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Le vénérable W.
Réalisateur
- Barbet Schroeder (Réalisateur)
Thèmes principaux du film
Le vénérable W.
Commentaires récents
Schroeder n'a plus rien à prouver comme metteur en scène. Sa filmographie est ponctué de films appréciables. Pour conclure sa trilogie sur des incarnations du mal, il se plante lamentablement. Son film fait du surplace, montre plus qu'il ne démontre, compile au lieu de trier. L'intérêt du spectateur est mit à rude épreuve et l'impossibilité de voir ce doc jusqu'à la fin est une évidence.
Afficher en entierUn documentaire dur. Qui montre l'étendue de la bêtise humaine sous couvert de la religion et des croyances. Ce moine bouddhiste qui est sensé être ouvert, être un maître zen, faire de la méditation et qui de part ses paroles et ses actes, ressemble plus à un dictateur exterminateur, qu'à un être évolué.
C'est dommage, le documentaire est très intéressant, mais il est tourné tellement bizarrement qu'on peu décrocher et arrêter de suivre très rapidement
Afficher en entierJ'ai trouvé ce documentaire extrêmement intéressant. On en apprend beaucoup sur certains mauvais côtés humains... Malheureusement, il m'a semblé qu'il n'allait pas droit au but. J'avais l'impression de tourner en rond autour du sujet. Je crois que c'est voulu par l'artiste, pour ne pas juger Wirathu...
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Editeurs
Les chiffres
spectateurs | 6 |
Commentaires | 3 |
répliques | 0 |
Evaluations | 2 |
Note globale | 4.5 / 10 |
Synopsis
France – 2017 – 1h40 en VO – Réalisé par Barbet Schroeder
Au Myanmar (Birmanie), le « Vénérable W. » est un moine bouddhiste très influent. Partir à sa rencontre, c’est se retrouver au cœur du racisme quotidien, et observer comment l’islamophobie et le discours haineux se transforment en violence et en destruction. Pourtant nous sommes dans un pays où 90% de la population a adopté le bouddhisme, religion fondée sur un mode de vie pacifique, tolérant et non-violent.
LE VENERABLE W. présenté en séance spéciale au Festival de Cannes, est le dernier volet de la « Trilogie du Mal » de Barbet Schroeder, qui commence avec GENERAL IDI AMIN DADA (1974), et se poursuit avec L’AVOCAT DE LA TERREUR (2007), sur l’avocat Jacques Vergez. Barbet Schroeder y est fidèle à sa méthode : faire parler sans les juger ses personnages au travers desquels le mal peut s’incarner sous différents visages et en laissant l’horreur ou la vérité s’installer d’elles-mêmes petit à petit. A travers le portrait de Wirathu, moine dont le discours antimusulmans va à l’encontre de la sagesse habituellement associée au Boudhisme, le réalisateur de LA VIERGE DES TUEURS s’est attaché à mettre en lumière la question du passage à l’acte et le sort réservé à l’ethnie Rohingya, directement menacée par ses imprécations. Tourné en partie de manière clandestine, en intégrant de films amateurs et de nombreuses archives, ce documentaire jette un regard passionnant sur la situation complexe de la Birmanie, pays tiraillé entre le pouvoir des Militaires et le gouvernement de la Ligne Nationale pour la Démocratie, dirigé par l’ex-dissidente Aung San Suu Kyi…
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