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Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain en 1935, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales en s’efforçant d'adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide et timide aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts.
Le jour de mon jugement, quand je me présenterai devant Dieu, et qu’il me demandera pourquoi, comment j’ai pu tuer un des miracles qu’il a créé... qu’est ce que je pourrais lui dire ? que c’était mon travail ? Tu parles d’un travail !
Un film qui saccage intérieurement, qui m'a brisée au plus profond de moi-même. Je crois qu'il est assez rare de voir un film qui a un contexte social très réaliste où parvient à s'introduire un élément fantastique qui surprend mais qu'on accepte aussi facilement. Le film dure 3 heures? Je ne m'en suis pas rendue compte tellement j'ai aimé suivre le parcours déchirant de ces personnages évoluant dans un environnement où plus aucun espoir ne subsiste. Et quand John Coffey (ou Caffé en VF) arrive, être incroyable par ses talents et par son humanité, le drame s'agrandit encore, parce qu'on prend conscience de l'immense souffrance qui existe dans le monde et de l'aspect éphémère des choses. C'est aussi une réflexion sur notre rapport au temps et à la mort (citation finale de Paul). On prend "La Ligne verte" en plein cœur, tout comme "Les Evadés" (même auteur/réalisateur/sujet), sauf qu'il s'oppose à ce film parce qu'il ne rend pas heureux comme lui mais vous laisse en miettes.
La Ligne verte est un film profondément émouvant, à la fois triste et porteur d’espoir, qui explore des thèmes universels comme la souffrance, la rédemption et la justice. Adapté du roman de Stephen King, le film se déroule dans un couloir de la mort où un gardien, Paul Edgecomb, fait la rencontre de John Coffey, un homme accusé à tort d'un crime qu'il n'a pas commis, mais doté de pouvoirs de guérison extraordinaires.
L’une des forces majeures du film réside dans la performance de ses acteurs. Tom Hanks, en tant que Paul Edgecomb, offre une prestation touchante et pleine de compassion, tandis que Michael Clarke Duncan, qui incarne John Coffey, apporte une grande humanité à son personnage, malgré sa stature imposante. Leur relation, marquée par une empathie profonde, est au cœur du film et lui donne une force émotionnelle incontestable.
Le film traite de la cruauté de la justice et de la manière dont les individus peuvent être pris dans des systèmes injustes, tout en mettant en lumière la possibilité de rédemption et de pardon. La notion de la « ligne verte », qui sépare les détenus de la liberté, devient une métaphore de cette frontière fragile entre la vie et la mort, et de ce qui fait de nous des êtres humains.
Visuellement, La Ligne verte a un ton à la fois mélancolique et magnifique, avec des scènes marquantes qui restent gravées dans la mémoire, notamment celles qui montrent les pouvoirs surnaturels de Coffey. L’atmosphère du film est immersive, renforcée par une bande-son discrète mais efficace, et l'ensemble crée un impact émotionnel puissant.
En somme, La Ligne verte est un film qui ne laisse pas indifférent. C’est une œuvre qui parvient à toucher des cordes sensibles en explorant la nature humaine sous son jour le plus sombre, tout en offrant des moments de lumière et d'espoir. Un chef-d'œuvre poignant sur la vie, la mort et le pouvoir de la compassion.
Un film bouleversant. L'histoire est extrêmement touchante et elle me fait pleurer à chaque visionnage. Les personnages de Tom Hanks et Michael Clarke Duncan sont vraiment bien joués et ils transmettent toute la beauté et le drame de cette histoire. Un film devenu classique qu'il faut absolument voir.
Synopsis
Interdit aux moins de 12 ans
Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain en 1935, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales en s’efforçant d'adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide et timide aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts.
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