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Synopsis
Dans cette éblouissante leçon de cinéma, la réalisatrice revisitait avec son inventivité coutumière ses inspirations et sa filmographie, livrant au passage un touchant autoportrait.
Ce documentaire autobiographique se décompose en deux causeries :
La première partie couvre la période 1954-2000, où Agnès Varda se consacre au cinéma, entre fiction et documentaire – et parfois les deux en même temps, comme lorsqu'un bateleur s'invite devant la caméra dans Cléo de 5 à 7. Filmer la majorité silencieuse (les commerçants de Daguerréotypes) ou une minorité en révolte (les Black Panthers), raconter le combat féministe (L'une chante, l'autre pas) comme l'errance d'une jeune fille dans Sans toit ni loi : la cinéaste commente ses inspirations, ses choix d'écriture et de tournage, et l'irruption, parfois tragique, du cours de son existence dans sa filmographie. La maladie de son compagnon Jacques Demy l'amènera ainsi à tourner le poétique Jacquot de Nantes.
Dans la seconde causerie, après un préambule narrant ses débuts comme photographe, Agnès Varda fait un saut temporel et technologique, pour raconter comment, à l'aube du XXIe siècle, elle a "réinventé son travail". L'arrivée des discrètes petites caméras numériques lui permet de renouer avec le documentaire, et d'aborder plus facilement les personnes en situation précaire des Glaneurs et la glaneuse. Chemin faisant, elle se découvre une vocation d'artiste visuelle et élabore d'ingénieuses installations vidéo. Autre événement marquant, le compagnonnage avec l'artiste JR, avec qui elle réalise Visages villages, road-movie de rencontres dans les campagnes françaises.
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