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Premier film, déja brillant.
Hard Eight fait certes pâle figure dans la filmo de PTA, il nous démontre déja son talent évident pour la réalisation, notamment par l'apparition déjà de plan séquence mémorable, mais si il est un polar très bien ficelé et aux personnages joliment écrit, on est loin de l'ambition démentiel d'une fresque comme Magnolia ou Boogie Nights.
Ceci dit, ce n'est pas que le gugus n'était pas déja un malade ultra ambitieux, mais juste qu'il n'a pas pu avoir le final cut, qui se retrouve privé de bien 50minutes par rapport a ce qu'il voulait. Je veux trouver cette version !
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