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Je vais reprendre ce qui y déjà était dit, un film un peu lourd et ennuyant
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Un film assez lourd pourtant souligné par une belle brochette d'acteurs doués. Je ne comprend pas. Enfin, si ils faut être aveugle pour ne pas voir tous les clichés, l'ennui, et le kitsch qui inonde ce film. Franck Dubosc, fidèle à lui même, teinte le tout de son humour et même si j'ai rigolé au moment de ses certaines scènes, j'étais plus gênée qu'autre chose.
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Un film lourd avec des acteurs qui surjouent et qui sont pas terrible, passer votre chemin.
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Je trouve ça fortement dommage que ce film soit d'un tel ennui, d'une telle absurdité, parce que le casting est, de prime abord, plutôt bien structuré.
L'humour est pathétique, potache, le grand vide scénaristique est comblé par des gags qui n'ont même pas réussi à me faire sourire et des danses qui se veulent drôles et nostalgiques des années disco. Malheureusement, ça ne prend pas.
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Une comédie raté qui mise uniquement sur des clichés grossiers, la lourdeur de Franck Dubosc, des costumes aux couleurs criardes et des danses épileptiques pour faire rire. A cela s'ajoute un scénario qui tient en 2 lignes, pas du tout captivant, et une mise en scène inexistante donnant des airs de film amateur à l'ensemble.
Le casting, assez intéressant, aurait pu remonter le niveau, mais finalement non. Ce film est tellement mal fait que même de bons acteurs n'arrivent pas à éviter le naufrage.
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Un film pour lequel j'ai été déçue. Je m'attendais à bien mieux, il est vraiment cucu, l'intrigue n'est pas top, on voit la fin arriver dès les dix premières minutes…
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Date de sortie
Disco
- France : 2008-04-02 (Français)
Activité récente
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Évaluations
Les chiffres
| spectateurs | 383 |
| Commentaires | 12 |
| répliques | 2 |
| Evaluations | 60 |
| Note globale | 5.69 / 10 |
Synopsis
Endetté jusqu’au cou dans une affaire de water-bed – des matelas à eau -, Didier Travolta, 40 ans, vit au Havre dans le quartier populaire du Grand Large chez sa mère, madame Graindorge. Il reçoit une lettre de la mère de son fils Brian, 8 ans, qui vit en Angleterre, lui signifiant qu’il ne pourra pas recevoir l'enfant cette année s’il n’est pas capable de lui offrir des vraies vacances, c’est-à-dire loin des Docks, des PMU et des grandes surfaces. Jean-François Jackson et son associée « La Baronne » viennent de réouvrir le mythique Gin Fizz et de fonder la « Gin Fizz Academy » afin de relancer ce qui fit sa légende, les concours de danse disco. Le premier prix : un voyage de deux semaines pour deux personnes en Australie. Didier Travolta décide alors de rechausser les boots et de reformer son trio de danse, celui qui faisait mal dans les années 80 dans la région du Havre : les BEE KINGS. Le disco est de retour ! Après avoir retrouvé et décidé ses anciens partenaires, Neuneuil, vendeur chez Darty et Walter, grutier-docker syndicaliste, de reprendre pour la bonne cause le chemin du Dance Floor, Didier Travolta se lance à fond dans l’aventure. Mais les années ont passé. Les BEE KINGS sont rouillés. Son passeport pour le succès s’appelle France Navarre, de retour de New York, professeur de danse classique.
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