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Lorsque survint la mort tragique de lady Diana Spencer, le 30 août 1997, le premier ministre Tony Blair et son parti travailliste étaient au pouvoir depuis à peine trois mois. Elizabeth II, en revanche, régnait sur la Grande-Bretagne depuis 45 ans. Lui, encore vert dans les questions de protocole et de gestion de crise, elle, traditionaliste et hostile aux effusions publiques, ont réagi à ce drame de façon opposée. À l'avantage de Blair, encensé pour sa compassion par des medias qui, du même souffle, reprochaient à la monarque son indifférence. Or, dépassée par la tragédie, plus encore par l'immense affection du public pour la défunte, celle-ci a préféré se replier avec ses proches dans l'enceinte du château de Balmoral, en Écosse. Au bout de cinq jours, Blair réussira à la convaincre d'en sortir.
J'ai plutôt passé un bon moment devant The Queen, qui nous montre les dessous de la grande histoire, le moment où le destin de la monarchie anglaise a failli basculé.
Une anecdote très intéressante, qui met en avant le décalage croissant entre la reine et ses sujets, qu'elle ne comprends plus.
Un bon film bien réalisé qui capture bien selon moi l'ambiance et les émotions autour de ce tragique évènement. Je crois qu'on a pu montrer ici un côté humain et conflictuel des évènements entourant la mort de Diana. Ça s'écoute relativement bien. Helen Mirren et tout simplement excellente dans son rôle et le reste du casting est également bien. C'est assez bien écrit et malgré tout « léger » dans le sens que ce n'est pas trop lourd malgré le sujet.
La famille royale et son histoire m'a toujours fascinée et je crois quand même que le film est réaliste, mais je n'oserais pas prétendre si c'est totalement la réalité, mais ce n'est qu'un film aussi.
Bon film qui fait parfois plus penser à un reportage du fait de la présence d'images réelles mélangées à la fiction, on est réellement plongés au cœur de l'intimité de la famille royale et plus particulièrement au moment du décès de la regrettée Lady Diana et l'arrivée au pouvoir de Tony Blair.
Bravo à tous les acteurs(trices) notamment Michael Sheen qui fait un premier ministre très crédible, mais et surtout une mention spéciale à Helen Mirren qui se fond dans la peau de la reine avec aisance, aidé par les costumes, la coiffure et son jeu d'actrice tout en retenue et en émotion, la ressemblance est plus que frappante. On y voit une reine partagé entre son devoir de souveraine notamment envers son peuple et une mère et grand mère soucieuse de ne pas livrer son fils et ses petits fils en pâture à la presse et aux paparazzis, oui même si c'est la reine d'Angleterre elle n'est pas à l'abri d'avoir des doutes, d'avoir peur de faire le mauvais choix, et c'est ce que l'on voir très bien dans le film contrairement à son mari le duc d'Edimbourg, très bien incarné par James Cromwell, et qui lui ne semble s'intéresser qu'à ses parties de chasse et à sa tasse de thé.
En ce qui concerne la musique elle colle bien à l'ambiance de chaque scène et les décors sont très beaux notamment lorsque la famille royale se trouve à Balmoral en Ecosse où les paysages sont magnifiques.
Cependant si je n'ai pas mis ce film en catégorie "or" mais plutôt en "argent" c'est parce que je n'exclus pas quelques petits moments de longueurs, mais l'ensemble reste plus que correct et il reste à ce jour l'un des films les plus instructifs pour quiconque voudrait se familiariser avec la vie quotidienne de la famille royale d'Angleterre.
J’ai vu ce film principalement pour enrichir ma culture britannique, et il a fait le job. Je ne m’attendais pas à grand-chose de plus que ça, alors si le film manquait un peu de chaleur, ça ne m’a pas trop dérangée. Tout est bien expliqué dans ce film, on a les détails qu’on veut. J’ai aimé le fait que les points de vue de chacun sur l’événement aient été représentés dans ce film. Je ne pensais pas que Diana était autant une icône à l’époque, et j’ai été touchée par l’histoire, par les hommages représentés dans le film, on ressent bien le désarroi du peuple et de la reine elle-même. J’ai aimé aussi que l’histoire ait été présentée d’un point de vue objectif, mis à part peut-être le portrait du Prince Charles qui n’était pas très flatteur.
Au final, je recommande ce film aux curieux qui veulent en savoir plus sur la mort de la princesse Diana.
Le titre est trompeur mais le film est plutôt bon.
