Un excellent one-man show, rythmé et sans aucun temps mort. A voir et à revoir sans modération.

Film extrêmement cliché, même pour une romance adolescente. Le commencement de leur histoire d'amour est déjà très malsain : l'obsession de Raquel pour Arès, totalement amoureuse de lui alors qu'elle ne le connaît ni d'Eve ni d'Adam, et qui se jette dans ses bras au bout dune minute.
Pendant 1h30, rien de plus que des scènes intimes et des "je t'aime moi non plus". On tarde à s'attacher aux personnages principaux et encore, on n'y croit vraiment pas au vu des dialogues sans grande profondeur qu'ils ont entre eux.

Malgré une animation pas totalement aboutie et une narration un peu enfantine et prévisible, voilà une variation assez intéressante et finalement touchante autour de nos peurs et comment les accepter. Un film se situant quelque part entre "Monstres & Cie.", "Peur(s) du Noir" et "Vice-Versa".

Une film très sympathique, qui fait passer un bon moment. Un plaisir de retrouver Julia Roberts et George Clooney dans une comédie romantique, rappelant le début des années 2000.

Comédie romantique sortant des sentiers battus. Servi par de très bons acteurs, Gina Rodriguez et Damons Wayans Jf et tous le reste de cette joyeuse bande mettent au point des plans de dragues qui s'exécutent tel des scénarios bien rodée, jusqu'au plan de trop... L'excellent Tom Ellis apporte de la profondeur mais le but premier est de passer un très bon moment, ce qui est réussi.

Petite comédie bien sympathique. Les acteurs et actrices jouent juste et sont assez convaincants. Une histoire de famille avec un scénario léger et sans prise de tête.

Panayotis réussit son spectacle qui, a défaut de transpirer d'originalité, transpire de sincérité. Un beau coming-out bien réussi.

Un classique du genre, ce film est surtout connu pour avoir fait connaître Tom Cruise à ses débuts.

Ce reboot ne mérite pas toute les critiques subits pendant ça préparation. Le film est un bon divertissement qui n'es certe pas au dessus de l'original mais s'en tire mieux que nombre de remake. Les blagues sont parfois inégales ce qui a tendance a rendre certaines scènes lourdes. Les références et clins d'oeils au premier opus sont légions et raviveront les souvenirs des fans de la première heure.

Cette suite est pour ma part une réussite, et se classe au même niveau que le premier film. Des personnages toujours aussi drôles et une histoire toujours aussi rythmée. Un excellent divertissement.

Trois scientifiques, un peu barges et spécialisés en parapsychologie, sont prêts à tout pour débarrasser New York de ces fantômes. L'énorme et hilarant Bill Murray, accompagné de Dan Aykroyd et Harold Ramis, tout deux coscénaristes, forment ce trio complètement déjanté. Sigourney Weaver, Rick Moranis et Ernie Hudson complètent le casting de ce bon gros délire, mis en scène par Ivan Reitman. Avec son humour délicieusement décapant toujours aussi efficace, et malgré quelques effets spéciaux un peu vieillots «Ghostbusters» est devenu culte au fil du temps et se regarde avec toujours autant de plaisir.

Rares sont les seconds volets aussi bien que leur premier, mais Tous en scène 2 réussi cette prouesse.
Les chorégraphies sont géniales, les musiques et leur enchainement nous mettent de bonne humeur et contribuent à nous donner le sourire tout au long du film. Ultra dynamique, ce film d'animation se démarque aussi par son humour qui fonctionne très bien.

Malheureusement, OSS 117 n°3 ne renouvelle en rien le genre de la comédie française, bien au contraire. En dehors de quelques dialogues bien écrit, le film rame du début jusqu’à la fin, incapable d’accomplir quoi que se soit.

Une comédie de Michel Hazanavicius qui nous propose cette fois-ci de suivre les mésaventures hilarantes d'Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117, à Rio de Janeiro. Le film est drôle, frais, impertinent, aux répliques savoureuses et insolentes. La photographie, très colorisée, est belle et Jean Dujardin incarne avec classe et fougue son personnage d'espion français. La réalisation s'inspire de nombre de films des années 1950-1960, et plus largement de tout l'univers de cette période ; les clins d’œil et hommages cinématographiques sont variés allant de James Bond ("Goldinger", "Au Service secret de sa Majesté") à Indiana Jones ("Indiana Jones et la Dernière Croisade") en passant par les films d'Alfred Hitchcock ("Sueurs froides", "La Mort aux trousses", "La Main au collet"). Un deuxième opus plus fin et mature que "OSS 117 : Le Caire, nid d'espions".

Un divertissement de qualité. Découvrez OSS 117, le débile le plus élégant du cinéma actuel. Misogyne, raciste, inculte, machiste et doté d'un sens de la déduction proche de celui de Rantanplan, Hubert Bonisseur de la Bath est unique et inimitable. Toute ressemblance avec le français moyen est une pure coïncidence bien sûr. Qu'importe, la déferlante Dujardin emporte tout sur son passage. Sa force comique est d'une générosité impressionnante. Mimique, gesticulation, dosage de la voix toute la palette y passe avec une énergie et une bonne humeur auquelle il est difficile de résister.

Je suis totalement conquise par cette romance moderne ! L'histoire d'amour entre le prince Henry et Alex, fils de présidente des États-Unis, m'a complètement captivé. Les personnages sont si attachants et bien interprétés, et leur cheminement émotionnel est incroyablement authentique.

