Un des classique des années 1990, tendre et touchant. Une réalisation classique et familiale dont l’atout principal reste le choix de l’animal : Willy, un orque de plusieurs tonnes, constitue l'élément qui permet au film de se débarquer des autres réalisations du genre à l’époque. De plus, à travers cette jolie histoire d’amitié, la réalisation appelle à la réflexion. Une agréable fable écologique et éthique.

Une visite des contes de fées avec les personnages de Hansel et Gretel. Les russes savent faire des divertissements sans mauvais goût, plutôt éducatifs et pas trop simplistes. Sans aller au delà du conformisme cette histoire explore les contes des frères Grimm dans un royaume un peu comparable à celui d'un Shrek avec des personnages imaginaires très sympathiques. Par ailleurs une très belle qualité graphique. Un très agréable dessin animé, pour petits et grands.

Un court-métrage bonus sur la saga Kung Fu Panda.

" The Kissing Booth 3 " est l'ultime volet de la trilogie à succès. J'ai trouvé ce troisième volet le moins réussi des trois, la faute à un effet de surprise qui a totalement disparu, une première partie lente, enfantine et agaçante. La suite de l'histoire devient plus intéressante avec nettement plus d'émotions et une histoire d'amour qui se suit comme une guimauve sucrée.

Un petit chef-d'œuvre car ce film raconte la dureté d'une jeune femme diabétique qui affronte la vie avec courage et d'un militaire qui était un ancien toxicomane. Tous les deux forme un faux couple, mais au fil du temps l'amour prends le dessus et ils vont se retrouver pris à leur propre jeu.

Un joli film avec une idée digne d'un Pixar. L'histoire aurait méritée d'être davantage poussée pour susciter encore plus de magie et d'émotions. Il y a des bons moments drôles, des jolis moments de tendresse, bref, un joli mélange qui donne un bon film dans l'ensemble.

Un film qui prend son inspiration dans Pirates Des Caraibes, Indiana Jones et la Momie, mais qui n'en a pas le talent ou le génie, tant tout parait trop calculé, artificiel. Ce film est l'archétype du film de Studio fait pour plaire au plus grand nombre, le réalisateur James Collet Serra est au service de celui ci et ne tente absolument pas de s’approprier Jungle Cruise, mettant ses compétences au service du studio plutôt que de créer son propre film. Le film souffre de la comparaison avec La momie dont il adopte le parcours, l’Amazonie remplaçant le désert d’Égypte, la structure de l'histoire avec un trio de personnage qui répondent à celui de La momie, mais en leur défaveur car aucun personnage n’atteins le niveau de celui du film de Stephen Sommer. Le personnage de Dwayne Johnson est peu charismatique, et fait pale figure par rapport à un Rick O Connel incarné par un Brendan Fraser plein d’énergie et d'humour. Le personnage incarné par Emilie Blunt est désagréable, agaçant au possible à l'opposé d'une Rachel Weisz pleine de naïveté et de maladresse dans la momie. Mais ce duo ne serait rien sans le comique de service incarné dans les deux films par le frère de l’héroïne. Ici c'est raté, l'acteur n'a pas le talent d'un John Hannah qui incarnait le même rôle dans la momie et la présence d'un réalisateur du niveau d'un Stephen Sommers. On voit l'intention, mais ca ne marche pas.
Jungle Cruise vaut la peine d'être vu une seule fois, mais je ne prendrai pas de plaisir à le revoir une aurtre fois, au contraire de La momie dont je ne me lasse pas de le revoir à chaque occasion.

Sorti de nulle part, du moins pour moi, Love And Monsters ne démérite pas face aux productions insipides du moment.
"Love and Monsters" se déroule dans un monde post-apocalyptique où 95% de la population a été anéantie par des créatures mutantes. Les survivants vivent reclus dans des bunkers et forment des colonies. Joel, l'un des survivants, décide de quitter sa communauté pour aller rejoindre sa petite-amie qu'il n'a pas vue depuis sept ans. Une décision risquée, car elle se trouve à plusieurs dizaines de kilomètres de lui et parce qu'il n'est pas le plus doué pour survivre seul dans la nature. On peut voir cela comme un voyage initiatique au cours duquel Joel va faire des rencontres plus ou moins marquantes.
Un excellent film, en espérant que Netflix décide de nous offrir une suite.

