Commentaires de films faits par Wolfenshun
Répliques de films par Wolfenshun
Commentaires de films appréciés par Wolfenshun
Répliques de films appréciées par Wolfenshun
Pourtant, ce film possède quelques caractéristiques intéressantes qui lui permettent de sortir un peu du lot des action-movies classiques: tout d'abord, on peut voir le talent de Dolph Lundgren dans les arts martiaux (il est ceinture noire 3e dan du Kyokushinkai, un karaté de full-contact, talent qu'il utilise très peu dans ses films).
Mais surtout, c'est l'atout charme du film, la ravissante Polly Shannon, qui relève tout l'intérêt du film. En plus de posséder un jolis minois, elle arrive à montrer plus d'émotions dans son rôle que Dolph Lundergren qui reste de marbre du début à la fin du métrage. De plus, le réalisateur a eut l'excellente idée de ne pas en faire une potiche (même si il la montre un peu maladroite au début pour montrer qu'elle débute dans le métier), ni une femme en détresse. Bien au contraire, elle sait se défendre (il suffit de la voir manier un fusil d'assaut pour comprendre que c'est une nana à ne pas prendre à la légère) et sauvera la mise du héros plusieurs fois.
Bref, un petit film d'action classique mais qui se laisse se regarder grâce à ses scènes de tatanes et de gunfights, mais aussi grâce à son interprète féminin.
A noter la présence aux castings dans les seconds rôles de Jonathan Banks et de Michael Greene, deux "gueules" que l'on a toujours plaisirs de retrouver.
Et pourtant, c'est l'un de mes plaisirs coupables. C'est peut-être du au fait de ses acteurs, comme Michael Shanks (Stargate SG1), Alexandra Kamp et Simona Williams (qui en fait des tonnes) qui font plaisir à voir; on peut citer aussi Casey B. Dolan qui, malgré son rôle secondaire, reste attachante. Il y aussi son background qui est assez bien développé dans son genre, mais aussi son humour que ce soit intentionnel (certaines répliques font mouches, même si c'est du classique) ou non (son côté nanar qui ressort assez bien).
Un film fauché certes, mais dont on sent que le réalisateur l'a fait avec amour.
Je suis assez mitigé vis à vis du film: l'intrigue n'est qu'une excuse pour balancer des gags à gogo (certaines sont réussis, d'autres sont complétements ratés), l'utilisation des câbles sont beaucoup trop présentes et nuisent au rythme du film, sans compter que la VF est une horreur à entendre.
Heureusement ses défauts sont contrebalancés par quelques notes d'humour bien placés, notamment par une autodérision de Jet Li, et par la bonne humeur communicative des acteurs. Malheureusement, cela ne risque pas de plaire à tout le monde.
Seul petit regret, c'est que le réalisateur a développé un petit peu le background du tueur à la machette, ce qui rend le personnage sympathique, mais qu'il ne l'a pas fait pour le tueur à la batte et la tueuse aux marteaux, alors que je sentais qu'il y avait quelque chose d'intéressant à développer (leurs relations, les raisons de l'handicap de la tueuse, etc...). Bon, c'est vrai que cela aurait rallongé la durée du film d'une dizaine de minutes supplémentaires, là où il dure déjà 2H24, mais cela m'aurait plu d'en savoir plus sur ces deux personnages.
Ce métrage d'animation, prévu pour un public adulte principalement, est surtout là pour faire rire; et en cela c'est une réussite.
Quoiqu'il en soit, le déroulement de l'enquête et sa résolution est vraiment prenante, et tout amateur de Sherlock Holmes devrait ajouter ce métrage à sa filmographie.
On retrouve donc avec plaisir Nick, le plus sensé, et ses deux potes toujours aussi abruti dans leurs mésaventures, même si le personnage de Dale est un peu énervant dans le rôle de l'éternel inquiet (on a envie par moment de lui donner ders baffes pour qu'il se calme). Mais Chris Pine arrive presque à les éclipser avec son énergie communicative.
