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Commentaire ajouté par Biquet 2013-12-31T15:58:16+01:00

Les films associant plusieurs "monstres sacrés" ne sont pas toujours une garantie de succès. Belmondo l'a fait avec Gabin (en 1962, Un singe en hiver), avec Deneuve (en 1969, La sirène du Mississipi) et avec Delon (en 1970, Borsalino). De Funès y arriva plusieurs fois avec Bourvil (dont en 1966, La Grande Vadrouille) et avec Montand (en 1971, La folie des grandeurs). Pareillement Signoret affronta Gabin en 1971 dans l'étonnant "Le chat", l'adaptation d'une nouvelle du belge Simenon.

Mais en faire cohabiter trois relève du jeu de l'équilibriste, ce qu'a réussi Claude Autant-Lara. En associant Gabin, Bourvil et de Funès il réussi un coup de maître. Il n'était néanmoins pas nécessaire d'en faire un version colorisée, le noir et blanc lui sied tellement bien à ce film.

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