Commentaires de films faits par beckygirly
Répliques de films par beckygirly
Commentaires de films appréciés par beckygirly
Répliques de films appréciées par beckygirly
On retrouve aussi quelques clichés de thriller du type tout le monde est suspect; chacun y passe pour avoir ensuite un pseudo retournement de situation qui ne m'a pas le moins du monde surprise car prévisible.
On passe quand même un moment agréable.
Ça se laisse regarder, mais sans plus.
On passe un agréable moment, mais ce troisième opus ne restera pas mémorable.
Le film part sur quelque chose d'angoissant, choisissant de montrer tout d'abord une personnalité dangereuse, qui enlève et séquestre trois jeunes filles sans qu'on en comprenne la raison. C'est tordu, mais on accroche facilement à l'intrigue. Une ambiance se crée dans ce pseudo huis-clos. Les filles ont des réactions différentes et intéressantes, tentant de vouloir s'échapper. Les deux amies m'ont plu pour ce côté combatif, à ne pas vouloir rester les bras ballants à attendre que quelque chose n'arrive. Et puis il y a Casey, qui semble résolue et même si elle tente de parler aux personnalités qu'elle va rencontrer, son attitude d'abord passive la transforme en quelqu'un de peu sympathique.
Le récit évolue donc entre les personnalités de Kevin: on comprend qu'une Bête doit venir les rejoindre, qu'ils ont besoin des filles pour cela et qu'il faut maintenir les apparences avec le monde extérieur.
Ce mélange est bien dosé au départ, et puis ça commence à partir en cacahuètes comme c'est pratiquement toujours le cas pour ce réalisateur. On tombe dans du pseudo fantastique avec l'arrivée de cette bête aux facultés non humaines. C'est d'une facilité déconcertante et maladroite, éloignant du coup le film de son fil rouge du début. Une personnalité humaine mais sociopathe aurait été bien plus intéressante et plus réaliste que ce pseudo Wolverine de la fin.
Outre cela, tout au long du film on nous présente des souvenirs de Casey, et bien conditionné comme nous pouvons l'être on pense naïvement que cette épreuve va l'aider à s'en sortir dans sa famille. Non, son histoire personnelle retombe comme un soufflé, n'apporte rien à la fin à part une tentative ratée d'exorcisme de ses sentiments pour son oncle sur la bête. Trop facile, à nouveau.
En ce qui concerne l'enlèvement, je n'ai pas compris son utilité. J'ai trouvé les explications confuses et emprisonner les filles semble simplement servir de prétexte pour amener le fantastique, absolument hors sujet pour le coup.
Et finalement, que dire des multiples personnalités? Kevin en a 23, on en voit 8. Quel est l'intérêt de faire grossir le nombre si les autres n'apparaissent et ne servent à rien? Il aurait été bien plus pertinent de ne parler que des 8 que l'on voit.
Bref, dans l'ensemble le thème est vraiment intéressant, mais Shyamalan part encore et toujours dans des délires qui cassent le rythme et la bonne marche du scénario. L'histoire aurait été bien plus terrifiante sans ce raout ridicule du fantastique et la profusion inutile des personnalités.
Sous des airs de faux huis-clos, le film tente de nous faire frissonner avec des morts qui peinent à arriver et qui sont loin d'être effrayantes. Alors qu'il y avait matière à jouer sur une terreur psychologique due à l'isolement et l'attaque surprise, le scénario se contente d'être inexistant et enchaîne les scènes insipides les unes après les autres.
Que dire du twist final qui se veut déroutant mais qui est prévisible dès le départ?
Rien ne va dans ce film, du scénario vide en passant par un jeu d'acteur anodin, une musique horripilante et une réalisation désastreuse.
Cependant, malgré des tentatives comiques, le film s'essouffle rapidement et on s'ennuie plus qu'on ne rie.
Lang maîtrise son film d'une main de génie, jouant sur les images et les dialogues au fort impact. On est happés dans le récit et on en ressort avec une réflexion intéressante.
Un film à découvrir.