Une famille dysfonctionnelle, et terriblement attachante, va devoir sauver le monde d'une révolte d'IA. Imaginez "Tempête de boulettes géantes", "Lego le film" et "Spiderman Next Generation", secouez, et vous pourrez vous faire une idée des "Mitchell contre les machines". J'avais été enthousiasmé par la bande annonce, et si il a changé de nom avant d'atterrir sur Netflix. Si les films d'animation se suivent et se ressemblent tous un peu, que le retournement des machines, c'est du déjà vu, celui-ci c'est le haut du panier de l'animation ! C'est barré, pertinent, bluffant, et cette pépite marque par sa technique et son visuel (3D avec des inserts 2D), sa densité et surtout son sens du comique : ça fuse, ça dépote, c'est à se tordre de rire !

Digne d'un épisode de télé réalité. Personnages clichés, mal joués, un scénario vraiment bas de plafond et surtout une actrice principale insupportable. Les personnages féminins sont caricaturaux, égocentriques, l'insulte "p*te" est utilisée à tout bout de champ pour qualifier une rivale amoureuse... Un épisode des Marseillais en version longue...

Film sur le récit d'un livre biblique Esther qui n'est pas très long (10 chapitres pour 167 versets). Le style est hollywoodien avec des acteurs connus. L'ensemble est intéressant mais manque de cohérence à travers divers complots et caricatures, car si l'ensemble parait être assez près du texte, le peu qu'il s'en écarte forme des dissonances. Les aspects poétiques sont atténués par le manichéisme qui est montré entre autre avec le symbole nazi opposé à l'étoile juive, ce qui n'est pas dans le texte biblique. La fin du récit cède aussi à un bien pensant mondain en minimisant le massacre de leur ennemis par les juifs.

Hatchi (ou Hatchiko) est un très beau film qui relate une histoire vrai qui s'est passé au Japon en 1930. Dès le début du film on s'attache rapidement au chien, quant à la performance de Richard Gere elle est superbe ! Il n'y a pas vraiment de mot pour décrire ce petit chef d'œuvre, j'ai d'ailleurs versé quelques larmes pour Hatchi. Un film à voir sans hésitation, et petit conseil prenez une boîte de mouchoir.

J’avais des réticences en voyant les commentaires, mais vraiment foncez sans hésitation ! L’histoire à la fois douce et belle, nous présente la rencontre entre deux ex militaires Canin/Humain. Point de guerre ou de violence ici, juste l’apprentissage dans la connaissance et la confiance de l’autre.

Film léger et très plaisant sur le fameux thème du choix entre danse classique et danse hip hop
Plus subtil que la plupart des films du genre, bien joué et les deux personnages principaux sont touchants. Ne pas s'attendre à un grand film, mais un divertissement de qualité.

"Don Jon" après un départ assez déroutant qui pouvait faire craindre la mauvaise surprise, s'est révélé être un film finalement bien original, assez plaisant avec une certaine dose d'humour, ce qui ne gâte rien...
Et pourtant, sous cette apparence légère et détachée, cette histoire aborde de nombreux thèmes fortement intéressants et surtout assez bien traités ! En effet au fur et à mesure que l'on rentre dans la peau du héros aux multiples névroses, ce film prend de l'épaisseur en nous permettant de le découvrir alors que curieusement et parallèlement, Don Jon se découvre lui-même avec tout ce qui cloche chez lui. Ce point de vue est sans doute ce qui permet d'adhérer au film et de dépasser une certaine superficialité un peu limite du début...
Sans en dire plus, la suite et la fin vont enfin chambouler cet ordre bien établi et nous laisser pour conclure, avec une assez bonne impression en définitive.

Un vrai teen movie comme chacun en rafole. Une histoire bien ficelée, avec des acteurs qui portent avec brio cette petite comédie.

Nous retrouvons notre jeune et talentueuse Millie Bobby Brown dans ce second opus qui n'était pas trop mal dans son ensemble. J'ai passé un bon moment à suivre l'enquête avec notre détective Enola Holmes. La mise en scène est bien, les énigmes travaillées, un peu d'action. Un rythme et une fin convenable.

Un court-métrage bonus de la saga Hôtel Transylvanie, où Drac recherche un animal de compagnie pour le chien de son petit-fils.

"Hôtel Transylvanie : Changements monstres" animation américaine réalisée par Derek Drymon et Jennifer Kluska et sorti en 2022. Il fait suite à Hôtel Transylvanie (2012), Hôtel Transylvanie 2 (2015) et Hôtel Transylvanie 3 : Des vacances monstrueuses (2018). Un quatrième film avec une animation de qualité, nous retrouvons les personnages des 3 précédents opus. Du rythme, de l'aventure, de l'humour, parfois un peu trop gesticulant, c'est bien fait et le divertissement fonctionne.

