Monster Hunter possède des qualités indéniables : les effets spéciaux, les belles images, les combats très dynamiques, et le côté contemplatif d'un film avec assez peu de dialogues. On y retrouve la patte de Paul WS Anderson, un scénario de survie en territoire très hostile qui est plutôt prenant et atmosphérique.

Quelques petites incohérences scénaristiques sont toutefois présentes, comme

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le chasseur qui attaque Artemis alors qu'il semblait vouloir la sauver au début du film ; ou encore le fait que le capitaine Artemis se fasse empoisonner par un monstre-araignée, mais n'en subit aucune conséquence contrairement aux autres personnages.

En revanche, si j'étais prêt à placer Monster Hunter encore plus haut dans mon classement, j'ai été un peu refroidi par la fin du film, inachevée, qui assume clairement son cliffhanger comme un tremplin vers une suite. Beaucoup d'éléments restent en suspens. A titre personnel, j'aurais préféré que le film dure 15-20 minutes supplémentaires pour lui permettre de clore son scénario plutôt que de l'interrompre un peu trop brutalement.

Une excellente surprise ! En apparence, ce n'est rien de plus qu'un film catastrophe/survie assez classique. En revanche, je ne m'attendais pas à ce que ça soit également une comédie ! Le mélange des deux genres est assez atypique (et n'est pas sans rappeler The Host, autre film coréen, comme quoi ces derniers sont assez friands de ce genre de cinéma).
La première demi-heure est une pure comédie qui donne le don au reste du film. L'humour fait mouche, et on rigole beaucoup en compagnie de cette bande de joyeux lurons. La jeu d'acteur très théâtral et parfois burlesque des coréens est vraiment addictif. On s'attache vite aux personnages, et le dernier tiers du film propose même ses moments de tension et d'émotion. Pour un huis-clos, le film se renouvelle très bien dans ce qu'il propose. On apprend également quelques petites choses, comme le phénomène des dolines, ou la difficulté pour les séouliens d'être propriétaire en centre-ville. Je reverrai ce film avec grand plaisir, et je le recommande sans hésitation !

Un film un peu inégal porté par un très bon duo. La plupart des traits d'humour touchent juste et certains passages sont carrément hilarants ! A quelques reprises, de l'humour vulgaire/gras vient gâcher le tableau d'un film autrement très sympathique. Passé ces quelques fautes de parcours, il reste un film qui se regarde une fois avec plaisir pour quelques bonnes tranches de rigolade, mais ce n'est pas non plus une œuvre impérissable !

Vanilla Sky est un film particulièrement bouleversant. Ce qui commence comme un drame plutôt classique s'avère en réalité être

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un thriller de science-fiction (balise spoiler pour garder la surprise si vous ne l'avez pas vu), un revirement scénaristique plutôt osé qui s'opère vers les 3/4 du film et qui fonctionne à merveille.

Il est assez rare dans un film que je m'attache à un couple, mais l'alchimie entre les personnages de Tom Cruise et Pénélope Cruz est bluffante. Je me suis laissé prendre au jeu, et la fin est parvenue à me submerger d'émotions comme cela a rarement été le cas dans un film où la relation amoureuse est au cœur du scénario.

Si je reproche au film d'être un peu trop long dans sa première moitié (c'est cependant un choix de réalisation), la deuxième l'élève immédiatement au rang de film culte, pour ma part.

Project Gemini est l'exemple typique d'une petite perle complètement occultée par de mauvaises critiques de la part des journalistes et du public.
Si par moments, quelques plans caméra sont clairement un hommage au Alien de Ridley Scott, il s'avère que Project Gemini trouve son identité dans le twist scénaristique, qui parvient à porter le film vers quelque chose de très profond, avec de vraies questions éthiques et existentielles. J'ai beaucoup aimé la façon dont les personnages ne sont pas vraiment ce qu'ils semblent être au départ. Les effets spéciaux sont très soignés, ce qui est bien souvent le cas dans les films de SF russe.