Les personnages ne sont pas attachants, l'héroïne est énervante. Quant au fantôme, il est juste grotesque dans son apparence et ses actes. Ça donne un rendu risible, avec bien sûr tous les clichés des films de fantômes.
La réalisation n'est pas innovante et se contente du strict minimum, nous donnant un film sans saveur qui s'oublie aussitôt.
Bref, à éviter et/ou oublier sous peine de se faire souffrir inutilement.
Le film est long, trop long d'ailleurs pour ce qu'il en ressort: c'est à dire pas grand chose. On s'ennuie rapidement et on est content de voir le film se finir.
On se lasse vite tandis que le film s'étire en longueur avec des scènes insipides et qu'une conclusion peu satisfaisante survient.
Dès les premières images on est mal à l'aise face à ce personnage déroutant qui se révèle rapidement être un sociopathe. La prestation de Jake est bluffante de ce point de vue, notamment son regard dénué de toute émotion qui fait froid dans le dos.
Le scénario est intéressant: à travers la quête de reconnaissance de Lou, c'est avant tout la machine télévisuelle qui est mise en avant: tous les moyens sont bons pour faire de l'audience, même celui de manipuler les foules par les images. Le journalisme est remis en question: jusqu'où peut-on aller en restant dans la légalité? Qu'en est-il d'un point de vue morale?
Le journalisme ici se rapproche du paparazzi, sans état d'âme, sans respect pour ce qu'il filme. Seul le résultat des audiences et l'argent gagné compte, au détriment des gens. En cela le rôle de Lou est parfait: sa personnalité se confond avec son métier, laissant entrevoir un animal agissant dans son propre intérêt, sa propre survie.
La réalisation est très bonne, à l'esthétique soignée. L'alternances des plans "normaux" et du found footage donne un rendu excellent et nous amène dans l'alternance de spectateur et voyeur.
Même si il n'est pas exempt de défauts, ce film vaut le détour pour son mélange de genres, l'interprétation magistrale de Jake Gyllenhaal et pour cette critique de notre société voyeuriste qui amène à de graves dérives.
Le scénario est basique, déjà vu et très mal traité. Passé une première partie qui présente les personnages sans pour autant nous les rendre sympathique, on tombe dans la partie "horreur" où il ne se passe pas grand chose à part voir la stupidité des deux filles. Là où d'habitude on pourrait ressentir un peu d'empathie, de tension face à une pression pour survivre, ici la seule émotion ressentie est l'énervement et l'envie de voir les personnages mourir tant elles sont horripilantes.
Alors certes, on ne réagit pas de manière ordonnée sous le coup d'un tel stress, mais là on touche la débilité profonde
Les personnages n'ont aucun charme, autant les victimes que le tueur qui n'est qu'une pâle caricature de ce qu'on peut nous offrir dans ce domaine.
Wolf Creek est un film insipide qui n'offre rien de nouveau ni de correct. On s'ennuie du début à la fin.
L'introduction est prometteuse: la réalisation de Snyder est excellente et la photographie sublime. Cependant le scénario joue sur tellement de choses à la fois sans approfondir plus que cela que l'on reste sur du superficiel avec des personnages peu attachants qui n'ont l'air d'être là que pour donner du fan service à un certain public.
Ce film est tellement ennuyant qu'il a réussi à m'endormir 10 min.
Un film pas mémorable avec des idées parfois ridicules.
La fin est par contre une totale déception, s'éloignant du livre par une pirouette ridicule qui gâche le peu de plaisir procuré par le reste du film.
L'histoire se contente de rester sur les thèmes basiques des fantômes vengeurs, sans exploiter plus que ça le thème de la religion (une nonne méchante, c'est pas banal) ou tout simplement les personnages. Si il y a de l'originalité dans la mise en scène des meurtres, ceux-ci ne font pourtant pas sourciller.
Le film rate son but en n'étant jamais effrayant, n'offrant aucune tension: c'est plat jusque dans la réalisation, même quand cette dernière s'essaie à des scènes de found footage. Il y avait matière à créer de l'angoisse mais on passe à côté.
