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Bird People

Réalisateur



Description ajoutée par Cacoethes-scribendi 2014-03-28T14:40:22+01:00

Synopsis

En transit dans un hôtel international près de Roissy, un ingénieur en informatique américain, soumis à de très lourdes pressions professionnelles et affectives, décide de changer radicalement le cours de sa vie. Quelques heures plus tard, une jeune femme de chambre de l’hôtel, qui vit dans un entre-deux provisoire, voit son existence basculer à la suite d’un événement surnaturel.

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Classement en cinéthèque - 31 spectateurs


Bande annonce

Vidéo ajoutée par sylvains7 2015-05-12T16:34:08+02:00

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Maomelancolik 2015-10-08T18:46:44+02:00
Vu aussi

Ce film est vraiment très spécial, j'ai pas vraiment compris l'histoire, son début et son dénouement. On sent bien que le film part en couille au moment ou elle monte sur le toit. Mais j'en comprend pas l'intérêt. Certes ça semble intéressant comme approche mais là j'en ai vraiment pas compris l'intérêt. Par contre je ne blâme pas le jeux de Anaïs que j'aime beaucoup et qui pour moi est une des nouvelles actrices à suivre.

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Commentaire ajouté par sylvains7 2015-09-08T23:16:51+02:00
Bronze

Pascale Ferran retrouve la structure de son premier film "Petits arrangements avec les morts", à savoir que son film est divisé en chapitre correspondant à un personnage different d'une même histoire (ici, le dernier chapitre est une vraie surprise jubilatoire). Son film est singulier, tantôt grave, tantôt attachant et fantaisiste. Dommage que son rythme soit beaucoup trop lent, le film aurait mérité d'être plus court.

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Commentaire ajouté par Octave2Methylene 2015-07-17T21:15:29+02:00
Diamant

Face à l'instrumentalisation croissante des individus dans une société géré par une marchandisation outrancière, que deviennent les relations humaines? La première image apparaissant à l'écran et celle d'un cadran horaire géant que traversent, indifférents les uns aux autres, des voyageurs s'acheminant vers leurs destinations. Puis, des bribes de conversations, des pensées, comptant, calculant, répertoriant, énumérant, de l'argent, des heures, des noms, des personnes ... l'humain transformé en machine à calculer, à évaluer, à dénombrer ... Quelques-uns d'entre eux finiront leur trajet dans un hotel de l'aéroport Charles de Gaulle. Toute la suite du film se déroulera sur cette plateforme d'échange, de transit, où paradoxalement les gens ne se parlent pas. Dans l’hôtel où travaille Audrey (Anaïs Demoustier en jeune femme de chambre), chaque cellule recèle une individualité secrète ne communiquant pas avec les autres. Les personnages sont pourtant sans cesse connecté (via Skype, mails et téléphone), mais les informations transmises sont très majoritairement d'ordre "logistique", c'est a dire: "concernant la mise à disposition de ressources, humaines ou matérielles, en correspondance avec des besoins, plus ou moins, déterminés": "Où es-tu ? ... À quelle heure est votre vol ... Il me faudra deux programmeurs en plus ... etc. Perdu au milieu de ces considérations d'ordre fonctionnelles, le seul a essayer de mettre des mots sur les sentiments qui le submerge sera Gary, l'ingénieur américain, qui décide brusquement de tout plaquer. Jouant l'alternative, Audrey, sera celle qui décroche, en douceur, via une ellipse fantastico-poétique inexplicable. Le survol de Roissy en caméra subjective, dilaté par l'aérien "Space Oddity" de Bowie est à la fois le signe d'un glissement, hors du cercle vicieux de l'aliénation, et d'une mutation. Les mots disparaissent alors pour faire place à la multitude des sensations. C'est par une présence totale aux plus intimes frémissements de la vie que l'héroïne de Pascale Ferran parvient à préserver l'intégrité de sa dimension humaine. Pas d'explications, pas de justifications. Soit on se laisse emporter avec elle dans ce mouvement plein de bruissements subtils et de découvertes émerveillées qui a tout d'une évasion, soit on se refusera à la suivre. Mais si l'on part, c'est magnifique. Construit comme un concerto de musique de chambre, avec un thème et une progression, une exposition en trois parties, ce film livre une partition visuelle rigoureuse plus proche de la rêverie métaphysique que de la diatribe contestataire. Que le propos en soit chuchoté avec délicatesse ne le rend que plus troublant.

