et pompeux.

Mais Tenchi est un film rafraîchissant et moderne, avec une multitude de personnages variés et attachants. ça pourrait même faire penser à du théâtre parfois. Le thème aussi est audacieux, étant loin d'être une matheuse, j'ai eu un peu peur que le film rentre trop dans les détails des calculs. Heureusement que les maths sont présentées de manière esthétique (voir les puzzles du temple, ou même les outils de calcul que le personnage utilise, ça donne un côté fun)

L'ensemble du film, avec du recul, me ferait presque penser à un anime, il y a tous les ingrédients et ça se voit dans les plans : le personnage principal Santetsu a plusieurs mentors, une ravissante fiancée, et bien sûr il y a quelques "méchants" ; aussi on le voit avoir des difficultés au départ et puis il évolue et passe par des périodes de doute.

Enfin, je voudrais mentionner le personnage de la fiancée, qui au premier abord semble vraiment clichée (elle passe son temps à sourire - ok elle a un très beau sourire mais un peu plus de profondeur ne ferait pas de mal) et effectivement, on se rend compte que c'est une femme très moderne

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elle divorce pour pouvoir se mettre avec Santetsu[/spoiler] et elle [spoiler]aide même Santetsu dans ses recherches par la suite

Voilà, je trouve que c'est un bon film d'époque, très divertissant au départ et plus émouvant par la suite, je le recommande ! (et puis tous les films avec Junichi Okada, je les recommande, parce que ce type choisit en général des rôles très intéressants !)

Je n'ai pas lu le livre, et j'ai vu le film par hasard. Je me rappelle juste m'être ennuyée, aucun personnage n'a gagné ma sympathie.

Je ne suis pas une fan inconditionnelle de Batman. Non, je suis là pour Cillian Murphy.

Le film n'est pas mauvais. A l'époque j'avais même été super emballée. Mais après avoir vu d'autres films... je trouve qu'il manque quelque chose au travail de Nolan. Une âme ? C'est trop propre, ça ne provoque pas d'émotions intenses. Les acteurs sont tous très bien à leur place, il y a de chouettes combats mais il manque une sorte de force qui vous met K.O. quand vous visionnez le film.

Nolan a incontestablement de nombreuses et bonnes idées mais pour le coup je n'ai pas accroché à la performance de Christian Bale. Heureusement que dans le second volet il y a Heath Legder qui sort le grand jeu.

Un film de mon enfance, merci papa et maman pour la culture en musique classique !

En le voyant avec du recul, je trouve que ça reste un excellent film qui évite de tomber la catégorie "musique classique = ennui/réservé à l'élite". D'un côté, en choisissant Mozart, c'est dur de s'ennuyer.

Les dialogues de Salieri suintent tellement la jalousie et le dégoût de Mozart que ça apporte une touche drôle au film. Ils font quand même un sacré tandem : l'andouille qui est un génie, et le coincé de service sans talent.

C'est un pari osé de les caricaturer autant mais ça marche, et puis les scènes d'opéra sont magnifiques donc ça vaut le coup de voir ce film !

Honnêtement quand on lit le synopsis, le film a l'air d'être un énième cliché ambulant. Et bien non !

Clint Eastwood s'est surpassé en dirigeant son film tout en finesse. Les acteurs auraient pu avoir l'air pâle à côté de C. Eastwood mais non, leur jeu est au top. Personne n'en fait des tonnes dans ce film. Et pourtant l'histoire finit par vous prendre aux tripes jusqu'au dénouement final.

La multitude de détails et les dialogues qui font mouche m'ont fait penser à l'écriture de Stephen King - si un jour il y a une collaboration Eastwood/King, je serai aux anges.

La trilogie est terminée : Peter Jackson a su guider jusqu'au bout son équipe pour mettre un point final à cette histoire, et ce, de manière grandiose.