L'audace de cette relation, qui transcende les barrières sociales et politiques, est admirablement mise en scène. L'exploration des thèmes tels que l'identité, la pression médiatique et l'acceptation de soi ajoute une profondeur émotionnelle à l'histoire. La représentation LGBTQ+ dans le film est excellente, et elle renforce l'importance de l'acceptation et de l'amour, peu importe d'où l'on vient. J'ai été touché par la façon dont le film aborde ces sujets avec sensibilité et honnêteté.

Je recommande vivement "Red, White & Royal Blue" à tous ceux qui cherchent une romance moderne, intelligente et émotionnelle. Le film m'a fait ressentir une gamme d'émotions, et je suis convaincu qu'il touchera le cœur de nombreux spectateurs. Bravo à l'équipe pour cette réalisation exceptionnelle !

Les fans de la série seront gâtés. Miss Fisher est toujours aussi dynamique et excentrique. L’aventure est plutôt prosaïque, à la Indiana Jones, avec un soupçon d’Agatha Christie. Mais finalement ce qu’on aime, c’est le couple phare de la série, avec leur forte tonalité humoristique. On se régale de ce film, qui remplace la saison 4 qui ne sortira probablement jamais.

Les films de la bande à Fifi ont vraiment quelque chose de particulier, un humour que j'affectionne particulièrement, parfois lourd mais toujours bien trouvé. "Super-Héros malgré lui" ne déroge pas à cette règle. Chaque petit détail n'est pas anodin et est propice à une blague. Bien que parfois irréaliste, on sent le scénario travaillé avec une logique et une vraie histoire.

Dès les premières minutes on ne peut que constater les influences du réalisateur, surtout que la trame générale est très similaire au film "Dragons" (2010). Dans la première partie du film il y a un côté "Île au Trésor" qui est magnifiquement écrit, où en lieu et place de pirates en quête d'un trésor on a des boucaniers chasseurs de monstres. Aventure, action, humour, rythme, tout y est avec en prime des personnages magnifiquement croqués surtout le capitaine Crow au charisme dingue et sa seconde qui semble revenue de tout. La seconde partie est moins surprenante et plus comparable au canevas habituel du genre avec rebondissements convenus et attendus. Néanmoins, Chris Williams réussit à couper le cordon avec Disney pour voler de ses propres ailes avec ce film d'aventure qui ne laisse aucun répit, qui n'abuse pas des séquences émotion pour plus d'aventure.

Edith Pretty (Carey Mulligan) est une jeune veuve qui élève seule son fils unique dans le vaste domaine que lui a légué son mari. Pour faire des fouilles sur son terrain, elle embauche Basil Brown (Ralph Fiennes), un vieil archéologue autodidacte qui y fait bientôt une découverte étonnante : un immense tumulus funéraire renfermant une tombe saxonne et son trésor. La découverte suscite l'intérêt immédiat des experts du British Museum qui entendent se l'approprier.

Une excellente comédie romantique à voir sans modération.

Film pour cinéphile des films des années 60-80, histoire de capter les multiples références (situations, guest stars trouvailles visuelles) dont l'histoire est émaillée. Il s'agit plutôt d'une tranche de vie, qui permet à Quentin Tarantino de laisser aller son goût pour les dialogues longs et les situations burlesques teintées d'une certaine mélancolie sur un ''monde d'autrefois'' disparu. Un final grand guignolesque jubilatoire sans quoi un film de Tarantino n'est pas un film de Tarantino...

Déjà visionné plusieurs fois tellement je l’adore ! Une d’adaptation des romans qui colle très bien malgré quelques petites différences qui sont tout aussi bien. Alchimie entre les acteurs, que demander de plus à part une suite très très vite ?

Catastrophe et pourtant j'ai adoré le livre, un roman que j'ai lu il y a longtemps. Ce film ne lui rend clairement pas hommage, les personnages sont ridiculisés, c'est trop en mode " comédie" et non romance, ce qui saccage le roman car il y avait de quoi faire un joli film.
C'est rare que je trouve une adaptation aussi mauvaise, mais là on ne croit pas à l'histoire une seule seconde... Pas de fluidité, pas de profondeur, ou de connexion émotionnelle avec les personnages et pour finir aucune cohérence avec le roman.

Le film est bon dans l'ensemble, il s'agit d'un épisode intermédiaire (3/5) de la série. Les paysages, les costumes sont magnifiques, la musique dans la lignée des précédents, géniale. Il s'agit d'un épisode avec des révélations sur la famille de Dumbledore et notamment l'histoire avec sa soeur. Le film est en partie dirigé vers la communauté qui a lu les livres, mais nul besoin de les avoir lu pour comprendre le film.

Un animé très sympathique qui surfe sur la vague de l'hyper connexion des gamins aux réseaux et autres tablettes et smartphones. C'est très simple et gentillet puis plutôt joli en terme d'image. Le début m'a limite angoissé, chaque gamin avec son robot connecté, l'horreur. Puis ça s'anime et ça s'avère plutôt drôle et bien écrit. La morale finalement tourne plutôt vers l'amitié et les relations entre enfants, mais glisse tout de même un mot en faveur de tout cet attirail connecté. On a parfois l'impression d'un clip pour Apple mais au final ça passe bien même si le schéma narratif est des plus classique.