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Commentaire ajouté par Lilymilou 2014-07-02T16:59:39+02:00
Vu aussi

J'ai moyennement aimé ce film... Il est lent, bien trop long. Je trouve qu'il manquait de musique, et que certains passages auraient pu ne pas être là, ou du moins être très raccourcis.

Sinon, le sujet est intéressant, car n'importe qui peut être concerné par le fait de vouloir abandonner sa propre vie, de changer. Si le film avait été plus court, ça aurait été super de pouvoir y réfléchir un peu. Mais là, je me suis même ennuyée.

Les prises de vues où l'on est à la place de l'oiseau sont très bien réalisées. Et j'aime bien le fait qu'on voit la vie de chaque personne parmi une foule.

Bref, du bon... Du moins bon.

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Commentaire ajouté par Tara99 2014-06-09T12:33:56+02:00
Argent

Je m’excuse à l’avance de la gêne occasionnée pour ceux qui n’ont pas encore vu le film. Simplement, il y a des bug lorsque je spoile certains passages dans mes commentaires, alors je ne spoile plus. Merci de votre compréhension.

J’ai beaucoup aimé ce film, malgré quelques longueurs (je suis sûre qu’en une heure et demi, on faisait passer autant de messages qu’en 2 heures) et j’avoue que je me suis ennuyée à certains moments, mais rien de terrible là-dedans.

Grande révélation pour moi, l’actrice Anaïs Demoustier que j’avais déjà vue dans un téléfilm, les petits meurtres d’Agatha Christie (elle avait alors attiré mon attention). Etre une bonne actrice, c’est avoir quelque chose que les autres n’ont pas. Et ceci marche pour Anaïs Demoustier, un certain naturel, une sorte de fraîcheur ressort d’elle et la rend unique. De plus, elle joue vraiment bien.

Au début, on met un certain temps à rentrer dans l’histoire, parce qu’on ne comprend pas ce qui se passe. Je m’y attendais un peu étant donné la bande-annonce, complètement incompréhensible. Mais petit conseil, il faut aborder ce film sans vouloir tout comprendre dès le départ (et même à la fin, on n’a pas tout compris, et il faut longuement revenir sur ce qu’on a vu et l’interpréter à notre manière). Les informations nous sont données par petites bribes, de minuscules fragments qui à la fin forment un puzzle reconstitué, surtout pour la femme de chambre. Le seul où on apprend tout de sa vie en quelques minutes, c’est Gary. J’aimerais revenir un instant sur son attitude : certes c’est vachement dur ce qu’il fait, mais c’est aussi honnête et pour reprendre les propos d’un de mes proches ,« c’est le seul qui ne ment pas dans tout ça » En effet, Audrey ment à son père car elle ne va presque jamais à la fac, le réceptionniste ment à une collègue d’Audrey en lui disant qu’il habite chez un copain car il n’a plus d’appartement, alors qu’il dort dans sa voiture, etc.

Je crois que la voix off n’était pas indispensable à la compréhension des pensées des deux protagonistes principaux. Cette voix off prononce des paroles du genre : « Gary ne saurait pas plus tard déterminer le moment précis où il avait pris sa décision » et je trouve que cela vient parfois gâcher le jeu des acteurs car le spectateur se concentre sur la voix et sur ce qu’elle dit. En revanche, j’ai bien aimé la voix qui résonne dans la tête d’Audrey et de Gary. Ça commence dès le départ, mais du coup on a une transition en douceur par rapport à ce qui va suivre, à savoir la transformation d’Audrey puisqu’on avait déjà ses « paroles pensées » quand elle était humaine et on les retrouve quand elle est moineau.