Le McGuffin du "pote de douche" n'est pas la meilleure idée pour amorcer le film, mais tout change lors de la mise en œuvre du kidnapping où tout s'enchaine à un rythme effréné avec ses nombreux retournements de situations. Et alors là, on enchaîne les crises de fou rire.
D'ailleurs il est amusant de noter que le véritable héros (en l'occurrence héroïne) n'est autre que Kimberly Oja et que cette dernière n'apparaît même pas dans la bande annonce (Ice T est plus banquable à ce niveau-là). Ce qui est dommage, parce qu'elle est beaucoup plus convaincante, et plus charismatique, qu'Ice T et que ce dernier oublie par moment qu'il est blessé à la jambe, sans compter son manque de jeu d'acteur où on à l'impression qu'il est venu là juste pour le chèque.
Sinon, dans l'ensemble, cela reste un très bon divertissement malgré quelques incohérences (la façon dont il libère Sykes du fourgon un peu extrême sans que ce dernier n'ai de grosses blessures, le coup de l'assemblage du pistolet ou comment meubler le film pour qu'il dure un peu plus longtemps pour rien en fin de compte). Le scénario est classique mais efficace, les personnages sont charismatiques (sauf Ice T) et on a le droit à quelques moments de tensions bien placés.
On dirait un mélange réussit entre un cartoon (l'humour décalé) et un manga (les scènes de combat proche d'un shonen) en version live.
Même si les effets spéciaux sont ratés, et qu'on note quelques longueurs, cela reste tout de même un très bon divertissement, notamment grâce à ses interprètes (Casper Van Dien , Jonathan Hyde, Leonor Varela pour les rôles principaux; mais aussi Steven Waddington, Niko Nicotera, Suvarchala Narayanan et Patrick Toomey pour les rôles secondaires). Par contre, le rôle de Malcolm McDowell est anecdotique (il reste toujours assis au même endroit) et ne sert pas à grand chose.
Si de prime abord, le héros incarné par Steve Carell a l'air un peu à côté de la plaque comparé aux standards d'aujourd'hui (sa collectionnite de figurines, le fait qu'il aillé au travail au vélo et qu'il retire l'une de ses roues comme système d'antivol, et bien sûr le fat qu'il soit puceau à son âge), on se rend compte au fur et à mesure de ce métrage qu'il est beaucoup plus censé que ses collègues de travail. Entre l'un qui trompe sa femme car il manque de confiance en lui, le deuxième qui a du mal à se remettre d'une séparation, et le troisième qui n'a pas encore abordé l'objet de ses fantasmes (et je ne parle même pas de sa supérieure hiérarchique qui lance des invitations à peine voilée pour combler son manque de sexe); on se rend compte que les conseils qu'ils préconisent au héros sont complétement abracadabrant sur la façon d'aborder une femme et rendent ainsi le personnage plus sensé dans sa démarche.
L'intelligence du film, en plus de son humour grivois mais pas vulgaire (le passage du collègue pakistanais qui utilise les différentes expressions sur la façon de "tremper le biscuit" est un exemple très représentatif), c'est de montrer l'évolution du personnage sur la manière de suivre les conseils de ses collègues tout en gardant son style si particulier; ce qui fait qu'il ne suit pas bêtement leurs conseils, mais il réfléchit sur la manière d'aborder les femmes, se rendant compte du ridicule des conseils si il les avait suivi aveuglément, et par la même, lui faire reprendre confiance en lui. On le voit lorsqu'il commence à prendre du grade dans son travail, sur la façon qu'il a de combattre sa timidité, et sur le fait qu'il devient irrésistible auprès de la gente féminine sans qu'il s'en rende compte lui-même (la libraire, sa patronne et la fameuse mère célibataire).
En même temps, j'ai l'impression que le message du réalisateur est de montrer que le sexe n'est pas un aboutissement pour être heureux en couple, que sans amour véritable, le sexe ne vaut pas tripette et nous rend pathétique si on ne se borne qu'à cela.