Une enième adaptation des Liaisons Dangereuses, cette fois-ci réalisé par Rachel Suissa. Le film tente de faire comme "Sexe Intentions", c'est-à-dire de transposer le roman homonyme de Pierre Choderlos de Laclos à notre époque contemporaine, mais avec des personnages adolescents. Nous sommes donc devant un teen movie qui tente également de calquer les teen romance américaines. Même le roman de Laclos, qui date pourtant du dix-huitième siècle, est bien plus sulfureux que cette adaptation pour ados. D'ailleurs, c'est une adaptation très libre puisque, si le fond est plus ou moins respecté (c'est-à-dire l'histoire du pari), tout le reste est complètement déformé et ré-adapté, sans raison apparente en plus. "Sexe Intentions" réadaptait également des trucs à sa sauce, comme le contexte évidemment, mais gardait tout de même ce qui faisait l'essence même du roman épistolaire. Alors qu'ici, nous avons quelque-chose de très classique qui ne parvient pas à capter toutes les subtilités du roman.
Ainsi, cette version moderne des "Liaisons dangereuses" ne se contente que de piocher ça et là des éléments des précédentes adaptations et de la teen romance américaine sans ne jamais parvenir à être original, subversif ou surprenant.

Un film d’animation assez sympa, mais très peu original : des idées prises un peu partout dans les Disney existant. Et comme c’est « cousu de fil blanc », on voit la suite assez facilement ce qui enlève de l’intérêt au film.

Film sympathique, qui change des traditionnels films de Noël où l'on voit des gens pleins au as qui dégustent des grosses dindes en portant des pulls de laine hideux. Enfin une histoire qui met réellement en avant l'esprit de partage, de solidarité et de générosité qu'est supposé être celui des fêtes de Noël. Le tout entièrement calqué sur des faits réels (en dehors de l'histoire romantique, qui en soit, n'ajoute pas vraiment grand chose à l'histoire, honnêtement j'aurai tout autant apprécié sans).

D'un postulat assez classique, le dernier Pixar a beaucoup de choses à dire. Si on regarde sous la surface du film, on y voit de très belles choses, touchantes, humaines, avec un cœur digne de la firme. J'y vois une ode à l'amitié, à la différence, à l'aventure, à l'été, aux vacances et à l'Italie. La simplicité de l'œuvre la rend incroyablement attachante (ainsi que les perso qui entourent le long métrage). Le film a un énorme coeur qui fera fondre énormément de monde.

Raya et la légende du dernier dragon est une animation qui parvient facilement à s'inscrire comme un bon 59e long-métrage des classiques de Disney.
Le film se déroule en deux grosses parties. La première partie est une grosse introduction à l'animation, elle mêle immédiatement les arts martiaux, légendes et émotions. Quant à la seconde partie, elle s'avère plus aventureuse, c'est toute la partie quête mystique de cette histoire.
Au niveau des protagonistes l'héroïne est courageuse et vaillante, une vraie guerrière. Ses compagnons de voyage sont excellents également, à commencer par l'adorable et fidèle compagnon Tuk Tuk, ainsi que Sisu, la dragonne avec un drôle de caractère.
Tous les ingrédients sont réunis, notamment de l'action pour les beaux combats, de l'humour qui n'en fait jamais trop, de la petite magie trouve également place pour éblouir l'histoire et l'émotion rend le tout encore plus éclatant. C'est une belle et grande aventure, cette animation est une belle leçon de bonté, de partage et de force. En bref un voyage magique au cœur d'une belle légende à l'allure contemporaine, mais qui s'avère pourtant très moderne.

Voilà un nouveau Disney bien sympathique. On suit ici les aventures d'une famille protégée par une chandelle sacrée dans les montagnes de Colombie. Grâce à cette chandelle chaque membre de la famille obtient un don unique. Cependant, l'une des enfants, Mirabel, n'obtiendra aucun don. Elle devra découvrir pourquoi et tout faire pour sauver sa famille et la protection fournie par la magie de l'Encanto.
Des personnages hauts en couleurs, une histoire sobre mais efficace. Peu de surprise devant ce nouveau long métrage mais un plaisir intense à suivre et à écouter.

Une série de 5 courts-métrages où Olaf reprend des Disney cultes et les résume en quelques minutes.