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Basé sur la nouvelle de Stephen King, qui raconte trois chapitres de la vie d'un homme ordinaire nommé Charles Krantz en commençant par sa mort d'une tumeur cérébrale à 39 ans et en terminant par son enfance dans une maison prétendument hantée.
Merci pour ses 39 belles années Chuck : C'est ce que voit tout le monde en ville alors que le monde s'effondre. Mais qui est ce Chuck ? Personne ne le sait...
Le pitch est mystérieux. Mais il faut bien comprendre une chose en allant voir Life of Chuck : Si vous n'avez pas lu le roman, il faudra prendre le temps de lier les éléments pour comprendre le message du film, qui est son fond même, et a dicté sa forme. Non, vous ne verrez pas tant que ça Tom Hiddleston. Les personnages ne sont pas si nombreux mais ils ont chacun leur rôle, et permettent à Mike Flanagan de livrer son plus beau film, en adaptant un roman de King par ailleurs plus qu'intéressant, basé sur une phase de Walt Whitman : "Je suis vaste, je contiens des multitudes". En dire trop serait dévoiler le mystére, et la profondeur d'un film qu'on a le droit de trouver bavard, mais qui en dis énormément !
Les acteurs sont parfaits, les actes inversés dévoilent leurs secrets et mystères au gré du film. D’un premier acte qui fait prendre conscience des conséquences de nos actes sur la planètes, les suivants sont encore plus profonds. Ils questionnent nos rapports aux autres, à nous-mêmes, à nos relations et à nos connaissances. Nos micro-univers personnels aussi complexes qu’éphémères.
Merci pour ses 39 belles années Chuck : C'est ce que voit tout le monde en ville alors que le monde s'effondre. Mais qui est ce Chuck ? Personne ne le sait...
Le pitch est mystérieux. Mais il faut bien comprendre une chose en allant voir Life of Chuck : Si vous n'avez pas lu le roman, il faudra prendre le temps de lier les éléments pour comprendre le message du film, qui est son fond même, et a dicté sa forme. Non, vous ne verrez pas tant que ça Tom Hiddleston. Les personnages ne sont pas si nombreux mais ils ont chacun leur rôle, et permettent à Mike Flanagan de livrer son plus beau film, en adaptant un roman de King par ailleurs plus qu'intéressant, basé sur une phase de Walt Whitman : "Je suis vaste, je contiens des multitudes". En dire trop serait dévoiler le mystére, et la profondeur d'un film qu'on a le droit de trouver bavard, mais qui en dis énormément !
Synopsis
Basé sur la nouvelle de Stephen King, qui raconte trois chapitres de la vie d'un homme ordinaire nommé Charles Krantz en commençant par sa mort d'une tumeur cérébrale à 39 ans et en terminant par son enfance dans une maison prétendument hantée.
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