Certains passages sont vraiment magnifiques notamment celui du début dans le RER B quand la caméra passe en revue tous les individus qui se trouvent dans le wagon, qu’on entend leurs pensées ou bien la musique qu’ils écoutent, etc. j’ai toujours été fascinée par les trains, pour cette raison qui va suivre : Un train c’est des gens et donc des milliers d’histoires différentes qui s’entrecroisent pour un instant aux heures de pointe à Paris ou sur un siège dans un train suant à Bangkok. Cette phrase résume mon émerveillement pour ces trains et lorsque justement on a plusieurs prises dans les transports en commun ou lieux publics (trains mais aussi bus, hall d’aéroport) centrées sur les passagers, c’est génial !

La symbolique de l’oiseau, c’est un peu redondant en général mais là c’est un moineau pas un condor majestueux qui déploie ses ailes et plane au-dessus des montagnes. Le moineau, c’est un oiseau petit, chétif avec donc des parts de faiblesse. Un moineau évolue en groupe, on le voit un peu avec quelques plans sur un groupe de moineaux. Il perd alors sa faiblesse et gagne de la force, une sorte d’harmonie de groupe qui le fait sortir en quelque sorte de la condition humaine. Mais un oiseau quel qu’il soit, c’est le symbole de l’âme humaine (j’ai fait des recherches sur le Net, hein qu’on ne m’accuse pas de plagiat alors je précise). Mais un moineau, grâce à sa sociabilité c’est aussi audacieux. Lors de sa soirée passée dans le corps du moineau, Audrey acquiert une certaine sorte d’audace, qu’elle n’a pas dans sa vie humaine et qui d’ailleurs va rejaillir après. Je m’explique : lors de la conversation téléphonique qu’elle a avec son père, on apprend (on le sait déjà mais ici c’est souligné) que le métier de femme de chambre est un métier extrêmement ingrat et répétitif (cela on le voit à l’écran) et Audrey le dit elle-même, quel client parle avec une femme de chambre ? De plus, la jeune femme est renfermée, timide. Elle ne parle donc jamais avec les clients.

J’espère que ce n’est pas trop difficile à suivre ^^ bon déjà je félicite ceux qui ont le courage de lire le pavé que j’ai écrit… Or à la fin, elle va non seulement parler avec un client mais en plus elle va revenir vers lui : l’audace qu’elle a acquise en tant que moineau refait surface dans sa vie de femme.

En outre, le moineau apporte de la chance et fait place à un renouveau, une période plus légère, plus insouciante. ; Gary et Audrey se sont finalement rencontrés. J’aime la touche d’espoir à la fin du film, lorsqu’ils se tendent la main. Comme ils sont d’une nature assez imprévisible, ils peuvent très bien partir la seconde qui suit ensemble ou en rester là.

Voici les points communs que j’ai trouvés entre les deux : ils menaient chacun une vie bien rangée, ordinaire et à la fin, cette vie se trouve changée du tout au tout, par des évènements singuliers : Audrey se transforme en oiseau et en revient métamorphosée et Gary prend la décision de tout lâcher, mais cette décision est induite par le climat dans lequel il se trouve comme si l’atmosphère lui fait changer d’avis. Ils réalisent qu’ils ne sont pas heureux et le deviennent à la fin. Ils prennent leur envol.

J’apprécie le personnage de l’homme qui peint à l’encre de Chine le moineau, parce qu’il a comme conscience que le moineau a un esprit, une vie, un nom. Il lui montre son portrait. Bref, j’ai l’impression qu’il sent les choses.

Pour revenir au moineau, il a des prédateurs : chat, hibou. Audrey a des prédateurs : sa sous- patronne, mais aussi elle-même.

J’ai adoré le passage où le moineau se pose sur les affiches de publicités dans l’aéroport : « Designed for humans » pour le Samsung Galaxy, « envisagez toutes les opportunités » autant de messages pour Audrey et Gary.

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Date de sortie

Bird People

  • France : 2014-06-04 (Français)

Activité récente

LAilleurs l'ajoute dans sa cinéthèque or
2023-06-02T21:40:04+02:00
Gaya l'ajoute dans sa cinéthèque envies
2023-01-17T09:34:57+01:00

Évaluations

Les chiffres

spectateurs 31
Commentaires 5
répliques 0
Evaluations 10
Note globale 7.2 / 10

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