Commentaires de films faits par Noone
Répliques de films par Noone
Commentaires de films appréciés par Noone
Répliques de films appréciées par Noone
Si l'aventure en elle-même ressemble à toutes les autres, elle reste riche en idées et références en tout genre et surprend agréablement par cette fin pour cette bande de jouets qu'on suit depuis l'enfance d'Andy.
C'est simple mais efficace, drôle et touchant à la fois et comme les autres, il y en a aussi pour les adultes. Une excellente conclusion.
Car dans ce chapitre qui a su, comme ses prédécesseurs, en proposer pour chaque âge, on suit encore les jouets d'Andy dans une nouvelle aventure, celle d'un changement, d'un au revoir inévitable et nécessaire pour grandir.
Si je n'avais clairement plus l'âge d'apprécier l'aventure en elle-même dans l'école, j'ai aimé cette conclusion et je comprends sans problème que ceux qui l'ont découvert jeune l'ait apprécié.
Une très bonne fin.
Il y en a encore pour tous les âges. Pour ma part, j'ai aimé le début de réflexion sur le sujet du jouet du "quotidien" contre le jouet de collection et le côté business qui va avec.
Un vrai plaisir d'animation.
Pour ce premier volet, j'ai apprécié ce côté simple mais efficace de jouets vivants qui vivent ensemble et dont le quotidien va être chamboulé (surtout Woody) par l'arrivée d'un petit nouveau.
Ça fait la part belle à l'imagination, à l'innocence mais avec intelligence et une écriture qui démontre bien l'amour de ses auteurs pour les jouets.
Un bon film d'animation!
C'est plus de la contemplation de paysages et de ce temps qui passe sans avoir la rapidité d'aujourd'hui et qu'on ne peut plus comprendre mais avec ce côté attachant des personnages, de ces deux excellents acteurs que sont Kevin Costner et Robert Duvall (et Abrahan Benrubi aka Kubiac/Jerry), ça passe très bien.
Un western contemplatif que je reverrai avec plaisir.
Ceci étant dit, cette comédie est pas mal faite, le personnage est attachant et on prend plaisir à voir ce qui va lui arriver après chaque casserole, malgré toute sa gentillesse et en être récompensé à la toute fin alors qu'autour de lui les gens font la girouette.
Une bonne comédie.
C'est glauque, noir mais tellement bien écrit et joué que c'était une belle découverte... surtout avec un Antonio Banderas qui est clairement dans son élément.
Almodovar sait me surprendre à chaque film et j'ai déjà hâte de continuer sa filmographie.
J'ai aimé l'écriture, les personnages, cette Espagne qu'il sait si bien montrer et cette langue que j'écoute toujours avec plaisir à chacun de ses films.
Pour le moment, le meilleur Almodovar (parlant des femmes) que j'ai pu voir jusque là.
C'est bien écrit, bien joué et réalisé, que demander de plus?
Elle est touchante l'histoire de cette femme, cette mère qui va perdre son fils et retrouver à la fois son passé et son avenir, ce lien ténu, cette promesse faite qui va la mener à retrouver celui qu'elle a fui, celle qui lui a "coûté" son fils, une amie perdue de vue et une jeune femme un peu comme elle.
Un intéressant portrait de femme(s) avec leurs forces et leurs faiblesses... leur Humanité.
Toute l'action prend le pas sur l'opposition entre l'Homme et le Primate évolué, c'est survolé à la vitesse de la capsule et c'est ce qui me manque dans ce film pourtant bien fait. C'est dommage.
Bien sûr, ça reste un peu fauché comme projet, certains choix d'animation laissent à désirer mais dans l'ensemble, ce monde est d'une beauté industrielle de bonne facture, surtout la partie forêt polluée...
L'écriture aussi est bonne, cette réflexion sur la science au service de quelques-uns, au détriment du plus grand nombre est intéressante à suivre, tout comme la confrontation des trois parties en lutte et le pauvre Tetsuya entre tous, avec en final le raccord de toute l'histoire en un même point qui a mené à tout.
Une redécouverte que je ne regrette absolument pas...
Une très belle découverte d'un film que je reverrai avec plaisir.
Je reverrais des films de Keaton mais celui-là ne devrait pas être un de ses meilleurs.
J'ai apprécié l'histoire d'Ignacio et Enrique, de leur enfance qu'ils "revivent" suite à la lecture de la nouvelle écrite par Ignacio, du secret gardé qui n'a pas fait de mal qu'à eux.
J'ai aimé voir les différences évoquées sans que ce soit choquant, sans forcer le trait ou imposer comme ça se fait aujourd'hui. Oui, Ignacio est devenu comme ça et ça ne me gêne absolument pas...
C'est un régal d'écriture, d'interprétation, de psychologie... le tout avec retenue mais en grattant tout de même des sujets sensibles. En tout cas, ça me donne envie de continuer la filmographie du réalisateur et celle de Gael Garcia Bernal.
A ranger dans le rayon des films vite oubliés.
Oui, il y a de l'action mais toujours aucun moment qui peut donner envie de s'intéresser à l'univers de ces soldats de l'ombre mis ici en pleine lumière.
Et du coup, j'ai suivi sans vraiment m'intéresser aux personnages, aux confrontations (pourtant bien faites) et j'ai eu un film d'action sympa mais vite oubliable.
Le film déroute un peu par moment, peut choquer par cet acte odieux sur personne vulnérable mais il a tellement pris le temps de développer l'histoire de ces deux hommes et de Benigno surtout qu'on peut comprendre (sans excuser), pourquoi il en est arrivé là.
J'ai aimé l'histoire, j'ai apprécié les personnages masculins et féminins, j'ai apprécié les qualités d'Almodovar sur ce film, à voir d'autres du même réalisateur s'il sait être aussi bon.
C'est terriblement humain, de cette humanité qui ne sait se regarder que dans l'épreuve, voir et comprendre sa fragilité et la montrer dans sa réalité crue.
Bernard Campan est très bon et accompagne très bien l'excellente Isabelle Carré qui a su montrer toute sa beauté... son humanité au service de son personnage.
Un film touchant que je conseille!
Je le reverrai dans quelques années, en espérant que mon avis sur ce film aura changé.
Non que le résultat final soit une insulte à l'original, j'ai eu ma dose de psychologie du personnage principal et des camps opposés à son sujet mais où est passé le côté crade de Détroit et la violence de la trilogie originale?
Là, tout est aussi propre que l'armure et je n'ai pas trouvé l'ambiance d'avant. Et du coup, le côté aseptisé de l'histoire ne m'a pas permis d'apprécier l'ensemble du film.
C'est propre, efficace... facilement oubliable.
Dans ce troisième opus, la psychologie (et le corps) de Murphy/Robocop en prend un coup et va le pousser au-delà des limites de l'homme et de la machine.
Ce n'est pas forcément bon, il y a clairement quelques mauvaises idées mais dans l'ensemble, si on le colle au reste de la trilogie, ça passe.
Il reste quelques pistes de réflexion sur le mélange des technologies et de l'humain, la réalisation de Kershner reste bonne mais ça sent déjà la fin de vie de la saga.
Claude Autant-Lara a réussi à tenir ces trois caractères forts et en faire des personnages plein de vérités.
Un très bon film.