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Je n’ai pas aimé cette film. Une fois dissipé le plaisir de voir une esthétique plaisante, des codes maîtrisés et une photographie magnifique, on se rend compte que la deuxième partie du film manque cruellement de rythme. Tout se perd lors de l’arrivée du comte Orlok dans la ville, les allers retours incessants des personnages d’une maison à l’autre.
Passons sur les scènes dont le goût laissent parfois franchement à désirer, où sous prétexte d’explorer la sensualité du vampire, on obtient des scène de Lily Rose Depp gémissant en prenant des poses de statues antiques, pas subtiles pour deux sous, une scène de sexe qui à mon sens n’apporte strictement rien à la scène en question, ou encore des scènes de possession quasiment plagié de l’exorciste.
Mention honorable pour les acteurs (après proposer ce film avec un casting pareil me paraît être du gâchis), les costumes et bien sûr la photographie
En bref, un film qui se prend très au sérieux, qui se sait très beau, mais qui n’apporte rien de plus aux adaptations de Bram Stoker, sinon montrer qu’on peut y associer des scènes à la Conjuring, et qui remâche bien gentiment ses propres codes gothiques sans amener quoi que ce soit de nouveau, ni sur le scénario, ni sur ses personnages.
Afficher en entierCette nouvelle version de Nosferatu est une réussite !
Ce film m'a tout d'abord marqué pour ses décors, sa photographie et ses plans. Nous atteignons ici le paroxysme de l'esthétique gothique. Des scènes (presque) en noir et blanc de la Transylvanie à l'horreur macabre du corps de Nosferatu, tout appel ici à la tradition des vampires et morts vivants, avec des finissions léchées qui m'ont fait frissonner de bonheur. Et parlons du château ! Quelles scènes !
Je ne décrirais pas ce film comme relevant de l'horreur pur. J'y ai plutôt vu de l'épouvante gothique avec un brin de thriller.
Un mélange qui a su me conquérir et que je ne peux que recommander !
Afficher en entierUne réécriture magnifique de cette œuvre devenue centenaire depuis peu, qui a su jouer avec des codes de l'horreur souvent mis en place par Nosferatu premier du nom pour nous offrir 2h12 de spectacle gothique à souhait, avec tout ce que l'humanité peut extirper de crasse et d'immonde dans les ombres hantant les tréfonds de sa psyché. La question de savoir si le mal vient de nous-mêmes ou de l'au-delà, abordée dans le film même, n'a jamais été répondue de façon aussi sublimement morbide qu'ici. Il faut ajouter à ça une photographie, une mise en scène et un jeu d'acteur grandioses, contribuant à nourrir cette ambiance onirique que l'on subit presque tout au long du film. Cela donne pour résultat une sorte de cauchemar conscient, une transe vampirique dans laquelle on se retrouve embourbé, et de laquelle seul le chant du coq pourrait (peut-être) nous tirer… A voir sur grand écran, frissons garantis !
Afficher en entierLe truc le plus effrayant : la signature d'un contrat dans une langue étrangère sans même le lire.
Wouah. Je recommande.
J'ai vu aucun egger mais j'ai vu la version de 1922 dont j'ai peu de souvenirs mais j'ai beaucoup aimé les musiques, l'ambiance, les images, la colorisation. Le film te met mal à l'aise parfois je sais pas comment dire mais t'es saisi par la peur des personnages, tu ne peux pas détourner le regard de l'écran.
Je dirais même que c'était une des séances les plus silencieuses de ma vie (ma mère dit qu'elle a entendu les gens à côté d'elle rigoler donc jsp)
Lily-Rose a trouvé un rôle qui lui convient.
Afficher en entierJ’ai eu l’occasion de voir *Nosferatu* en avant première dès hier soir, la réinterprétation de Robert Eggers du chef-d'œuvre de 1922.
Ce film m’a marqué par son esthétique gothique saisissante, qui reprend habilement certaines scènes emblématiques de l’original. La direction artistique et la cinématographie plongent le spectateur dans une atmosphère à la fois hypnotique et oppressante.
Bill Skarsgård, en comte Orlok, est glaçant et fascinant, tandis que Lily-Rose Depp incarne Ellen Hutter avec une grande fragilité, bien que son personnage manque parfois de profondeur. La bande sonore, quant à elle, amplifie l’ambiance sombre du film et souligne parfaitement les moments de tension.
Cependant, il faut admettre que ce choix assumé de reprendre les dialogues et l’esthétisme de l’œuvre originale, fidèle à l’esprit de 1922, pourrait rebuter certains spectateurs habitués à des films d’horreur plus modernes et rythmés.
En somme, *Nosferatu* (2024) est une expérience visuellement captivante qui ravira les amateurs d’horreur gothique et les amoureux du cinéma d’époque. Mais pour d’autres, le rythme lent et l’approche très stylistique pourraient rendre le film moins accessible.
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