Très agréablement surpris par ce film, on sent que Besson a voulu s'amuser avec sa licence à succès. Le résultat, c'est un concept plutôt original (film d'horreur dans l'univers d'un film d'aventure/animation qui brise le 4ème mur). Une poignée de jeunes acteurs méconnus mais prometteurs (dont Mathieu Berger, sosie français de Nicolas Hoult !). Les images sont belles et rappellent la direction artistique de Besson, même si ce dernier n'est pas derrière la caméra. La chute est plutôt originale, et même si le film suit plus ou moins les codes d'un film d'horreur, on reste rivé à son canapé car on sait qu'il va arriver des choses, mais on ne sait pas quand...

Une réalisation aux petits oignons avec des plans magnifiques, un jeu d'acteur incroyable et une tension extrême. Outre ses qualités scénaristiques en tant que film d'angoisse, c'est une vraie leçon de réalisation lorsqu'on s'attarde un peu sur les choix visuels (les travellings "à travers le plancher", ou l'ombre de Harrison Ford derrière le rideau vu à travers le rétroviseur de la voiture... un régal pour les cinéphiles!). Certaines scènes mériteraient leur place dans le panthéon des scènes d'horreur d'anthologie

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(je pense immédiatement à la scène de la baignoire à la fin du film !). C'est bien plus recherché qu'un simple "téléfilm" comme le laissent entendre d'autres commentaires, puisqu'un long-métrage ne se résume pas qu'à son scénario...

Des effets spéciaux époustouflants au service d'un scénario prenant et d'une ambiance particulière, avec des révélations bien ficelées dans la deuxième moitié du film.

COMA ne s'embarrasse pas d'un prologue interminable mais démarre immédiatement dans le cœur du sujet. J'ai beaucoup apprécié le fait d'être plongé dans l'univers dès la première minute.

Friands de SF, les Russes ne sortent pas toujours des films spécialement mémorables, mais COMA sort du lot grâce à un bon scénario et des acteurs très convaincants. Fans du genre, si vous recherchez du suspense et des effets spéciaux aux petits oignons, vous serez servis !

Un film très violent, de la violence crue et gratuite, montrée à l'écran pour choquer le spectateur, aucune finesse dans la réalisation. Si vous comptiez voir un thriller psychologique à la "Duel" ou "Une Virée en Enfer" passez votre chemin ; sauf si vous prenez du plaisir à voir de la torture et du sang à l'écran...

Run Out est une déception sur tous les aspects : mauvais doublage, réalisation très chaotique (les plans, le filtre saturé de contraste...), certaines scènes beaucoup trop longues (le témoignage de la femme, ou le dernier plan du film sur le parking...) et d'autres qui ne servent à rien d'autre qu'à gagner 2 minutes de film... certains films ont des scènes coupées, Run Out semble être intégralement monté à partir de celles-là. Seul le jeu de Paul Walker est convaincant (nul doute que sa tête sur l'affiche du film est le seul élément qui aura permis au DVD de se vendre)
En définitive, un sujet intéressant mais peut-être trop ambitieux pour un film qui n'effleure que tout juste la surface ce ce qui aurait pu être un thriller a rebondissements, mais qui ne se résume au final qu'à un polar qui ne monte jamais en tension et qui n'explose pas à la fin.

Un film extraordinaire en ce qu'il arrive à nous mettre dans une tension extrême avec pourtant peu de moyens (moyens matériels, j'entends, le film dispose toute de même d'un budget, de trois acteurs exceptionnels et d'une maîtrise de l'ambiance aux petits oignons... surtout l'environnement sonore) : imaginez, trois acteurs, deux caméras, une forêt, pas d'effets spéciaux visuels, et pourtant... une expérience qui glace le sang !

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j'entends encore les bruits de pierre et les cris de Josh qui résonnent au loin dans la pénombre....

Une vraie leçon pour les films d'angoisse modernes, qui prouve qu'il n'est pas indispensable de tout montrer à l'écran, et que la vraie peur, elle, c'est celle qui est hors-champ et qui fait carburer l'imagination...