En conclusion, ce film pourrait plus facilement être catalogué comme une comédie romantique que comme une comédie grivoise (l'histoire d'amour entre Andy et Trish est vraiment très touchante) et la fin est vraiment bien trouvé en transformant le film en comédie musicale pour montrer la béatitude du personnage (et prouve par la même occasion que Steve Carell est un très bon chanteur, merci d'ailleurs à la VF d'avoir laissé ce passage en VO).
On peut noter tout de même une incohérence vers la dernière demie-heure du film:
Mais bon, acceptons cette incohérence pour ce McGuffin, sinon, cela reste tout de même un très bon divertissement, grâce à l'interprétation des acteurs. Seul bémol que je peux lui reprocher, en plus de l'incohérence citée, c'est la fin un peu abrupte. Heureusement les bonus des fins alternatives permettent de ne pas rester sur sa fin, si je peux me permettre.
Le film pioche un peu partout ses références, notamment avec le livre "Sa majesté des mouches", la série "The Lost" et le passage où Van Damme se fait attaquer par un tigre m'a fait penser au film "Peur Bleue" où Samuel L. Jackson se fait attaquer par un requin après son pitch sur le courage.
Sinon, dans l'ensemble, le film est correct, mais il manquait un soupçon de folie pour que la sauce prenne réellement.
Les thèmes abordés que sont les chocs des générations (Mavis et Drac, puis Drac et son père) et le choc des civilisations (Mavis découvrant le monde des humains et la question d'adaptation) sont bien intégrés au métrage avec son lot de scènes comiques (Drac et le téléphone portable, la sécurité pour l'apprentissage de vol pour les jeunes vampires, etc...). Par contre, on sent une cassure lors de l'apparition du grand-père de Mavis, comme si ce passage a été rajouté au dernier moment, car son existence n'était même pas mentionné durant les trois-quarts du film.
Si la fin est extrêmement prévisible, cela nous amène à une scène de tatane bien pêchu, digne d'un Tekken, tout cela mené avec humour.
Le métrage reste donc un cran en-dessous du premier volet, mais reste tout de même agréable à visionner.
L'humour est mené tambour battant, notamment grâce aux dialogues si caractéristiques d'Alexandre Astier. Si la plupart des doublages sont excellents, surtout celle d'Astérix par l'incomparable Roger Carel, j'émets quelques réserves sur certaines, notamment celle d'Obélix par Guillaume Briat (cela est dût plus au fait que j'ai la voix du regretté Jacques Morel en tête qui avait fait le doublage d'Obélix dans les autres films animés d'Astérix) et de Cubitus, doublé par Elie Semoun (plus une question de goût personnel, car je ne supporte par la voix de crécerelle de l'acteur).
Sinon, dans l'ensemble, c'est du très bon. Comme quoi, les meilleures adaptations d'une bande dessinée sont bien les films d'animations et qu'il est inutile de tenter de faire une adaptation live pour en faire un ratage complet (seul "Astérix et Obélix: Mission Cléopâtre" d'Alain Chabat est une exception).
Les scènes d'action sont bien réalisés, autant pour les scènes de fusillades que les chorégraphies martiales; d'ailleurs la scène du garage est tourné de telle façon que l'on a l'impression de se retrouver devant un jeu de combat, style Street Fighter.
Franchement, ce film est un très bon divertissement qui casse un peu les codes que l'on retrouve habituellement dans le cinéma français et qui, n'ayons pas peur des mots, peut se targuer d'être au même niveau que les films d'action américain.
Billy Zane, malgré son sourire ultra-bright, fait un peu pâle figure face à Treat Williams et James Remar au niveau charisme. On a même droit à une apparition de Cary-Hiroyuki Tagawa en guest-star, qui en impose toujours par sa seule présence.
Les rôles féminins ne sont pas en reste non plus: Kristy Swanson incarne à merveille la femme libérée courageuse, style garçon manqué; et Catherine Zeta-Jones est sublime en femme fatale.
Certains pourraient reprocher le côté kitch de certains passages, ou que Treat Williams cabotine un peu trop; mais je pense que c'est l'effet recherché, vu que le film s'adresse à un large public.
Pas le meilleur de la filmographie des "Trois frères", mais cela reste tout de même un très bon divertissement.