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Réplique ajoutée par ad7211 2014-03-26T22:54:32+01:00

Rémy : Il faut la faire jouir ! C'est pas de la tarte, ça, hein ? D'abord trouver le clitoris. […] Déjà ça, c'est une entreprise délicate, merci, il y a quand même des cas où c'est pire que de chercher une chenille sur un damier. Ensuite, t'as dans la tête toutes les notes, appendices et chapitres de Masters and Johnson, le Rapport Hite, la controverse du G spot, Germaine Greer, Nancy Friday. Tu sais plus si tu dois employer tes doigts, ta langue, ta queue. Là tu la regardes du coin de l'œil, puis tu te dis : « Ah, elle a l'air de… j'espère que… je me demande si… » L'enfer ! Tu sais ? L'enfer !

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Réplique ajoutée par ad7211 2014-03-26T22:54:22+01:00

Rémy : La question est de savoir : est-ce qu'on se résigne à être hétérosexuel parce qu'on est pas assez beau, ou bien si on embellirait en devenant homosexuel ? Grave question !

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Réplique ajoutée par ad7211 2014-03-26T22:54:07+01:00

Diane : Quand j'étais encore avec Roger, il m'avait fait coucher avec son meilleur ami. Enfin, on avait couché tous les trois ensemble pendant six mois. Je vous conseille ça, moi, deux bouches, quatre mains…

Dominique : C'est pas si facile que ça à réussir. J'ai essayé à la Martinique avec deux petits Noirs. Aussitôt qu'ils ont ouvert la bouche, ç'a été la catastrophe [elle imite le parler petit-nègre] : « Vous connaissez pas la Martinique si vous n'avez pas couché avec un Martiniquais ». Et puis là ils me montraient leur bracelet en or « offert par Madame le juge Thibodeau de la cour des sessions de la paix ». Des super-machos. C'est moi qui payais, et c'est eux qui me disaient quoi faire. Tu sais, la femme blanche à genoux devant la queue de l'éphèbe noir.

Diane : C'est pas votre genre, ça ?

Dominique : Non, pas tout à fait, non.

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Réplique ajoutée par ad7211 2014-03-26T22:53:46+01:00

Pierre : La seule certitude qui nous reste, c'est la capacité d'agir de notre corps. Si j'aime, je bande. Si je bande pas, j'aime pas. C'est la seule façon de pas se conter d'histoires. Comme les femmes qui te disent : « Je t'aime comme au premier jour » et qui sont sèches comme du papier sablé, alors que tu les a connues mouillées au dernier degré juste après les avoir embrassées dans le cou.

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Réplique ajoutée par ad7211 2014-03-26T22:53:35+01:00

Claude : Tous les matins, je sais jamais comment la journée va finir. Même s'il ne s'est rien passé, la possibilité est là. Savoir qu'il faut que je rentre à six heures et demie parce que bobonne aurai fait une soupe aux pois, moi, je meurs.

Rémy : Bobonne, ou bobon.

Claude : C'est la même chose.

Rémy : Moi, ce que j'aime, c'est de savoir que bobonne m'attend avec la soupe aux pois, mais de faire un petit détour avant de rentrer.

Pierre : Moi, à chaque fois que je suis en amour je deviens monogame. Ça dure un certain temps, puis tout d'un coup la bête se réveille.

Rémy : Moi, quand la bête est déchaînée, je deviens un danger public. C'est vrai, je te jure ! Faudrait m'enfermer. Moi, je me suis déjà arrêté dans un bordel en allant à un rendez-vous amoureux. Essaye d'expliquer ça à une femme !

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Réplique ajoutée par ad7211 2014-03-26T22:53:16+01:00

Pierre : L'amour, celui qui fait battre le cœur, qui fait envoyer des fleurs, c'est un sentiment qui dure deux ans. Après deux ans, les compromis commencent.

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Réplique ajoutée par ad7211 2014-03-26T22:52:52+01:00

Pierre : Ce qui te sauve, toi, c'est que tu mens comme tu respires !

Rémy : Mais il n'y a pas moyen de faire autrement ! Pierre, le mensonge est la base de la vie amoureuse, comme c'est le ciment de la vie sociale. Refuser le mensonge, ce serait aller au prochain congrès de l'Association rencontrer un de nos éminents collègues de l'Université Laval, qui vient de passer vingt ans de sa vie sur l'histoire du catholicisme canadien, et lui dire que les mandements de Monseigneur Bourget, il peut se les rouler très serrés et se les fourrer… lentement… dans le cul.

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Réplique ajoutée par ad7211 2014-03-26T22:52:41+01:00

Diane interviewe Dominique à propos du livre qu'elle vient de publier tout en enregistrant leur entretien pour une émission destinée à Radio-Canada.

Dominique : Le mariage est un mode d'échange économique ou politique, ou encore une unité de production.

Diane : Ce qui veut dire ?

Dominique : Ce qui veut dire qu'un mariage réussi n'a rien à voir avec le bonheur personnel de deux individus mariés ensemble. À la limite, la question ne se pose même pas. Comme si une société en développement se préoccupait davantage du bien collectif ou d'un bonheur hypothétique futur plutôt que de satisfactions individuelles immédiates. […] Et je pose la question paradoxale : cette volonté exacerbée de bonheur individuel que nous observons maintenant dans nos sociétés n'est-elle pas, en fin de compte, historiquement liée au déclin de l'empire américain que nous avons commencé à vivre ?

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Réplique ajoutée par Lisa-Marie 2013-12-27T23:57:25+01:00

Après-midi, les gars ont passé leur temps à parler de cul. Je pensais arriver dans une orgie. Ben non, le gros fun, c'est une tarte au poisson.»

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