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24 heures de la vie d'une femme
Réalisateur
- Laurent Bouhnik (Réalisateur)
Thèmes principaux du film
24 heures de la vie d'une femme
réplique
Grâce à toi j'ai décidé de ne plus être un fantôme. J'ai couru après un rêve et puis je t'ai rencontré. Je ne te quitte pas, je m'en vais un peu plus loin. Je pars comme un voleur mais c'est ton rire que j'emporte. Tu vois, il n'est jamais trop tard pour rencontrer son rêve.
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Un film pas trop mal mais qui n'est pas non plus transcendant et que je ne peux malheureusement pas juger en terme d'adaptation. Honnêtement, c'est un résultat plutôt bon pour un scénario qui me paraissait aussi banal. Côté jeu, les acteurs se débrouillent pas mal et les deux duos d'acteurs au centre de l'intrigue (Michel Serrault/Bérénice Bejo ainsi que Agnès Jaoui/Nikolaj Coster-Waldau) fonctionnent très bien.
La musique et les images sont très belles, on devine une réalisation très propre et minutieuse. Mention spéciale pour les scènes au casino qui sont vraiment très bien réalisées et que j'ai particulièrement adorées.
En revanche, le film tarde un peu, surtout en ce qui concerne les scènes entre Serrault et Bejo (il n'a de cesse de la repousser, ce qui ne fait que retarder l'intrigue sans aucun réel intérêt). De plus, malgré tout le temps qui leur est accordé, le film ne leur permet pas de creuser leur relation. Ils sont supposés apporter quelque chose à l'autre, mais on a tellement perdu de temps sur des scènes sans importance qu'on n'en accorde plus assez à celles qui en ont. Résultat : les personnages pensent avoir un lien profond, mais je ne l'ai jamais vraiment vu s'exprimer.
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Date de sortie
24 heures de la vie d'une femme
- France : 2003-01-08 (Français)
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Editeurs
Les chiffres
spectateurs | 9 |
Commentaires | 1 |
répliques | 1 |
Evaluations | 2 |
Note globale | 7 / 10 |
Synopsis
Au début du siècle, une petite pension sur la Riviera. Grand émoi chez les clients de l'établissement : l'épouse d'un des pensionnaires, Mme Henriette, est partie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur prend la défense de cette créature sans moralité. Et il ne trouvera comme alliée qu'une vieille dame anglaise sèche et distinguée. C'est elle qui, au cours d'une longue conversation, lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle.
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