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Après une opération ratée qui l’a laissé rongé par les remords et les regrets, Ray Owens a quitté son poste à la brigade des stupéfiants de Los Angeles. Il est désormais le shérif de la paisible petite ville de Sommerton Junction, tout près de la frontière mexicaine.
Mais la tranquillité de la petite bourgade est mise à mal quand Gabriel Cortez, le baron de la drogue le plus recherché du monde, parvient à s'échapper d’un convoi du FBI, semant les cadavres derrière lui. Avec l’aide d’une bande de truands et de mercenaires dirigés par le glacial Burrell, Cortez s’enfuit vers la frontière à 400 km/h dans une Corvette ZR1 spéciale, et il a un otage…
Si j’ai trouvé quelques petites longueurs sur la voiture qui roule dans sa grande route déserte, c’est tout ce que j’ai à reprocher à ce film.
Alors bien sûr, c’est pas destiné à devenir un monument du cinéma mais il fait le job.
De l’action, de la course-poursuite, ça tire de partout ; si on sait à quoi s’attendre, on n’est pas déçu.
Ce serait presque crédible, même, genre l’Agence Tout Risque, la série : le shérif fait avec les moyens du bord, il a mal (bon, il est super fort quand même, hein), mais limite crédible…
Schwarzenegger a fait son temps je pense, je l'adore dans les années 80 avec Predator et Terminator entre autre. Mais je pense que maintenant il peut ce pencher sur la politique et laissé place au jeune, ce n'est pas une critique, je l'aime beaucoup et il est plutôt convaincant dans ce film, mais je pense qu'il commence a être un peu âgée pour ce genre de film du moins
Les vrais héros ou plutôt héroïnes, ce sont les bagnoles.
Scénario nul de chez nul. Le vrai message, c'est qu'il y a un futur cinématographique après la politique. Gare au premier film avec Sarko! Ce serait tomber de Charybde en Scylla.
Contrairement aux autres commentaires je trouve se film très agréable avec des répliques aussi recherchées que drôle,un film qui contient beaucoup d'action et qui n'est pas du tout déplaisant à voir .
Un scénario qui tient sur un post-it, un humour asiatique grotesque, le retour d'un acteur culte qui n'a rien à jouer, un film d'action prétexte à réaliser différentes cascades avec tout véhicule à quatre roues ( voitures, camions, bus scolaire, pelleteuses...).C'est looonnnggg, on s'ennnuuuiiieee...un comble pour un film avec autant d'actions !
Si The Last Stand détone avec ce que nous avait habitué Jee-Woon, il reste malgré tout un bon film d’action qui joue avec la corde de la nostalgie. Entre courses poursuites, gunfights et bagarres, on retrouve un mélange réussi qui rappelle avec plaisir les bons films décérébrés des années 80/90. On l’aura compris, on regarde ce film pour ses scènes d’actions, et non pour son scénario plus que maigre qui tient en une phrase. On regrette d’ailleurs qu’il soit bancal et si peu consistant et qu’il ne laisse aucune place à la surprise puisque dès le départ on sait exactement la direction que prend l’histoire. Mais l’essentiel du film tient, outre les scènes d’action, dans le personnage de Ray Owens, ce shérif meurtri qui tente de trouver la tranquillité dans une petite ville près de la frontière mexicaine. On ne s’attarde aucunement sur le côté psychologique du personnage mais bien sur sa vieillesse. Jee-Woon s’amuse avec respect à rappeler au spectateur que Schwarzenegger a bel et bien vieilli : on le voit moins bouger, il est encore moins éloquent qu’auparavant, et lui-même souligne le fait qu’il se fait vieux. Il est loin le temps où on le voyait courir en pleine forme. Ca ne l’empêche pourtant pas de tout faire pour défendre sa ville.
En plus de jouer sur le côté vieillissant du héros, le film offre un côté plus que caricatural des autres personnages. Ces derniers, au final peu présents, démontrent du peu d’imagination du scénariste qui use des clichés déjà vus et revus. On retrouve ainsi le beau gosse courageux qui a servi l’armée, la fille téméraire amoureuse du beau gosse, le fou déluré qui contribue au comique du film et l’adjoint mexicain, immigré parfaitement intégré mais toujours feignant et qui ne sert pas à grand-chose. Quant au méchant, c’est le bon mafieux mexicain sans cœur ni âme prêt à tout pour parvenir à ses fins, mais qui est hélas, trop effacé.
The Last Stand, bien que divertissant, semble pourtant se destiner à un public en particulier : les républicains. Il est difficile de passer à côté de l’idée de patriotisme qui se révèle dans le titre même. Mais le film semble également démontrer la nécessité d’avoir une arme chez soi afin de se protéger dans n’importe quelle circonstance. Cela se traduit notamment dans la scène du fermier qui roule sur son tracteur accompagné de son fusil, ou bien celle avec la vieille dame qui n’hésite pas à tirer sur un malfrat. Ainsi, quoi qu’il arrive, il faut être armé et prêt à se défendre et défendre son pays. Heureusement, cette idée s’efface quelque peu face à la réalisation du sud-coréen. Même s’il n’avait pas une totale liberté, on sent la patte de Jee-Woon dans de nombreux plans, en particulier les plus violents et les plus gores, ou encore cette magnifique course poursuite dans un champ de maïs.
En conclusion, The Last Stand est un très bon film d’action qui surfe sur la nostalgie des films des décennies précédents. Caricatural, mal écrit mais à la réalisation quasi impeccable, on est sûr de passer un agréable moment avec Mr Univers si tant est que l’on prend le film pour ce qu’il est : une série B avec de l’action à gogo sans prétention.
Synopsis
Après une opération ratée qui l’a laissé rongé par les remords et les regrets, Ray Owens a quitté son poste à la brigade des stupéfiants de Los Angeles. Il est désormais le shérif de la paisible petite ville de Sommerton Junction, tout près de la frontière mexicaine.
Mais la tranquillité de la petite bourgade est mise à mal quand Gabriel Cortez, le baron de la drogue le plus recherché du monde, parvient à s'échapper d’un convoi du FBI, semant les cadavres derrière lui. Avec l’aide d’une bande de truands et de mercenaires dirigés par le glacial Burrell, Cortez s’enfuit vers la frontière à 400 km/h dans une Corvette ZR1 spéciale, et il a un otage…
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