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Christian est un père divorcé qui aime consacrer du temps à ses deux enfants. Conservateur apprécié d'un musée d'art contemporain, il fait aussi partie de ces gens qui roulent en voiture électrique et soutiennent les grandes causes humanitaires.Il prépare sa prochaine exposition, intitulée << The square>>, autour d'une installation incitant les visiteurs à l'altruisme et leur rappelant leur devoir à l'égard de leurs prochains. Mais il est parfois difficile de vivre en accord avec ses valeurs : quand Christian se fait voler son téléphone portable, sa réaction ne l'honore guère... Au même moment, l'agence de communication du musée lance une campagne surprenante pour The square: l'accueil est totalement inattendu et plonge Christian dans une crise existentielle.
Bon je ne dis pas que c'est mon film préféré mais j'aimerais tout de même le défendre !
Déjà, dans ce film, on traite la gêne, l'inconfort, la peur du regard des autres, la domination, le mépris de classe, l'hypocrisie de la classe intellectuelle et toutes ses absurdités. Je vous donne des exemples : dans la scène du vernissage, tous les riches petits vieux n'attendent en réalité que l'ouverture du buffet pour s'empiffrer plutôt que de réellement apprécier l'art. Lors de la scène du buffet, pareil les gens en costume par égoïsme ont peur d'attirer l'attention de la bête sur eux, ils n'interviennent ainsi qu'au dernier moment.
Chaque scène est là pour exprimer quelque chose, rien n'est inutile ! Quand la femme veut absolument récupérer la capote pleine et qu'on voit bien que ce n'est pas par précaution, cela créée énormément de gêne et d'inconfort vis-à-vis de la situation.
Je salue le travail de ce réalisateur qui expérimente vraiment avec le cinéma et nous délivre des choses inédites.
Une mise en scène irréprochable. Des scènes d'anthologie (aah, le diner de gala interrompu par...), d'autres qui s'étirent en longueur, dérangeantes jusqu'au malaise. Un véritable jeu de massacre où toute la race humaine, toute classe confondue, est éclaboussée. Personne n'en sort indemne, le spectateur non plus. Cependant, la longueur (2h20) ne joue pas en sa faveur. Et bizarrement, ce film, Palme d'Or 2017 méritée, devient un digne représentant de l'art moderne, style dont il ne cesse de se moquer. Le serpent se mord la queue...
Ben voilà un film qui m’est passé un peu au-dessus – à vouloir aborder l’Art moderne dont le sens échappe aux gens, le réalisateur a réussi son film dans le même sens : l’ensemble m’a échappé.
D’abord, j’ai pesté sur les lenteurs qui m’ont semblé inutile. A quoi ça sert de le faire conduire des plombes, de rester quinze secondes en plan fixe sur des gens qui dansent, de faire des pauses de 4 secondes entre chaque phrase (non, non, ça ne sert pas à instaurer une ambiance à mon goût…)
Et combien de fois, j’ai cherché pourquoi… Pourquoi cette femme a un singe ? D’ailleurs, pourquoi cette fille, à quoi elle sert, qu’est-ce qu’elle devient ? Et que devient la capote ? A quoi ça sert de lui mettre des filles qui sont pas là et hop, apparaissent soudainement pour ne plus partir ? Pourquoi caser un syndrome de la Tourette pendant un discours et puis c’est tout ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi plein de trucs ?
Surtout, pourquoi un tel assemblage ?
Le film fait une critique assez bonne des créateurs de buzz. Alors pourquoi ne pas se contenter de ça : un film sur la fatuité du buzz, mis en rapport avec l’Art ?
Ou alors, « l’artiste interviewé » au début qui ne se laisse pas faire lors du repas, avec cet homme animal… Le créateur qui ne comprend pas la création, les gens qui prônent la liberté d’expression et l’entraide mais ne l’appliquent pas… Voilà quelque chose sur lequel on aurait pu faire le film…
Voir même ce vol de portable, le gamin des immeubles, la peur de l’autre sans réelle raison, c’était un bon thème…
Mais à vouloir parler de tous ces thèmes et d’autres encore, j’ai trouvé qu’aucun n’était totalement abouti et que tous se délayaient les uns sur les autres, noyant l’ensemble…
Synopsis
Christian est un père divorcé qui aime consacrer du temps à ses deux enfants. Conservateur apprécié d'un musée d'art contemporain, il fait aussi partie de ces gens qui roulent en voiture électrique et soutiennent les grandes causes humanitaires.Il prépare sa prochaine exposition, intitulée << The square>>, autour d'une installation incitant les visiteurs à l'altruisme et leur rappelant leur devoir à l'égard de leurs prochains. Mais il est parfois difficile de vivre en accord avec ses valeurs : quand Christian se fait voler son téléphone portable, sa réaction ne l'honore guère... Au même moment, l'agence de communication du musée lance une campagne surprenante pour The square: l'accueil est totalement inattendu et plonge Christian dans une crise existentielle.
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