Si vous ne vous remettez pas du fait que ce soit terminé, tentez la version longue, elle vaut franchement le coup !

Deuxième partie, la Communauté est dissoute. Et c'est tant mieux ! Au lieu d'avoir un copier-coller du premier film, le fait que les personnages s'éparpillent en Terre du Milieu permet de voir les différentes cités, avec des peuples aux moeurs variées.

Il y a également plus d'action et une touche de modernité apportée par Jackson via les personnages principaux (ne sentez-vous pas toute cette bromance, Legolas/Aragorn, Legolas/Gimli, Frodon/Sam, Merry/Pipin)

Les femmes ne sont pas en reste, elles apparaissent à peine mais soyez rassurez toutes auront leur heure de gloire le moment venu.

Gollum remporte la palme du personnage phare. Et oui, entre la qualité des images de synthèse et la voix culte de Andy Serkis, ça va être dur de passer à côté !

Une nouvelle fois, Jackson (et toute l'équipe aussi bien sûr) a bien travaillé et on apprécie ce spectacle de grande envergure !

On sent dès le premier film que Peter Jackson est passionné par le monde de Tolkien et qu'il aime son travail. Il aurait pu se casser la gueule avec une oeuvre de cette ampleur mais comme il a bien pris le temps de se préparer, tout marche sur des roulettes.

Je pense que personne n'a été déçue par la vision de la Comté qu'il nous a offert, ni du choix des acteurs, ni des effets spéciaux, ni de... bref de tout ! Tout a été réglé au millimètre près, image, musique, costume, montage du film...

Et pour ceux qui se plaignent des moments trop lents, accrochez-vous parce qu'une fois que vous aurez vu la trilogie en entier, ça sera plus clair et si ce n'est pas le cas, il ne vous reste plus qu'à les revoir !

Lors de sa sortie au Japon, le film avait suscité la controverse, accusé de "glorifier les attaques terroristes des kamikaze". Je m'oppose fortement à cette opinion. A mon avis, les gens étaient déjà plein de préjugés quand ils ont vu le film et ils l'ont donc interprété à leur sauce.

The Eternal Zero est l'un des films de guerre le plus touchant et intelligent que j'ai vu. Au niveau des images, rien n'est dans la demesure, et même s'il y a une belle photographie, le réalisateur n'en profite pas pour faire des coups d'éclat. Il se contente de dépeindre la guerre telle qu'elle est, sans vouloir faire sensation en rajoutant des plans chocs.

Les personnages sont bien menés, que ce soit les petits-enfants enquêtant auprès des vétérans, ou que ce soit dans les souvenirs où on voit ces même vétérans plus jeunes. Ces passages constants entre le passé et le présent sont bien équilibrés et le film bénéficie d'un rythme régulier. Sans compter qu'au niveau des acteurs, on a une belle brochette, surtout ceux qui jouent les pilotes dans leur jeunesse. Junichi Okada qui joue le rôle de Miyabe n'a pas volé sa récompense de meilleur acteur aux Hochi Awards.

Enfin, le point le plus important du film est la vision que présente le réalisateur des Japonais à l'époque. Alors oui, il y a sans doute beaucoup de Japonais endoctrinés, mais j'ai aimé que le réalisateur s'attarde sur un personnage (même s'il est fictif) qui réfléchisse autrement. Il dénonce la guerre grâce à Miyabe, un pilote qui tient à la vie car il veut vivre pour sa femme et sa fille. C'est assez courageux de remettre en question le statut sacré des kamikaze, même si ce n'est que maintenant. Les jeunes au Japon seront de plus en plus nombreux à oublier les atrocités de la guerre (comme nous en France aussi remarque), un rappel ne fait alors pas de mal. Mais le fait de rappeler ne signifie pas qu'il faut encenser tout ce qui a été fait, et c'est là que la démarche du réalisateur est intelligente : en gros, "n'oublions pas la guerre, mais analysons-la avec du recul, pour ne pas refaire les même erreurs."

