Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
59 551
Membres
42 270

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode


Ajouter un commentaire


Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Fabior 2014-07-31T23:15:54+02:00
Or

Ne même pas savoir qu'il en était le réalisateur, est pour moi aujourd’hui, une évidence honteuse. Mon cinéma, n'était pas encore ce cinéma que j'aime. Revu le 03.10.2009. Une chose est évidente, évitez la V.F, elle n'est plus appropriée. Une confirmation de la capacité de Clint à réaliser. Un classique de son cinéma.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Octave2Methylene 2015-07-23T21:46:26+02:00
Vu aussi

C'est Lew Wasserman, alors qu'il venait de racheter Universal, qui donna carte blanche à Eastwood, lequel signait là sa première mise en scène. Obligé de renoncer à son cachet de réalisateur pour obtenir le projet et décidé à faire ses preuves, il appliqua les leçons apprises de ses mentors de façon inspiré en se mettant en scène comme animateur de radio, séducteur puis victime, dans ce thriller réaliste. On pense souvent au film "Les proies" (c'est d'ailleurs Don Siegel qui l’encourage à passer à l’acte, le parraine pour obtenir sa carte professionnelle, et tient le rôle du barman), et à Sergio Leone pour l'importance accordée aux paysages. L'histoire est captivante et la construction, avec ses rebondissements surprenants, et surtout cette parenthèse pop ("The First Time ever I saw your face" de Roberta Flack) coupant le film avec une respiration romantique audacieuse en phase avec le titre éponyme d'eroll Garner qui permet de relancer le suspens après une acmé spectaculaire, compense largement quelques fautes de rythme et quelques gros plans un peu trop appuyés. Ce n'etait pas encore du grand Eastwood, mais c'etait prometteur.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode