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Liste des répliques
« Donner un sens à ma vie, ça aurait été comme jouer la 5e symphonie de Beethoven avec les ongles sur un tableau. »
Afficher en entierC’est comme ça qu’on a gagné la partie. Ensemble. Heureux. Et là, au fond du béton, on a enfin partagé notre rêve d’enfant : le rêve d’un amour sans fin...
Afficher en entierNous séparé ? Ils n'ont jamais été cap d'y arriver !
Afficher en entierJulien [enfant, narrateur] : J'aime bien les osselets ! Le Monopoly, mais, seulement quand je tiens la banque. J'adore jouer aux billes, je gagne tout le temps, le jeu de l'oie, c'est franchement débile, enfin, toujours moins que les dames, le rubiscube et toutes ces conneries des pays de l'est ! Les devinettes ? C'est pas mon truc, yams, crapette, marelle c'est ok. Oh, le chat perché ? Ça passe encore ! Mais ça s'arrête là ! Mais il y'a un jeu, auquel il ne faut jamaiiiis jouer ! Je dis bien JA-MAIS ! Même si c'est votre meilleur ami qui vous le propose. C'est de se faire enssevelir dans un bloc de béton ! Ce jeu il a commencé avec une jolie maison, un joli bus, sans chauffeur, une jolie boite et une jolie copine. Non, en fait ça a commencé avant, ça a commencé par un mot dégoûtant, qui veut rien dire du tout, un mot comme... Métastase... N'importe quoiiiii. Pourquoi pas Mammouth tant qu'il y est ! Et puis, y'a aussi d'autres mots pas sympas, comme... Kowalski ! Oh, cherche pas, ça veut rien dire non plus. Kowalski pue aussi, ou encore, sale polack, sans oublier, sale polack tête à claques. Mais tout ça, ça veut dire à peu près la même chose. Ça veut dire, j'ai mal, j'ai mal comme personne d'autre sur terre, sur mars et même sur Altair 4.
Afficher en entier« T’aime ma robe ? J’ai hésité. J’l’ai chipé à ma sœur, y’en avait une autre : rouge, genre bombe thermonucléaire, tu vois ? Je sais que c’est celle là que j’aurai dû mettre mais j’ai peut-être passé, j’sais pas moi... Trois heures devant mon miroir. Mais j’y suis arrivée tu vois. J’suis jolie. Et alors là j’espère que ça te plait sinon j’te colle un de ces raclées. Attend... J’en étais où... Le problème c’est que même si tu m’disais j’adore j’te croirais pas. Julien je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue. Attend. J’ai pas fini. Dis moi qu’tu m’aimes, dis moi juste que tu m’aimes parce que moi j’oserais jamais te le dire la première, j’aurais trop peur que tu crois que c’est un jeu. Sauve-moi. J’t’en prie. »
Afficher en entier"Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied !
C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy.
Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise.
Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane.
Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001.
Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford.
Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson.
Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques.
Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda.
Mieux que la liberté.
Mieux que la vie..."
Afficher en entierAlors c’est ça être adulte, avoir un compteur qui affiche 210 et ne jamais dépasser le 60 ?
Afficher en entier- Il est quelle heure ?
- L’heure de mon exam !
- Exam de quoi ?
- De maths.
- Tu l’auras pas.
Afficher en entierT’es cap toi de faire pleurer une fille le jour de son mariage, de rire quand t’es malheureux, de te taire pendant dix ans ? Dis moi, t’es cap’ ?
Afficher en entierC'est comme ça qu'on a gagné la partie. Ensemble. Heureux. Et là, au fond du béton, on a enfin partagé nôtre rêve d'enfant : le rêve d'un amour sans fin...
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