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Liste des répliques
Un opposant -Votre Majesté résoudrez toutes des questions, si elle voulez bien se marier.
Un autre opposant -Il a raison, mariez-vous Madame.
Elizabeth -Soit...mais avec qui Monseigneur ? Pour certains, c'est la France, pour d'autres l'Espagne et d'autres encore ne semblent pouvoir souffrir d'étranger. Aussi je me demande si le moyen de satisfaire tout le monde ne serait pas de les épouser tous. (rires collectifs)
Un Lord -Votre Majesté moque à présent les liens du mariage.
Elizabeth -Êtes-vous assez qualifié pour nous conseiller sur ce chapitre là, Lord, vous qui avez déjà divorcé deux reprises et qui venez de convoler pour la troisième fois ! (rires collectifs)
Afficher en entierC'est du simple bon sens. La plus anglaise de nos vertus.
Afficher en entier- Je suis la fille de mon père.
Afficher en entierPoème de Thomas Wyatt déclamé à Elizabeth par Robert.
Mon amour a mon cœur,
Et j'ai le sien.
Mon cœur en elle qui de ses pensées et ses sens.
Elle aime mon cœur.
Pour une fois, il est à elle seule.
Je chéris le sien, car il bat en moi.
Mon amour a mon cœur et j'ai le sien.
Afficher en entier-Je crois que c'est par sa manière de mourir qu'un homme prouve qu'il a du courage...et je me réjouis de mourir pour mes convictions...coupez-moi la tête et faites de moi un martyr. Mon pays ne l'oublieras jamais.
-Non. Il oubliera.
Afficher en entier-Pardon madame, mais vous n'êtes qu'une femme.
-Je suis une femme en effet. Mais je sais avoir un cœur d'homme. Je suis la la fille de mon père. Rien ne me fait peur.
Afficher en entierChacun de vous a le devoir de voter selon sa conscience. N'allez pas oublier qu'en ce jour solennel, ce qui repose entre vos mains, c'est le bonheur et l'avenir de mon peuple et la paix de notre royaume. Que cela soit présent dans votre conscience.
Afficher en entierComment vous forcerez-je Monseigneur ? Je suis une femme.
Afficher en entierSir William -Je vous saurais gré de me présenter les draps de sa Majesté chaque matin. Je dois surveiller ses fonctions.
Dame de compagnie choquée -Surveiller ses fonctions, Sir William !
Sir William -Oui. Désormais ni la personne de sa majesté, ni son corps ne lui appartiennent plus. Ils appartiennent à l’État.
Afficher en entierRobert -Vous rougissez Lady N. Seriez-vous amoureuse ?
Lady N -Non, monsieur le Comte.
Robert -Vous devriez, il serait dommage que tant de beauté se perde.
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