Commentaires de films faits par Echo-Engoulevent
Répliques de films par Echo-Engoulevent
Commentaires de films appréciés par Echo-Engoulevent
Répliques de films appréciées par Echo-Engoulevent
Bref, concernant le film, la version française est vraiment mauvaise, mais ce n'est pas surprenant, et je pense qu'il doit être sympa à voir quand on est enfant, l'histoire étant basique, de même que l'humour ou la personnalité (quasiment inexistante) des personnages.
En clair, je l'aurais plus apprécié en l'ayant vu plus jeune, mais je comprends qu'il ait eu tellement de succès vu l'époque à laquelle il est sorti.
Par la suite, ça s'est heureusement amélioré. Voir Mizuki évoluer, accepter son indépendance, et en même temps percevoir l'amour un peu incompréhensible mais vraiment puissant qui les lie.
Je ne sais pas trop précisément ce que j'en ai pensé… Globalement, j'ai bien aimé mais je comprends que beaucoup n'accrochent pas au style, d'autant plus que si l'on ne s'est pas un minimum familiarisé avec les coutumes japonaises, il y a beaucoup de choses qui semblent illogiques ou inutiles.
Ce film est une perle. Les Studios Ghibli ont vraiment l'art de nous tirer des larmes quand on s'y attend le moins… L'histoire n'est pas profondément triste, d'ailleurs, elle est plutôt belle, les personnages ont cette authenticité caractéristique, les musiques sont magiques, le récit est prenant…
On ne comprend rien pendant les neuf dixièmes du film et pourtant, cela ne nous dérange pas le moins du monde. On se sent juste un peu plus attachés à l'histoire, avec l'envie tenaillante de connaître la fin, la suite, tout en espérant ne pas être déçu. Et ça fonctionne, car on ne l'est pas.
Bref, très bon film, je me suis sentie soulagée par la dernière des versions, comme la plupart des gens je suppose, sans cependant avoir la sensation que c'est "trop facile" ou "trop beau" pour être vrai
Pourtant, je crois que c'est un bon film, vraiment.
Le sujet est beau et poétique, les acteurs sont absolument excellents, on est vraiment transporté dans cette histoire et ces réflexions philosophiques et intenses.
Bon, c'est du Christopher Nolan, c'était assez évident, mais je suis toujours aussi estomaquée par sa capacité à inventer des histoires qui tiennent la route du début à la fin…
Généralement, je n'aime pas vraiment la science-fiction de ce style-là, ça m'ennuie et me lasse. Mais "Interstellar" m'a tenue en haleine à chaque instant.
Ces théories sur les dimensions, sur l'espace-temps, les trous noirs, etc. sont passionnantes ; mon cerveau a grillé pendant le film mais c'était tout de même incroyablement prenant...
Et qui pose des questions intéressantes, en plus. Il y a moyen de débattre pendant des heures sur tous les sujets qui sont soulevés,
Néanmoins, je l'ai bien aimé.
Ce n'est pas un film définitivement merveilleux, il ne changera pas le cours de l'histoire mais c'est un bon film, même s'il nous laisse un peu (beaucoup) sur notre faim.
Les musiques donnent une vraie ambiance d'époque au film et, si j'ignorais que ce film est sorti il y a peu de temps, j'aurais pu croire qu'il était très ancien.
Je n'ai jamais été aussi heureuse de me tromper sur toute la ligne. Ce film est vraiment vraiment bon. Robin Tunney est tout simplement magistrale dans le rôle de cette fille malade aux tics incontrôlables. Elle est un peu effrayante, parfois, mais le joue tellement bien que son visage reste imprimé sur les rétines...
Par contre, j'ai eu plus de mal avec Henry Thomas. Non pas qu'il joue mal ou quoi que ce soit, que du contraire, mais j'ai trouvé le personnage plus difficile à déchiffrer...
Ce film est plein de poésie et en même temps il a quelque chose de très cru. On a un peu l'impression qu'on nous dit "voilà, les choses sont ainsi, dures mais vraies, et on fait avec". Les événements sont présentés avec subtilité et je crois que c'est le genre de film qui mérite totalement un deuxième visionnage pour en apprécier tous les détails...
Mais finalement, je trouve que ce n'est pas mal : quelque part, ce film n'a pas l'air mis en scène, en fait. Ce n'est pas une histoire super psychologique (si, bien sur, mais sans analyses du début à la fin) et ça rend le film réaliste, en fait. L'événement en question arrive comme ça, comme un cheveu dans la soupe, comme ça arrive dans la vraie vie.