Trompeur parce que, ne lisant pas les résumés avant de voir les films, je ne m’attendais pas du tout à ça. J’imaginais un film racontant l’ascension de la reine, la vie de la reine, les manipulations de la reine…
En fait, non.
Le sujet premier, c’est Tony Blair.
Le second, c’est Lady Diana.
Le troisième, enfin, c’est la réception des deux précédents évènements par la reine.
Donc « The Queen » en énorme à côté de la reine, c’est un poil un leurre…
Passé la surprise, j’en ai été ravi. Parce que finalement, c’est presque plus intéressant de suivre l’énormité du phénomène qu’est cette semaine qu’une seule personne – d’autant que la reine n’a pas grand-chose à faire que des barbecues…
Le film est intéressant, parfaitement joué. La réalisation est efficace, surtout dans l’utilisation des images d’archives.
Après, je ne suis pas féru d’Histoire ou de politique, encore moins anglaise… Donc j’ai trouvé à sobre et bien fait, je l’ai vu, ça ne va pas plus loin, je ne vais pas en parler à tout le monde pendant des mois. Mais pour quelqu'un qui s’intéresse au sujet, c’est fait avec beaucoup de classe et d’élégance, au point qu’on pourrait penser à un documentaire.
Le titre est trompeur mais le film est plutôt bon.
Trompeur parce que, ne lisant pas les résumés avant de voir les films, je ne m’attendais pas du tout à ça. J’imaginais un film racontant l’ascension de la reine, la vie de la reine, les manipulations de la reine…
En fait, non.
Le sujet premier, c’est Tony Blair.
Le second, c’est Lady Diana.
Le troisième, enfin, c’est la réception des deux précédents évènements par la reine.
Donc « The Queen » en énorme à côté de la reine, c’est un poil un leurre…
Passé la surprise, j’en ai été ravi. Parce que finalement, c’est presque plus intéressant de suivre l’énormité du phénomène qu’est cette semaine qu’une seule personne – d’autant que la reine n’a pas grand-chose à faire que des barbecues…
Le film est intéressant, parfaitement joué. La réalisation est efficace, surtout dans l’utilisation des images d’archives.
Après, je ne suis pas féru d’Histoire ou de politique, encore moins anglaise… Donc j’ai trouvé à sobre et bien fait, je l’ai vu, ça ne va pas plus loin, je ne vais pas en parler à tout le monde pendant des mois. Mais pour quelqu'un qui s’intéresse au sujet, c’est fait avec beaucoup de classe et d’élégance, au point qu’on pourrait penser à un documentaire.
Le règne de la reine Elizabeth aura été jalonné de hauts et de bas, aura traversé les décennies avec les changements qui vont avec et ce film montre particulièrement bien le tournant que semble avoir été la vie et le décès de la princesse Diana.
Deux époques, deux "systèmes" s'affrontent ici: l'un voulant respecter les traditions et ne pas faire d'un deuil un spectacle médiatique et l'autre qui veut que la Reine soit proche de ses sujets en cette heure difficile. Et c'est là que j'ai apprécié l'histoire, Tony Blair a un respect pour la Reine qui est appréciable, il l'aide à faire ce qu'il faut pour que ses sujets reprennent confiance en elle, comme par le passé.
Helen Mirren et Michael Sheen sont magistraux dans leurs rôles et sans être passionné par la monarchie en général et la britannique en particulier, j'ai apprécié ce passage de la vie de la Monarchie britannique. Un très bon film.
Comme à son habitude, Helen Mirren est impressionnante. Elle interprète une reine d'Angleterre plus vrai que nature tel que l'on a l'impression de voir un documentaire tourné sous le manteau. Le scénario reste classique, tout le monde connaissant l'histoire qu'il raconte.
Synopsis
Lorsque survint la mort tragique de lady Diana Spencer, le 30 août 1997, le premier ministre Tony Blair et son parti travailliste étaient au pouvoir depuis à peine trois mois. Elizabeth II, en revanche, régnait sur la Grande-Bretagne depuis 45 ans. Lui, encore vert dans les questions de protocole et de gestion de crise, elle, traditionaliste et hostile aux effusions publiques, ont réagi à ce drame de façon opposée. À l'avantage de Blair, encensé pour sa compassion par des medias qui, du même souffle, reprochaient à la monarque son indifférence. Or, dépassée par la tragédie, plus encore par l'immense affection du public pour la défunte, celle-ci a préféré se replier avec ses proches dans l'enceinte du château de Balmoral, en Écosse. Au bout de cinq jours, Blair réussira à la convaincre d'en sortir.
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