Commentaires de films faits par Cababip
Répliques de films par Cababip
Commentaires de films appréciés par Cababip
Répliques de films appréciées par Cababip
Il vous fait passer des rires aux sanglots, de la stupéfaction au dégoût, et ce, en un temps record. Les plans, les images sont si belles, c'est un véritable plaisir pour les yeux, et comment ne pas parler des acteurs ?
Mention spéciale à Margot Robbie que j'ai tout simplement trouvé parfaite dans le rôle qui lui était assigné.
Bien sûr ce n'est pas un film à mettre devant tous les yeux, tant la violence est de mise et est presque omniprésente pendant trois heures. Toutefois je crois que lorsqu'on aime le cinéma on ne pourra qu'apprécier le magnifique travail fait par le réalisateur.
Je regrette toutefois quelques parties qui trainaient en longueur, notamment une introduction avec des plans de séquences qui s'enchainaient sans que vraiment nous n'en comprenions le sens.
J'avoue que je ne peux pas le classer dans mes films préférés, un peu trop "humour américain" pour moi, mais extrêmement divertissant, ça c'est certain!
A travers les yeux du personnage principal, Juif, Roman Polanski retrace une partie de l'histoire de l'holocauste en Pologne.
J'ai parfois eu beaucoup de mal à retenir mes larmes, devant des scènes parfois très cruelles qui nous émeuvent jusqu'à en pleurer.
La réalisation est extrêmement bien amenée, bien que je ne porte pas le réalisateur dans mon coeur, loin de là. Pourtant, on ne peut dénier son génie, surtout à travers cette œuvre, que l'on devine personnelle, tant l'émotion est palpable.
Et que dire d'Adrien Brody. Ses yeux nous dévoilent un monde dépourvu de toute trace d'humanité, et il jette presque un regard innocent sur tout cela, nous faisant oublier son rôle d'acteur, tant son incarnation est remarquable.
Je ne peux que le conseiller pour les personnes, comme moi, avides de films à empreinte historique et traitant de sujets durs, comme l'Holocauste durant la IIe Guerre Mondiale.
Pourtant, on ne peut nier que le temps passe extrêmement vite, nous sommes pris dans l'étau de l'action, subjugués par les cascades (quoi que parfois d'un autre temps...) et un casting vraiment réussi.
Toutefois, j'ai parfois trouvé la musique peu adaptée à la situation, ce qui rend le tout un peu comique.
Il me manque certainement un petit quelque chose afin de le placer en diamant. Néanmoins il reste merveilleux à regarder, et nous enseigne la fidélité sans faille des animaux envers leur maître.
Je ne connaissais absolument pas l'univers DC, et j'avoue que la multitude de personnages qui ont défilé devant mes yeux m'a quelque peu perdue par moments. Toutefois j'ai été très vite prise par l'action, l'univers très dark (que j'ai adoré) et le scénario qui ne laisse aucune place à l'ennui.
J'ai redécouvert un Robert Pattinson très sombre, incarnant parfaitement le rôle qui lui était assigné. Catwoman est également hyper séduisante, de par ses répliques mais également par le magnifique acting de Zoë Kravitz.
J'ai maintenant la folle envie de me plonger dans d'autres films DC, à commencer par la mythique trilogie de Nolan.
Honnêtement, j'ai eu la nausée. La nausée par ces images qui virevoltent, se répercutent en flash pour nous aveugler et rendent les 30 premières minutes difficiles à regarder. Mais aussi la nausée pour ces scènes qui nous montrent une Monica Bellucci dénudée, violée, d'un réalisme fou.
J'avoue avoir dû mal à mesurer véritablement le but premier du réalisateur en réalisant ce long-métrage. Mettre mal à l'aise, c'est certain. On ne peut dénier que nous avons envie de détourner les yeux des dizaines de fois, pour échapper à la violence dépeinte à travers les séquences souvent très longues (celle du viol dure plusieurs longues, très longues minutes).
Je ne pourrai pas le regarder à nouveau. Je voulais me faire mon propre avis, après toute l'attention qu'il avait reçu lors du Festival de Cannes en 2002, mais maintenant que cet opinion est fixé, un nouveau visionnage est impossible.
Honnêtement, je me suis lancée dans la version Redux de trois heures 22 sous les conseils d'un ami, sans savoir vraiment à quoi m'attendre. Je savais simplement qu'il était culte et qu'il traitait de la guerre du Vietnam. C'est tout.
L'intro est, bizarrement et paradoxalement, l'un des passages les plus réussis du long métrage. Il a quelque chose de percutant, poétique, et à presque une portée philosophique.
Puis on rentre dans l'histoire, dans cette mission donnée au Capitaine Williard : celle de tuer le Colonel Kurtz.