Second volet de SP, le suspense est bien présent mais les scènes d'actions sont moins présentes.

Le rythme est parfois trop long (scène à l'Assemblée Nationale) et le passage que j'ai préféré c'est quand Inoue avec ses méthodes peu orthodoxes se débarrasse petit à petit des ennemis (ça rappelle sa technique dans la série, avec l'incident dans l'hôpital)

Un peu déçue donc par ce film, sans compter que la fin laisse vraiment sur la faim.

Vu hier au cinéma, les 2 heures sont passées très vite ! Les course-poursuites, les cascades, la photographie, là-dessus je n'ai rien à dire, c'était de la bombe. Et puis ce petit effet saccadé quand les warboys sont au combat, c'était pas mal !
ça rendait les scènes encore plus dynamiques (sans compter les différentes tactiques de combat, c'était génial)

Après j'ai quand même pas mal de choses à redire... même si c'est un film d'action, et bien c'est dommage que l'intrigue n'ait pas été un peu plus poussée.

Par exemple,

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comment ça se fait que Immortal Joe il soit malade comme ça, de même pour ses potes, alors que son harem est resplendissant de santé, et l'histoire de pollution des terres vertes de Furiosa, et voire cette histoire de globular[/spoiler] bref il y a tellement d'éléments intéressants que c'est dommage de passer aussi vite dessus.

Autre chose : il va falloir m'expliquer pourquoi Furiosa elle est la seule femme qui subit le soleil/sable et les autres, elles ne transpirent jamais, elles ont leur BB crème sous la main ou quoi ? Au début, elles sont planquées donc elles ne se salissent pas mais même à la fin, elles n'ont pas pris un coup de soleil (et Max à côté, lui aurait besoin d'un petit décrassage) voilà je trouve que ça fait un peu clip vidéo pour le coup (la femme doit toujours être parfaite)

Et enfin, [spoiler]le gros happy end qui arrive comme un cheveu dans la soupe, je pense que Furiosa morte ça aurait été plus original - là on sent bien que vu que c'est un personnage principal avec Max, faut pas la zigouiller mais bon ça aurait fait plus réaliste qu'elle meurt

Bref, niveau action c'est 100% adrenaline, rien à dire, y compris pour la photographie, avec les scènes de nuit en bleu c'est magnifique, mais l'intrigue et les personnages... bof. Et dans le même genre d'univers barré, ça m'a rappelé les bouquins de Serge Brussolo !

Très, très sympa ! On se retrouve en totale immersion dans ce monde professionnel de l'aviation, et le film permet une vision panoramique des différents métiers et de leurs difficultés.

On passe d'un personnage à l'autre, on stresse avec eux quand survient des problèmes... mais c'est surtout le fait qu'il y ait autant de personnages et qu'ils aient tous leur "moment de gloire" qui m'a plu.

Il est fortement conseillé de voir d'abord la série avant de s'attaquer au film. La série (11 épisodes) développe beaucoup le personnage de Inoue et montre différentes interventions de la brigade SP, sans compter les intrigues politiques.

Mais si vous décidiez de passer directement au film, ça resterait quand même un bon divertissement. Les scènes d'action sont bonnes (même si à un moment, le décor crie "fond vert").

En fait, j'ai surtout aimé que les combats ne soient pas que des fusillades, les membres de la brigade maitrisent les arts martiaux et ça donne des scènes dynamiques.

Pour l'intrigue, ce n'est pas très original mais vu que je me suis déjà attachée aux personnages avec la série, ça va. Par contre, je pense que les flashbacks un peu partout pour expliquer à ceux qui n'ont pas vu la série, ça, ça risque d'être un peu confus.

Mais le film d'action en lui-même vous fera passer un très bon moment ! (surtout la scène de course-poursuite au début, et

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les quatre vagues d'attaques quand ils escortent le secrétaire en chef