Une histoire mignonne avec de jolies animations et des personnages attachants. Les doublages sont de qualité (Jacques Balutin, Jackie Berger, Gérard Hernandez...) à l'exception de la chanson de Timmy dont le chant est un peu catastrophique... Le film n'est pas bien long (une bonne heure) mais se laisse regarder avec plaisir.

J'ai acheté ce DVD par pure curiosité sans savoir à quoi m'attendre, parce que les avis sur internet sont très mitigés.

Eh bien, je ne comprends pas l'acharnement des mauvaises notes données à Kill Chain (type Allociné) car c'est un film dont le déroulement est tout à fait unique avec un maîtrise parfaite de la tension et du suspense. Les évènements qui ne semblent faire aucun lien entre eux au début finissent par se rejoindre. La fin, très inattendue pour ma part, est tout à fait surprenante.

Kill Chain est un film d'une rare intelligence, l'élaboration du scénario est très travaillée et la majorité des acteurs, que je ne connaissais pas du tout, campent leur rôle à la perfection.

Alors pourquoi de si mauvaises critiques sur ce film ? Mystère. Faites-vous votre propre avis, surtout si vous aimez les thrillers à suspense et à rebondissements. Bien évidemment, on peut ne pas aimer la façon dont l'histoire est racontée (c'est un film qui requiert de la concentration), mais ne tenez pas compte de ceux qui vous diront que Kill Chain ressemble à tous les autres films d'action et qu'il n'a aucune originalité, car ceux-là n'ont sans aucun doute pas compris grand chose à ce qu'ils ont regardé.

Un film incroyable ! Le Casse jongle avec beaucoup de subtilité entre différents genres (j'ai même attrapé un fou-rire lors de la première moitié). Je ne peux pas trop en dire pour ne pas briser la surprise, mais une rupture s'opère dans la deuxième moitié de l'histoire et l'ambiance change radicalement.
Le duo de personnages incarnés par Nicolas Cage et Elijah Wood est intéressant et complexe. Certaines scènes, silencieuses et très visuelles (il s'agit du premier long-métrage des réalisateurs qui n'avaient auparavant réalisé que des clips musicaux) ont un côté contemplatif qui marque les esprits.
La réalisation est impeccable et a sa propre identité contrairement aux dizaines de films de braquage à grand spectacle qui se ressemblent tous et qui ne se démarquent pas. Une belle découverte !

Un film très particulier raconté de façon très particulière. Il n'est à ranger dans aucune case car il est un genre à lui tout seul !

Sucker Punch est un coup de cœur pour ma part, je n'avais jamais vu de telles idées mises en image auparavant. C'est le genre de film qui ne peut se raconter qu'a travers un écran, et le support cinématographique est exploité à fond. L'ambiance est lourde et pesante et les scènes oniriques permettent de souffler un peu dans cet univers macabre. La réalisation est impeccable, Zack Snyder maîtrise sa caméra de façon millimétrée, surtout avec cette magnifique scène d'introduction qui se passe de dialogue.

Je ne recommande pas ce film aux plus jeunes ou au personnes sensibles car il traite de sujets particulièrement sombres

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le viol, le meurtre, la dépression, la lobotomie, j'en passe... ! bien que la réalisation lui donne un air léger dans le sens qu'elle ne montre pas une seule seconde la violence à l'écran.

Tout est maitrisé dans Sucker Punch. Il vaut sacrément le temps qu'on s'y attarde car il ne ressemble à rien d'autre. Le retournement de situation et la fin surprenante en font un film tout à fait savoureux.

Encore plus drôle que les précédents, en tout cas j'ai beaucoup ri avec celui-ci, surtout la complicité partagée entre Gru et son frère. L'humour est peut-être un peu mieux pensé pour les adultes (notamment les nombreuses références aux années 80 avec le personnage de Bratt). L'animation est très soignée et encore plus belle que les deux premiers volets. La saga a réussi à se renouveler avec une histoire pleine d'action et de suspense, et de nouveaux personnages hauts en couleurs. J'adore !

