Immortel (ad vitam)
Réalisateur
- Enki Bilal (Réalisateur)
Bande annonce
Commentaires récents
On ne pourra pas dire qu'Enki Bilal, ce n'est pas original. L'univers graphique de la ville, des Dieux d’Égypte et des humains est travaillé et ça fait plaisir de voir quelque chose d'aussi différent.
Pour le reste, il faut du temps pour commencer à apprécier Horus, son lien avec Nikopol et Jill malgré les thèmes importants abordés et la différence flagrante entre ce Dieu et les deux humains.
A voir pour le côté différent de ce qui se fait proposé par le réalisateur et pour une éventuelle découverte d'un réalisateur, auteur de BD réputé.
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Un film innovant pour l'époque. J'ai carement accrochée au scénario, Exploiter le thème des dieux égyptiens aussi. A essayer, :-) Laissez vous tenter !
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J'ai vu ce film une demi-douzaine de fois. Je l'ai vraiment trouvé superbe! Le scénario peut etre étrange mais j'aime beaucoup les images et les personnages. J'adore voir les dieux égyptiens jouer aux échecs! XD
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Un film très durs à comprendre avec des personnages très mal fait (les dieux égyptiens), un scénario plutôt plat, je n'ai vraiment pas aimer pourtant la pochette m'avait pas mal attirée. Je ne comprend même pas pourquoi l'auteur a éprouvé le besoin d'utiliser les dieux Égyptiens de la sorte...
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Date de sortie
Immortel (ad vitam)
- France : 2004-03-24 (Français)
Activité récente
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Évaluations
Editeurs
Les chiffres
| spectateurs | 135 |
| Commentaires | 4 |
| répliques | 0 |
| Evaluations | 24 |
| Note globale | 6.42 / 10 |
Synopsis
New York 2095.
Une pyramide flottante au-dessus de Manhattan...
Une population de mutants, d'extraterrestres, d'humains, réels ou synthétiques...
Une campagne électorale.
Un serial killer boulimique qui cherche un corps sain et un dieu à tête de faucon qui n'a que sept jours pour préserver son immortalité.
Un pénitencier géostationnaire qui perd un dissident subversif congelé depuis trente ans et une jeune femme sans origine connue, aux cheveux et aux larmes bleus...
Trois noms : Horus, Nikopol, Jill...
Trois êtres aux destins convergeants où tout est truqué: les voix, les corps, les souvenirs.
Tout, sauf l'amour qui surgit comme une délivrance.
Source: allocine.fr
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