Commentaires de films faits par Lzelarme
Répliques de films par Lzelarme
Commentaires de films appréciés par Lzelarme
Répliques de films appréciées par Lzelarme
Les acteurs ont bien interprété leur rôle, surtout en ce qui concerne une telle intrigue.
En dehors du sujet
L'image du film est assez sombre, même en pleine journée, c'est terne et ça correspond bien à l'intrigue, la tension étant d'autant plus décuplée. On a les pensées de Dot, et une escalade d'évènements rapides, jusqu'à la fin où j'espérais que ça ne se termine pas de cette manière, me laissant sur ma faim, car j'avais envie de savoir ce que devenaient Dot et Nina. Mais rien, on a le droit à une dernière image d'elles, plus proches que jamais, alors que leur vie ne sera plus jamais comme avant.
L'acteur qui tient le rôle de ce monstre légendaire m'a tellement perturbé, que je ne suis pas sûre de pouvoir le regarder à nouveau.
Et merci pour les belles musiques de George Michael, je les réécoute depuis ce film !
Aucune alchimie entre les deux acteurs. Les musiques, on en parle même pas, la majorité ne vont pas avec l'ambiance du film. Et c'est long. Trèèèèèèèès long.
Je ne connaissais aucun acteurs principaux, du moins, je ne les ai jamais vu, et pourtant, le garçon joue plutôt bien, on sent qu'il fait son travail à fond. Mais alors la fille... Un vrai iceberg. Les auditions existent pour informations !!!
J'ai trouvé plus intéressant l'histoire sur les perruques que la romance en elle-même, c'est dire la catastrophe de ce film ! Le tout sur une ambiance vue et revue, et re-revue !
Mais je maintiens que l'acteur, Charles Melton, joue bien, c'est juste qu'on voit bien qu'il n'a aucune alchimie avec sa collègue à l'écran.
Cependant, ce qui m'a fait rouler des yeux, c'est le féminisme. Wouaw, encore et toujours. A force, ça devient de la propagande : il faut absolument que les filles deviennent indépendantes, fortes, non soumises, et blablabla... C'est vraiment un discours dont je me lasse, j'ai l'impression qu'on perd notre temps à faire des films uniquement pour une cause. C'est dommage, parce que le plus intéressant dans un film, c'est pas la cause qu'il défend, mais l'intrigue, la profondeur des personnages, l'ambiance, la photographie... Bref, c'était un film qui a été fait pour trois but : féminisme, féminisme et féminisme.
C'est vrai que les remakes live-actions de Disney, au bout d'un moment, eh bien, ça commence à casser toute notre enfance.
Dans l'ensemble, je n'ai pas été déçue, ni même saoulée de cet énième adaptation. En fait, j'ai beaucoup aimé.
Emma Stone ne s'est clairement pas foutu de son public en revêtant la coiffure mythique de la plus charismatique des méchantes Disney. Et bien que le personnage d'Estella passe de gentille à complètement tarée (même si c'est plus délirant que dangereux), on assiste à la naissance de Cruella, sa rencontre avec ses acolytes qui deviendront ses meilleurs amis et ses origines. Alors, pourquoi pas ?
Et bien, le seul petit bémol,
Je ne crois plus en la production de Disney, ils dénaturent tout ce qui nous a fait rêver, et Cruella a été dénaturé pour des détails mis de côté.
Disney, je vous déteste.
Premier point positif, je dirais la photographie, pour laquelle j'ai eu un petit coup d'oeil, ça correspond bien à l'image que j'ai de l'univers fantastique. Deuxième coup de coeur, ça concerne la bande son, même si je trouvais qu'on aurait pu en mettre des mieux.
Cependant, en points négatifs, on peut parler des dialogues fades sans grand intérêt entre Caleb et Sarah (des sourires timides par là, une danse qui se veut sexy par ici, et des phrases banales par là-bas, ça se résume à ça leur histoire d'amour). Autre point, Pogue se la joue ténébreux et mystérieux, peu proche de sa copine jusqu'à ce qu'elle soit en danger. Reid, le blondinet qui est censé être rebelle et anti-système, est en fait un petit con près à se mettre en danger pour se montrer alors qu'il met ses amis dans la merde (c'est normal qu'on doute de sa sincérité dès le début). Et enfin Tyler, l'inexistant pote toujours aux côtés de Reid sans jamais oser le contre-dire ou le raisonner.
Bon, le méchant est assez rapidement deviné, et malgré qu'il tente de se cacher tant bien que mal derrière son image d'élève modèle et propre sur lui. Et il en fait trop une fois que son identité est découverte. Sérieusement, les antagonistes méritent mieux qu'un patéthique grand sourire et des répliques que même des ados pré-pubères ne diraient pas entre eux !
Les personnages féminins sont caricaturaux à fond, des vraies chipies superficielles, gnan-gnan et sans réel importance à l'histoire. Je pensais sincèrement que Sarah (la nana qui sourit bêtement à Caleb, a un premier "rencard" dans un supermarché pour faire les courses pour la mère de Caleb et qui hypnotise sans aucune raison les garçons alors qu'elle est tout ce qui a de plus banal, comme une certaine Bella Swan), allait avoir un véritable impact dans l'histoire. Mais que neni ! À part se poser deux questions sur le beau Caleb (il a des abdos et une belle gueule, mais surtout une voix française tellement pas cohérente avec sa tête de gamin), elle n'est en aucun la victime principale du grand méchant vilain pas beau. Tout ce quoi elle sert c'est être la cruche de service qui fait un cauchemar et qui ne voit rien de ce qu'il se passe. Sa copine et colocataire (j'ai oublié le nom) est utile uniquement pour s'embrouiller avec son mec (soit le Dark Sasuke mais version John Carter aux cheveux mi-longs) et être un dommage collatéral parce qu'elle sort avec l'ennemi du méchant.
Dommage, car l'histoire de fond qui concerne l'histoire de la chasse aux Sorcières de Salem, les inconvénients du pacte de leur ancêtres (inconvénients que j'appelerai plutôt une malédiction) et les motivations du méchant étaient vraiment intéressants, tout aurait pu être plus approfondi et exploité mais les scénaristes et la production n'ont pas trouvé la motivation de pondre une bonne histoire (elle n'aurait pas été la meilleure de sa décennie, mais elle aurait pu marcher avec plus de volonté !).