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Fuyant l’Europe d’après-guerre, l’architecte visionnaire László Tóth arrive en Amérique pour y reconstruire sa vie, sa carrière et le couple qu’il formait avec sa femme Erzsébet, que les fluctuations de frontières et de régimes de l’Europe en guerre ont gravement mis à mal.
Livré à lui-même en terre étrangère, László pose ses valises en Pennsylvanie où l’éminent et fortuné industriel Harrison Lee Van Buren reconnaît son talent de bâtisseur. Mais le pouvoir et la postérité ont un lourd coût.
Heureusement qu'il y a Adrien Brody car il est exceptionnel dans le film, tout comme les autres acteurices du film !
Le fait que le personnage principal soit architecte n'est assez utilisé à mon avis et le scénario m'a paru très étrange. Je n'ai pas réussi à naviguer dedans. Les interactions entre les personnages étaient toutes un peu bizarres ce qui pour le coup fonctionnait assez bien avec l'ambiance pesante de l'architecture combinée à la musique.
La photographie du film est très bonne cependant. Etant architecte, j'ai apprécié les plans filmés du béton et de la lumière dans un ton global assez gris.
Je n'ai pas compris la partie qui semblait métaphorique sur la carrière de marbre... Je n'ai pas compris pourquoi le film était aussi long et par conséquence la présence d'un entracte.
En fait il y a beaucoup de choses que je n'ai pas comprises mais les points positifs sont les acteurs et actrices, la photographie et l'ambiance sonore.
Voilà un film qui divise allègrement, qui a fait couler beaucoup d’encre, je pense sincèrement qu’on ne peut pas faire dans la demi-mesure, soit on l’apprécie, soit on le déteste, mais c’est indéniablement une œuvre grandiose du 7ème art, comme on en voit peu, une fresque titanesque, qui peut faire peur, mais qui est à mon sens, à découvrir au moins une fois dans sa vie. C’est avant tout, un récit extrêmement fort, un récit de survivants, de ceux qui ont réchappé à la Seconde Guerre Mondiale, même s’ils restent profondément hantés par les horreurs dont ils ont été témoins ou qu’ils ont subi directement, ils ont pu en sortir, c’est le récit de ceux qui ont pu partir, voulant se reconstruire dans un ailleurs pleins de promesses, un pays qui leur ouvre les bras, celui d’un futur plus prospère et plus heureux, les États-Unis. Mais cette volonté, ce renouveau existe-t-il réellement ou n’est-ce qu’un paradis que l’on fait miroiter, c’est malheureusement ce que va découvrir cet homme, lui qui a échappé au pire, perdant absolument tout dans ce conflit, il devra repartir de zéro, essayer de tout recommencer, mais il va rapidement comprendre que l’espoir ne fait pas tout, que ce pays si accueillant en apparences, lui est finalement profondément hostile, parce qu’il est différent, parce qu’être juif, reste une tare aux yeux de certains. Bien sûr, ce n’est pas comparable à ce qui a conduit à la Shoah, néanmoins, l’antisémitisme ambiant est plus insidieux, plus suggéré, on ne dit pas les choses clairement, mais la différence de l’autre se fait sentir, cette supériorité malsaine qu’on leur impose, comme s’ils étaient moins que rien, mais lorsque l’on a besoin d’eux, de leurs talents, ils sont alors bien heureux de faire semblant de les compter parmi leurs amis. La réalisation de Brady Corbet est tout simplement époustouflante, il n’y a pas de termes plus approprié pour la qualifier, tant elle nous submerge, nous englouti dans cette ambiance spectaculaire, c’est une façon de filmer à part entière, un format qui fait toute la différence, un grain unique, c’est une photographie bluffante, tout est minutieusement travaillé, c’est à la fois, chirurgical et majestueux, tout à fait à l’image du courant brutaliste mis en avant ici. Visuellement, c’est une véritable claque, on ne peut que se sentir petit face à