Il y a des scènes choquantes, de brefs instants où l'horreur est telle que vos yeux se détournent d'eux-mêmes. Puis la réalité de la guerre nous frappe en plein cœur, à mesure que la folie prend possession des corps et des esprits de chaque soldat à bord du bateau.
On y voit cette lente descente aux enfers, ces quelques années perdus au front, qui restent pourtant graver dans les mémoires de ceux qui le vivent. Et même si la violence était parfois trop accrue pour moi, je ne peux dénier que Coppola l'a parfaitement dosée. Il l'a mise là où il fallait, quand il fallait. Chaque combat, chaque scène de guerre est le résultat d'une folie qui grandit encore et encore, jusqu'à atteindre son paroxysme dans les trente dernières minutes, où à la fois les passages s'éternisent et semble toutefois s'accélérer, pour qu'il ne reste que
"L'horreur, l'horreur, l'horreur".
La seule chose positive, c'est qu'il m'a donné envie de redécouvrir et de relire All the bright places, pour me remettre un peu de cette douche froide.
J'avais entendu beaucoup d'avis négatifs à sa sortie, émis par les lecteurs autour de moi. J'ai attendu que le temps et la hype passent pour me faire mon propre avis, sans aucune autre influence que ma propre pensée. Et fort est à contester que je ne déroge pas à la règle : ce film est une déception, le brouillon du roman.
On parle ici de suicide, de mal-être, d'états dépressifs, de psychose et tout ce que j'ai ressenti c'est de la frustration, de la lassitude alors que des torrents d'émotions auraient du m'ébranler.
J'aime beaucoup les acteurs, mais clairement le personnage de Violet est rendu froid, parfois absolument insupportable, égoïste, et égocentrique. Je n'ai pas réussi à ressentir la souffrance de Finch comme cela avait pu être le cas dans le livre. Cela apparaît comme un cheveu sur la soupe à la toute fin, sans crier gare alors qu'il avait tellement de potentiel.
Bref, je l'ai vu, je me suis fait mon avis, et la seule chose que je puisse dire c'est : Lisez le livre. Period.
Même si on se dirige forcément vers des clichés, j'ai trouvé que cela était fait avec une certaine bienveillance, une connaissance qui rend les choses moins maladroites.
Je suis également heureuse d'avoir découvert de nouvelles musiques, qui rendent certaines scènes tout de suite plus puissante.
Bien qu'il ne soit pas autobiographique, on retrouve quelques pans de la vie d'Eminem, durant sa jeunesse : ce racisme anti-blanc, cette pauvreté, cette mère semi-absente... Toutefois, une bonne partie reste romancée, et cela se ressent par quelques clichés qui persistent.
Outre la performance d'Eminem en tant qu'acteur que j'ai trouvé formidable, je n'ai pas été vraiment subjuguée par le reste du casting (excepté peut-être Mekhi Phifer que j'ai trouvé plutôt bon). Il y a d'ailleurs certaines scènes qui m'ont dérangée, full cliché des années 2000 (je trouve le rôle de la femme pas vraiment mis en avant, voir presque dégradant.)
Le côté musical aurait pu être encore plus exploité, même si la BO est absolument formidable et connu de tous, même sans avoir vu le film.
"You can do anything you set your mind to, man"
J'ai déjà été perturbée pendant la première moitié du film par le fait que l'acteur masculin faisait extrêmement jeune, mais soit.
Outre cela, on se balade de clichés en clichés. Alors oui, c'est prenant, presque même addictif, mais je crois être lassée de cette histoire d'amour entre deux castes sociales différentes (avec toujours la jeune fille blonde et riche et le mec des quartiers)
On entretient, selon mon avis, la continuité de ces clichés dans la vie réelle.
Les acteurs ne sont pas mauvais, mais j'avoue ne pas avoir été transcendée de mille et unes émotions.
Bref. Une jolie romance de fin d'été, un peu de drama et quelque suspens à la fin, mais j'en attendais à peine plus.
(par contre cette langue est magnifique, et les musiques aussi, par la même occasion.)
Tout en poésie, il vous embarque aux côtés de Benjamin Button, né en 1918, mais avec cette particularité de naître vieux et de rajeunir au fil des ans.
Déjà, le synopsis même est très original. Nous suivons cet homme, qui n'a plus peur de vieillir mais bien de rajeunir, et dont toute la philosophie du film va tourner autour de cette idée-là. Comment devons-nous vivre quand nous sommes différents, et qui nous sommes amenés à ne pas vieillir en même temps que les personnes qui nous sont chères ?
L'idée de différence est extrêmement présente dans ce film, avec notamment l'ajout de personnages noirs, qui parlent sans en dire le mot de l'Apartheid dont ils sont victimes à cette époque aux Etats-Unis.