Par contre, je n'ai pas trop aimé la fin que j'ai trouvé un peu trop parfaite, même si ça fait du bien après les difficultés par lesquelles les personnages sont passés.
D'ailleurs, je me répète, mais Robin Tunney est vraiment parfaite...
Je cherche un sentiment, une émotion qu'il aurait fait naître en moi mais à part de l'ennui, je ne trouve rien. Je n'ai pas ri, je n'ai même pas souri, je n'ai pas pleuré, je n'ai pas été déçue ou effrayée, encore moins surprise. Frustrée, peut-être, de ne rien avoir ressenti de tout cela. Et encore.
Bon, soyons honnêtes, je savais à quoi m'attendre. Les romans de Nicholas Sparks sont totalement fleur bleue, leurs adaptations également, mais j'avais apprécié "The Notebook" donc j'étais tout de même ouverte.
Raté. Dans "The Notebook", les acteurs étaient merveilleux. Ici, ils sont mauvais. Vraiment mauvais. En particulier la fille qui joue Sophia. Celle de Ruth est plutôt douée et celui d'Ira se défend. Mais c'est tout. On ne peut pas appeler ça un beau casting.
Quant à l'histoire, outre le fait qu'elle est d'une banalité affligeante, on a la sensation qu'il n'y a pas eu d'autre choix que de mêler deux récits pour réussir à obtenir quelque chose d'assez long pour que ça vaille la peine d'être regardé. Aucune des deux histoires s'entremêlant ne se suffit à elle-même et n'a réellement d'intérêt... Limite, le récit le plus intéressant est celui de Daniel qui est loin d'être un personnage principal. Bon, je concède tout de même que Ruth est bien imaginée et possède toutes les dimensions d'un personnage... Mais c'est la seule.
Pari réussi. Les émotions sont présentes tout du long, par le jeu des acteurs, la bande-son et la façon de cadrer les images.
C'est vraiment un beau film. Inquiétant, certes ; triste, bien entendu, mais avec une belle humanité.
Peut-être est-ce parce que je resterai une gamine toute ma vie et que je n'apprécie pas trop que l'on brise mon innocence de bisounours, toujours est-il que je n'ai vraiment pas été emballée par le côté cru de cette histoire. Parallèlement à ça, c'est un bon film. Contradictoire ? Oui, sans doute un peu. Mais le scénario est vraiment bon, l'idée a le mérite d'être originale et n'a pas la banalité des habituels contes de noëls.
Par contre, les animations... Mon dieu, mais qu'est-ce qu'elles sont laides ! Pourquoi se lancer dans une telle réalisation si c'est pour que le résultat soit aussi peu satisfaisant ?! Autant faire de la 2D, c'est superbe et ça fonctionne aussi bien, voire mieux.
En conclusion, je le conseille définitivement parce qu'il vaut le détour et à le mérite de se démarquer.
C'est un bon film. Les acteurs jouent vraiment bien, l'histoire est bien menée et nous révolte alors qu'en même temps, on a l'impression de comprendre ce qu'explique Fletcher, sa recherche de la perfection et les moyens tyranniques qu'il met en oeuvre pour y parvenir. Mais on est tiraillé par le manque d'humanité de ce personnage, par sa sévérité excessive et la réclusion dans laquelle entre Andrew dont la seule obsession n'est plus que de le satisfaire, quel que soit le prix à payer.
Après, c'est clair que l'histoire traîne un peu en longueur… Les scènes sont répétitives et certains détails sont bâclés (je pense entre autre à l'histoire d'amour qui ne sert de façon très simpliste qu'à montrer à quel point Andrew se focalise sur sa musique, d'autant plus qu'il est vraiment une ordure, dans ce passage, mais qu'on n'arrive pas vraiment à déterminer s'il le fait exprès pour que Nicole ne s'accroche pas ou s'il pense réellement ce qu'il dit). Je pense aussi que la relation entre les personnages aurait pu être plus développée… Je n'ai pas réussi à cerner la personnalité d'Andrew qui se laisse marcher dessus, puis se révolte, puis se laisser marcher dessus, puis se révolte… On ne comprend pas bien ses réactions, cette sympathie qu'il dégage parfois et ce manque d'humanité qu'il manifeste à d'autres moments.