Les avis de Rocketman sur cette page Cinenode me laissent perplexe. Comment peut-on parler de "déjà-vu" et de scènes "prévisibles" dans un biopic ? Le film est surpervisé par Elton John lui-même et quasiment fidèle dans ses moindres détails à la réalité. Il s'agit bien de la vie d'un personnage réel, et pas d'un film de science-fiction, normal que les rebondissement soient moindres, non ? Ici, on raconte plutôt la descente aux enfers d'un artiste accompli qui a malheureusement été entouré par les mauvaises personnes au fil de sa carrière.
La formule "comédie musicale" marche très bien car elle permet de découvrir les chansons et le contexte dans lequel elles auraient pu être composées.
Bref, pas besoin d'épiloguer, si vous êtes un tant soit peu cinéphile et passionné de musique, courez le voir, c'est un film savoureux, une histoire touchante, une réalisation impeccable. Un très beau film en somme.

J'ai regardé à nouveau Fourmiz d'un oeil adulte l'autre jour, et je me rend compte que la moitié des dialogues et des traits d'humour sont subtilement destinés aux adultes. La parodie d'acteurs célèbres en fourmis (Woody Allen, Sylvester Stallone...) est tout simplement géniale. Les messages sont forts aussi. Cette double lecture du film en fait un classique qu'on apprécie découvrir sous un autre angle lorsqu'on le regarde à nouveau 20 ans plus tard.

Les lecteurs de Sphere ne sauront qu'apprécier l'exhaustivité et la justesse de cette adaptation cinématographique
qui s'offre même le luxe de quelques scènes inédites. Un film intelligent pour les spectateurs intelligents qui sauront, au-delà du divertissement, y déceler des messages forts et apprécier la construction parfaite du récit et le déroulement de son suspense. Un des meilleurs fils de SF / intelligence extra-terrestre que je connaisse.

Phénomènes part d'un postulat intéressant et certaines scènes auraient pu devenu cultes dans le cinéma d'angoisse, mais un gros défaut vient briser le génie de Shyamalan : les scènes gores et franchement dégoûtantes. Le réalisateur nous a prouvé qu'il savait suffisamment maîtriser les codes du suspense pour nous faire peur sans montrer explicitement les choses à l'écran.
Certaines scènes de ce "Phénomènes" auraient été franchement excellentes si elle n'avaient pas été poussées jusqu’à montrer les "suicides" plus dérangés les uns que les autres. Ce choix gâche à mon sens l'intégralité d'un film qui aurait peut-être pu devenir un classique du genre.

Psychose 2 est un film étonnamment excellent. Psychose premier du nom est de ces films dont on n'attend pas de suite, et l'on se demande comment l'histoire pourrait continuer sans tomber dans l'ennui et l'inutile. Pourtant, ce tour de force est réussi : Psychose 2 n'a aucun temps mort comparé au premier film (tourné 20 ans après il est sans doute plus moderne et dynamique dans sa réalisation), mais il fait pourtant hommage au maître de l'angoisse tant le suspense, les effets et les prises de vue sont maîtrisées. Le scénario tient la route et propose une fin vraiment intéressante.
Les puristes se contenteront sans doute du premier ; les plus curieux verront dans ce deuxième opus un très bon film porté par Anthony Perkins.

Un très beau film sur la pureté de l'amour et le droit d'être amoureux. Bien qu'il date, le film se laisse bien regarder, il n'y a pas de longueur et le message est fort (le dernier plan du film l'est encore davantage). Mel Gibson jeune est adorable dans son rôle et le film véhicule quelques temps forts. A voir !

Il y en aura toujours pour descendre un film, mauvais ou excellent, sous prétexte qu'il est inspiré d'un jeu vidéo. Pour faire court : les scènes d'action sont dynamiques et les mouvements de Lara sont très fidèles au jeu ; les deux tombeaux présent dans le film sont atmosphériques et renvoient à l'ambiance de ceux de la saga vidéoludique, de par leur architecture et leurs énigmes. Enfin, Françoise Cadol qui double officiellement Lara dans les premiers jeux, double également Angelina Jolie.
Quoi d'autre ? Il s'agit d'un film Tomb Raider qui ressemble à s'y méprendre à un jeu Tomb Raider. Pari réussi.