l’immensité qui s’en dégage, c’est grandiose, monumental, une fresque à couper le souffle, c’est un jeu de caméra, de lumière, tout est conçu pour nous éblouir, un travail véritablement spectaculaire, qui nous offre une sensation unique et vertigineuse. En ce qui concerne le scénario, bien sûr, il est impossible de passer à côté de sa longueur exceptionnelle, trop pour certains, si je peux comprendre que ça puisse faire peur, je n’ai à aucun moment ressenti de lenteur, parce que ce récit doit se présenter ainsi, pour faire honneur au destin de cet homme, de son histoire, tout a une réelle importance et il me semble essentiel de la vivre pleinement, dans son entièreté la plus fidèle. Nous serons alors les témoins privilégiés de ce par quoi il est passé, de sa résilience, mais également de ses démons, des paradis artificiels dans lesquels il a pu tomber, c’est un parcours tortueux, torturé, fait d’épreuves abominables, presque impensables, mais qui l’ont forgé, lui, sa carrière, son art et c’est dans son dénouement que nous comprendrons tout, que le symbole se révélera dans tout ce qu’il a de plus puissant, de plus bouleversant. Quant au casting, il est aussi magistral que le reste, Adrien Brody fait preuve d’un talent évident, mais c’est Felicity Jones qui m’aura sûrement le plus impressionné, même si Guy Pearce est indéniablement incroyable dans ce rôle pourtant si complexe.
En bref : Un film absolument monumental à tous points de vue, une œuvre qui sort indéniablement du lot, qui marquera longtemps l’histoire du 7ème art, même si elle n’est peut-être pas à la portée de tous, qu’elle ne fera pas l’unanimité, c’est une fresque spectaculaire, grandiose visuellement, elle met en avant un destin particulier, fort d’épreuves, de souffrances, mais également d’une résilience bouleversante, dont aucun d’entre nous ne pourra sortir indemne !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2025/04/15/the-brutalist/
Mou dans le sens où il n’y a aucune action, et le rythme est lent.
Et 3h30 comme ça, ca fait long, même si l’histoire est interessante.
On suit une période de la vie de cet homme László Toth, et A. Brody incarne bien le personnage.
Je ne me suis pas endormie, mais malgré tout, j’ai trouvé ça long, mais c’était certainement nécessaire pour nous retranscrire ce que ressent le personnage.
Heureusement qu'il y a Adrien Brody car il est exceptionnel dans le film, tout comme les autres acteurices du film !
Le fait que le personnage principal soit architecte n'est assez utilisé à mon avis et le scénario m'a paru très étrange. Je n'ai pas réussi à naviguer dedans. Les interactions entre les personnages étaient toutes un peu bizarres ce qui pour le coup fonctionnait assez bien avec l'ambiance pesante de l'architecture combinée à la musique.
La photographie du film est très bonne cependant. Etant architecte, j'ai apprécié les plans filmés du béton et de la lumière dans un ton global assez gris.
Je n'ai pas compris la partie qui semblait métaphorique sur la carrière de marbre... Je n'ai pas compris pourquoi le film était aussi long et par conséquence la présence d'un entracte.
En fait il y a beaucoup de choses que je n'ai pas comprises mais les points positifs sont les acteurs et actrices, la photographie et l'ambiance sonore.
Synopsis
Fuyant l’Europe d’après-guerre, l’architecte visionnaire László Tóth arrive en Amérique pour y reconstruire sa vie, sa carrière et le couple qu’il formait avec sa femme Erzsébet, que les fluctuations de frontières et de régimes de l’Europe en guerre ont gravement mis à mal.
Livré à lui-même en terre étrangère, László pose ses valises en Pennsylvanie où l’éminent et fortuné industriel Harrison Lee Van Buren reconnaît son talent de bâtisseur. Mais le pouvoir et la postérité ont un lourd coût.
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