Mort à Venise
Réalisateur
- Luchino Visconti (Réalisateur)
Commentaires récents
Venise sublimée par la musique de Mahler, un éphèbe incarnant la beauté absolue. Presque pas de dialogue. Très beau mais très long. À regarder comme un documentaire sur cette « belle époque » où la bourgeoisie s’étiolait dans des palaces, tandis que la peste faisait des ravages dans la ville d’en bas.
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peut être que le décor était sublime mais ce n'est pas ça qui va rendre ce film super personnellement je n'ai pas du tout apprécie ce film il était fatiguant et il n'y avait aucune intrigue
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Bien que je sache maintenant que le scénario fut inspiré par une nouvelle de Thomas Mann, je ne m'en souviens pas. Ce que je retiens de ce film, c'est la couleur dorée du paysage et surtout la musique de Gustav Mahler. Je crois que c'est ce film qui me fit acheter les CDs des symphonies et des oeuvres vocales de ce compositeur.
Quasi pas d'action mais une ambiance!
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Mahler et Venise réunis à l'écran dans une mise en scène somptueuse. Dirk Bogarde extraordinaire dans sa descente aux enfers. On aimerait être Tadzio pour lui dire une fois encore au revoir
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Activité récente
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Évaluations
Editeurs
Les chiffres
| spectateurs | 63 |
| Commentaires | 4 |
| répliques | 0 |
| Evaluations | 11 |
| Note globale | 8.18 / 10 |
Synopsis
L'action se déroule en 1911, à la Belle Époque, dans une Venise visitée par la bourgeoisie insouciante, avant les drames qui vont surgir. Dans l'hôtel de luxe où il loge (le Grand Hôtel des Bains), Gustav von Aschenbach, vieux compositeur en villégiature (très librement inspiré de Gustav Mahler), est troublé par un jeune adolescent androgyne, le Polonais Tadzio, qui semble incarner l'idéal de beauté éthérée à laquelle il a désespérément tenté de donner expression dans ses créations.
Ce déconcertant garçon ayant, par des regards croisés, pris conscience de sa fascination, l'artiste rêve de l'aborder, et en vient à remettre en question les certitudes de sa vie tout entière.
Dans une ville qu'il sait en proie à une épidémie de choléra cachée par les autorités, Aschenbach, au lieu de fuir, s'enfonce dans la déchéance (songeant à alerter la famille du jeune Polonais), puis meurt sur la plage du Lido après avoir une dernière fois contemplé Tadzio, son bien-aimé à qui il n'aura jamais osé parler...
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