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Riddick reste égal à lui-même : une sorte de surhomme humain (oui, à lire, ce n'est pas logique, mais c'est ça : un humain invicible sans aucun pouvoir, juste la force, l'intelligence et l'instinct). Rambo ou Schwarzy gagnaient à 1 contre 100 ; Riddick, c'est 1 contre 1000, contre des planètes invivables, contre des ennemis quasi invincibles ! Si le personnage reste égal à lui-même (un poil plus sentimental et attachés aux autres, toutefois), il est confronté à un paquet d'autres types, contrairement au premier opus. Se dégage donc plusieurs scènes pleines de testostérone que l'on n'avait moins dans le précédent film. De plus, c'est un poil long. On ne s'ennuie pas car l'histoire est pleinement développée (un poil trop, parfois, quand ils courrent des plombes ou monnayent tout autant) avec son côté tragédie ancienne revisitée mais c'est touffu.
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