Quant au personnage de la nonne, ses apparitions relèvent plutôt du ridicule que de l'horreur.
Ce film est mauvais malgré un scénario intéressant qui aurait pu être bien mieux exploité.
Alors qu’on pourrait imaginer à ce niveau que le tueur veuille revenir achever son ancienne proie qu’est Arkin, on est surpris par la tournure que prennent les évènements. En effet, l’adolescente enlevée étant la fille d’un homme riche, un commando sur demande est mis en place pour traquer le collector dans son antre. Et pour se faire, Arkin va être sollicité. Ce revirement de situation est intéressant, car plaçant d’une certaine façon le chasseur en proie traquée. Mais bien évidemment, rien ne sera aussi simple. La chasse au tueur dans son propre milieu va revêtir une dimension horrifique. En effet, loin de rencontrer seulement des pièges, comme pour le premier film, on découvre toute la portée des actes du collector, ainsi que son musée personnel, faisant comprendre au spectateur qu’elles sont les motivations de ce fou dangereux : l’anthropologie, ou l’étude de l’être humain.
Outre ces scènes gores et la découverte de ce musée de l’horreur, le film offre des séquences intéressantes, autant sur le plan de la réalisation que sur une évolution du personnage d’Arkin. Ce dernier passe de la bête traquée qui veut s’enfuir à un homme rempli de haine et de vengeance. La prestation de Josh Stewart reste aussi bonne dans ce nouveau volet, soutenue par celle d’Emma Fiztgerald et du collector. On déplorera par contre une absence de profondeur dans les personnages de l’équipe de sauvetage, qui resteront de la chair à pâté sans aucun réel intérêt.
Bien que possédant des trous dans le scénario et certaines scènes loin d’être totalement réalistes, The Collection offre une suite convaincante et sympathique, plus poussée que le premier opus. La fin, entre autre, reste une des plus probantes et parfaites qui existent pour ce genre de films. Comme The Collector, ce film reste divertissant mais reste loin d’un film extraordinaire.
Si la première scène met en place une bonne ambiance, accentuée par le décor et une jolie photographie, la seconde partie du film perd en intensité et devient un pauvre thriller qui brûle ses cartouches dans un scénario vite banal.
Même si la fin révèle une légère surprise, le charme absent de l'héroïne, sa stupidité et trop grande curiosité, et surtout le cliché final auront eu raison de ma patience.
Ce film est donc une déception.
C'est assez long, sans réelle scène de frissons, de suspense ou de terreur. On attend plutôt avec lassitude qu'il se passe quelque chose, ou bien que le film finisse. Le fantôme est sans intérêt: son histoire, sa mort, le tout n'est pas plus convaincant que cela.
Le jeu des acteurs est horrible, on n'y croit pas une seule seconde.
En somme, un très mauvais film d'horreur qui rate son propos.
Le jeu des acteurs est bon, même si certains m'ont surprises.
Au final, c'est un film qui m'a ennuyé et que j'évite au possible.
Un film qui se voit et s'oublie aussitôt.
Si le propos de départ est intéressant (perte de vie sexuelle avec famille et routine) on tombe rapidement dans l'enchaînement de scènes peu amusantes, souvent clichés.
Même si le film ne se prend pas au sérieux, la sauce ne prend pas: entre un jeu d'acteur limites, un humour qui ne m'aura pas touchée, un scénario improbable et une réalisation basique, on a droit à une comédie potache qui pourra qu'être oubliée.
Tout va basculer quand elle rentre dans son petit village, retrouver une mère abusive. Les blessures se réouvrent, mais pas que... et c'est là que, malgré une ambiance intéressante, mon intérêt pour le film a commencé à déchanter. L'idée est intrigante, et le côté huis clos du village bien britannique (dans lequel même le taxi ne va pas!) apporte un côté claustrophobe au récit. Pourtant, la manière dont le tout va être exploité, et ce vers la fin, ne m'a pas convaincue et je suis restée plutôt perplexe face à un final étrange.