Fan de la première heure de la tétralogie de Philip Reeves, j'ai été très excité à l'annonce de l'adaptation de cet univers unique en son genre !

Résultat : le film est vraiment à la hauteur. Les effets spéciaux sont exceptionnels et les décors fourmillent de détails, rendant justice au style très visuel de Reeves. Les acteurs sont particulièrement bien choisis, notamment Tom Natsworthy et son attitude un peu dégingandée et innocente.
La trame scénaristique est particulièrement fidèle au livre, à l'exception de certains passages vers la fin, qui rendent peut-être le film un peu plus "tout public" (

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Katherine, la fille de Valentine, meurt poignardée par son père en tentant de sauver Hester, dans le livre[/spoiler]). Le personnage de Hester aurait pu être davantage renfermé sur lui-même, impulsif et colérique comme dans les deux premiers romans, mais elle semble s'adoucir beaucoup plus vite à l'écran.
En revanche, je souligne la fidélité des décors qui sont exactement à l'image de ceux que l'on s'imagine en lisant le livre (notamment la cité de Shan Guo).

Bravo au réalisateur qui a su poser les bases d'un univers complexe, et raconter une histoire en seulement 2 heures. La suite est encore plus spectaculaire et j'espère qu'elle sera également adaptée car elle aborde certains points évoqués dans le film plus en profondeur ([spoiler]la cité de glace Anchorage, le projet Lazarus et ses hommes de métal...).

Pendant tout le film, la balance a penché de "très bon" à "moyen". Je ne m'attendais à rien avec Seven Sisters (d'ailleurs un titre anglais traduit en français par un autre titre anglais, parce que notre langue française est sans doute trop pauvre pour le cinéma ?). J'apprécie la SF dans la même veine que Time Out, et ce film avait l'air d'y ressembler un peu. De manière générale, le film est bon, mais très imparfait.
Le jeu d'acteur est superbe pour tous les personnages, bien que j'aurais aimé voir davantage Willem Dafoe que pendant les 10 premières minutes du film.
Je retiens de Seven Sisters quelques petits points noirs que je crois bon d'indiquer : le film a son lot de scènes sanglantes, même si tout n'est pas forcément montré à l'écran, je commence personnellement à me lasser des films de SF qui font systématiquement intervenir des

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doigts et des yeux découpés (sans blague, c'est au moins le 4ème film du genre que je compte qui utilise des yeux retirés pour passer outre un scanner rétinien ? Visiblement cette technologie est dangereuse ![/spoiler]
Quelques choix scénaristiques un peu étranges, voire douteux : [spoiler]la police qui n'hésite pas à canarder tous les citoyens dans la rue pendant qu'elle poursuit la fugitive ?[/spoiler]
La fin avait un arrière-goût de déjà vu, sans doute parce qu'elle ressemble à [spoiler]celle de Soleil Vert : une entreprise qui maquille des meurtres sous le masque d'actions bénéfiques pour pallier le problème de la surpopulation.

Il y a un registre de film que je n'aime pas, c'est celui des thrillers politiques. Mais comme j'adore Liam Neeson, je me suis dit qu'il fallait quand même que j'essaye.
Je n'ai pas accroché malheureusement. The Secret Man est un film qui nécessite de solides connaissances sur les affaires américaines, le scandale du Watergate et les rapports entre le FBI et la Maison-Blanche. C'est un univers qui ne m'intéresse pas du tout à la base, et je m'attendais à ce que le film apporte plus d'explications à ce sujet que je connais très mal, au travers d'un acteur que j'aime beaucoup. Au lieu de cela, le film va très vite dans son déroulement, et si l'on est pas déjà documenté un minimum, c'est difficile à suivre.