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Des personnages étranges : un travesti, un trio de picpocket, un flic ultra-violent...
Des méthodes policières dignes d'un état de non droit
Des invraisemblances : on est en France et on roule en grosse cylindrée américaine
Une scène de vol dans un train à partir d'un hélicoptère. On pense à du James Bond. La scène n'en finit pas. Le spectateur remarque le choix de filmer une maquette de train électrique pour enfant
Un scénario réduit à sa plus simple expression. A la limite, les personnages n'existent pas. Ils n'ont aucune profondeur psychologique. On ne sait pas qui est le bon et qui est le méchant. Le flic vaut-il mieux que le truand ?
Des liens entre les personnages qui se laissent deviner. Est-ce qu'on est amis ? Est-ce qu'il y une histoire d'amour ?
Beaucoup de silence
Catherine Deneuve transparente. Et Alain Delon ; il lui suffit d'être devant la camera pour exister
On raconte que le réalisateur Jean Pierre Melville souffrait de schizophrénie. Schizophrénie ou autisme ?
C'est ce qui rend ce film étrange fascinant à regarder
Afficher en entierJe ne comprends pas vraiment pourquoi Jean Pierre Melville a décidé d'appeler ce film " Un Flic " et pourquoi a-t-il mit Alain Delon presque seul sur l'affiche quand le personnage de celui-ci est en retrait pendant tout le film. Il y a des incohérences dans le scénario et le rythme est parfois vraiment trop lent ce qui peut amener à la perte d'attention du téléspectateur. La prestation des acteurs et un peu molle et les dialogues sont minimalistes. Ce n'est pas ce film qu'on retiendra de Jean Pierre Melville.
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