24 jours, la vérité sur l'affaire Ilan Halimi
Réalisateur
- Alexandre Arcady (Réalisateur)
Commentaires récents
Un film poignant. Les acteurs reflètent les émotions, même si l'on se doute que la réalité devait être toute autre. Le suspense est présent, on se demande quel bouleversement va surgir. Dur finalement, lorsqu'on sait qu'il s'agit d'une histoire vraie.
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Je n'ai rien trouver d'exceptionnel l'angoisse n'est pas assez présente à mon goût.
ça ne m'a pas particulièrement touché. c'est assez plat comme scénario après l'idée de base.
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De la sinistre et terrible affaire Halimi et du gang des barbares, Arcadi signe un film choc. Malgré une mise en scène beaucoup trop scolaire qui se rapproche trop d'un téléfilm, malgré des scènes répétitives, on est emporté par l'horreur de l'affaire. L'interprétation est convaincante, la tension est souvent forte avec des scènes que l'on n'oubliera pas.
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Date de sortie
24 jours, la vérité sur l'affaire Ilan Halimi
- France : 2014-04-30 (Français)
Activité récente
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Editeurs
Les chiffres
| spectateurs | 27 |
| Commentaires | 3 |
| répliques | 0 |
| Evaluations | 3 |
| Note globale | 7.67 / 10 |
Synopsis
Elle est entrée dans une boutique de téléphonie sur le boulevard Voltaire. Elle a fait mine de s’intéresser aux nouveaux portables, a obtenu le numéro du vendeur et s’en est allée. Elle l’a rappelé dès le lendemain, lui a dit qu’elle voulait le revoir. Ilan ne s’est pas méfié. Il avait vingt-trois ans, la vie devant lui…
Comment pouvait-il se douter qu’en rejoignant cette jolie fille dans un café de la porte d’Orléans, il avait rendez-vous avec la mort ?
Le vendredi 20 janvier 2006, Ilan Halimi, choisi par le gang des Barbares parce qu’il était juif, est enlevé et conduit dans un appartement de Bagneux. Il y sera séquestré et torturé pendant trois semaines avant d’être jeté dans un bois par ses bourreaux. Retrouvé gisant nu le long d’une voie de chemin de fer à Sainte-Geneviève-des-Bois, il ne survivra pas à son calvaire.
Dans ce film, Ruth Halimi revient sur ces 24 jours de cauchemar. 24 jours au cours desquels elle aura reçu, elle et son mari, Didier, plus de six cents appels, des demandes de rançon dont le montant ne cessera de changer, des insultes, des menaces, des photos de son fils supplicié… 24 jours d’angoisse de toute une famille, contrainte de garder le silence pour laisser travailler la police criminelle.
Mais le 36 Quai des Orfèvres ne sait pas à quels individus il a affaire. Personne ne mesure la haine antisémite qui habite les ravisseurs, et ne s’imagine qu’Ilan allait perdre la vie...
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