Ce n'est pas un film d'action, mais bien de réflexion. Quelques passages se trainent en longueur, on aimerait que le scénario prenne moins de temps, mais toutefois nous ne pouvons que savourer la qualité audiovisuelle, la qualité également du casting.
J'ai honte de le dire, mais c'est mon premier film où Brad Pitt est l'un des protagonistes principaux (si ce n'est ici LE personnage principal) et j'ai compris en quelques passages ce qui en fait sa renommée internationale. Outre son sex-appeal, il dégage dans son jeu d'acteur une aura, un charisme qui a n'en pas douter en fait un des meilleurs acteurs de cette génération, avec Clooney ou Di Caprio.
La fin est absolument splendide, même si je reste sur ma faim sur quelques éléments, mais qui n'entachent pas ma vision positive de ce film.
Je le recommande vivement (à trouver facilement sur Netflix)
(Vu en VO)
Honnêtement, il m'aura fallu plus de une heure pour m'imprégner de cette ambiance si particulière, qui en a fait le succès que nous lui connaissons.
Les premières minutes m'ont paru interminables, et je n'arrivais absolument pas à apprécier ce film. Nous ne pouvons lui enlever la beauté des scènes, la beauté des plans, qui sont, d'un point de vue cinématographique, absolument formidables.
Toutefois le scénario est, selon moi, beaucoup trop long à se mettre en place. Durant la première heure, il ne se passe rien. Ou alors rien de notable. Nous oscillant entre les problématiques autour d'Amélie, l'héroïne, et les personnages qui gravitent autour d'elle. Même si cette protagoniste est touchante, je l'ai parfois trouvé trop naïve, trop niaise. Une forme de caricature de la jeune femme un peu rêveuse. Cependant, nous ne pouvons enlever le talent d'Audrey Tautou dans son interprétation, brillamment réussie.
Parfois, au contraire, certaines scènes sont grotesques, beaucoup trop poussés, pour en faire quelque chose de banale, voir désagréable à regarder (je pense notamment à la scène avec Isabelle Nanty, dans les toilettes)
La dernière heure est bien mieux dosée, avec -enfin- une trame, une histoire, une sorte de suspens, ou au moins un certain fil conducteur de l'histoire.
Les musiques sont pour moi la plus belle réussite de ce film. Je connaissais déjà ces chef d'oeuvre bien avant de m'aventurer dans le visionnage de cette grande oeuvre du cinéma, qui ne m'a pas autant chamboulé que certaines autres personnes.
Amélie est tout de même un personnage intéressant à décrypter ; cette jeune femme qui construit son bonheur autour de celui des autres, et se perd pour ne vivre qu'à travers les émotions des autres. J'aurais aimé que le film soit encore plus axé sur cet aspect-là.
Il est en effet caractérisé par beaucoup d'humour, avec des scènes plutôt saugrenues, mais que l'on pardonne car cela reste un film de Noël.
Les acteurs sont plutôt bons, et clairement on se laisse happer par l'univers, et le film passe très rapidement.
Toutefois ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais il a les mérites d'être addictif.
Je me suis plongée dans l'histoire sans vraiment savoir de quoi cela parlait, juste par curiosité, car ma mère m'en avait plusieurs fois parlé.
Très vite, je me suis laissée embarquer dans ce scénario digne d'un géni, qui ne vous laisse jamais deviner de quoi sera fait la prochaine scène.
Nous retrouvons Red, vieux pensionnaire d'une prison, et Andy, fraîchement reconnu coupable pour meurtre.
Le duo, que nous suivons durant tout le visionnage est touchant, vrai, sans aucun ajout d'artifice. A leurs côtés, on se rend compte de la dure réalité des prisons durant ces années 1945-1950. La violence n'est pas censurée, et on est pris dans cet engrenage de coups, d'harcèlement à la fois physique et morale, qui nous tord l'estomac et nous rend hagard devant notre télévision.
La fin est plus que surprenante, tellement bien pensée et mon dieu le scénario est juste dingue.
Les 2h15 passe en cinq minutes, on ne voit pas s'égréner les minutes, juste pris dans l'histoire, dans cette amitié si belle et si pure que raconte Les Evadés.
A regarder, si vous êtes prêt à vous immerger dans une histoire sans demi-mesure, qui met en scène deux hommes tellement incroyables et met au devant de la scène les violences subites dans les prisons.
Parlons de Mr Keating. Que j'aime cet homme. Que j'aime sa folie, sa vision de la vie, du monde, de tout ce qui l'entoure. J'aimerais, avoir au moins une fois dans ma vie un professeur de son envergure. Un professeur qui défie les codes, qui défie la société et nous fait voir la beauté qui nous entoure.
