L'appartement

J'ai apprécié le soin de la mise en scène des images comme pour une peinture ou une photographie, le jeu des couleurs : ces feuilles mortes au sol , cet immeuble art déco, le jeu de la lumière et de l'ombre. L'époque aussi où le téléphone portable n'existait pas encore. Cette histoire à tiroirs. Un peu déçue par la fin tragique de Lisa.

Vu il y a longtemps, j'en garde le sentiment de quelque chose d'envoûtant, vaguement glauque, une ambiance lente et prenante, irréelle, qui m'avait bien plu au point que je n'avais pas décroché un moment. Je ne sais plus bien ce que ça raconte mais je me souviens que Cassel et Romane Bohringer resplendissaient par le jeu et leur présence.