A côté de lui, il y a Neil. Le chef du Cercle des poètes disparus. Une âme incomprise, remplie de rêves qu'on tente sans cesse d'étouffer. J'ai haï son père, mais comme tout le monde, je suppose.
Et puis il y a Todd.. Oh Todd.. A la fois timide, en retrait des autres, mais, quoi qu'on en pense, certainement le plus courageux de tous. Il a le cran quand il le fallait de défier tous ceux qui ne croyaient plus en lui. Et juste pour ça, je l'admire.
Alors vraiment, ce film est à regarder, une, deux, dix mille fois si il le faut, mais il faut le regarder, admirer cette œuvre qui mérite son succès.
Je suis rarement subjuguée par un film, mais là, Mon capitaine, je peux te dire que je le suis.
On ne va pas se mentir, ce n'est pas un scénario de folie, et les acteurs sont passables, mais il passe très bien le temps, et c'est dur de décrocher une fois lancé. J'aime beaucoup le côté princesse/non princesse de Mia et l'histoire d'amour est plutôt mimi.
Pour avoir lu la saga entière d'After, je m'attendais vraiment à quelque chose d'un peu plus abouti.
Il y a pleins de chose incohérentes par apport au livre, qui m'ont fait lever les yeux au ciel.
Déjà Hardin. Où est passé le Bad Boy sarcastique, aux remarques acerbes et désobligeantes ? Là, dès le début, on dirait un gentil garçon avec juste les tatouages pour rappeler son côté "mauvais garçon". Il est platonique, sans fond et même l'acteur en lui-même n'est pas fidèle au bouquin. Donc déjà dès le "recruement" il y a un problème pour moi.
Ensuite, les dialogues. Ils sont ennuyants à mourir. On en est presque arrivé à des "Salut, ca va? Oui et toi."... Et puis les voix françaises n'arrangent rien, ça c'est certain.
Le film se traîne en longueur, avec des scènes complètement nouvelles et inventées, et d'autres totalement zappées. Et même les plus importantes sont modifiées, très certainement pour faire du film un "Tout Public".
Vraiment déçue et si le 2 sort, je ne sais pas si j'irai le voir.
Thor est un personnage plutôt cool, les effets spéciaux sont impressionnants et la trame de l'histoire est addictive, même si elle manque un poil d'originalité.
Hâte de regarder le deuxième !
Dès le début, j'ai su qu'il allait me plaire. L'idée d'inclure l'histoire dans un monde futuriste ravagé, où l'on préfère plonger dans un univers totalement fantaisiste pour oublier les problèmes est quelque chose que j'ai beaucoup apprécié, tout simplement car c'est quelque chose de fortement probable.
Les effets spéciaux sont dingues, si bien qu'on en oublie parfois le monde réel, et j'a trouvé ça très fort de la part de Spielberg, quand on comprend la moral.
Les personnages sotn cependant ce qu'il y a, pour moi, de moins aboutis. Ils se dirigent vite vers le côté cliché, avec le geek ect... C'est mon seul petit regret du film.
La fin reste ouverte, et même si je l'ai vu il y a presque un mois, je me poe toujours des questions !
Je me demandais comment Tim Burton allait pouvoir retranscrire cette scène mythique, et mon dieu, il a relevé le défi avec brio ! Tout est beau : les images, la poésie et la subtilité de cette "hallucination".. Non vraiment, il n'y a rien à redire.
Au tout début malheureusement, j'ai tout de même trouvé que le film se trainait un peu en longueur. Je n'arrivais pas trop à savoir où est-ce que on voulait nous emmener, et malgré une ressemblance avec le dessin animé, j'avais vraiment du mla d'accrocher.
Mais heureusement pour moi, plus les minutes passent et plu on se laisse happer par la magie du scénario, et on oublie tous les petits détails qui m'ont chiffonnée au début.
De plus, les animaux mis en scène subliment le film, et je me suis attachée à chacun d'entre eux (oui je suis trop sensible aux petites bêtes moi :c)
La morale de la fin a fini de me convaincre, et si on me reproposait d'aller le voir, je foncerais illico !
Les personnages sont profondément attachants. Ils apportent une fraîcheur au monde des dessins animés. Ils sont drôles, nous font passer par mille émotions, et ce en à peine 1h30.
Le lien entre Harold et Crocmou est juste merveilleux. Il est tissé par des valeurs magnifiques, telles que la confiance et l'acceptation de chacun.
La morale de l'histoire est palpable durant tout le film et comment dire que je n'approuve x1000. Pour finir ce commentaire je vous recommanderais juste de foncer le voir !
Je ne pourrai donc pas faire la comparaison entre les deux réalisations, et je vais me contenter d'expliquer mon ressenti sur celui-ci.
Tout d'abord, pour ceux qui l'ignorent, Papillon est un véritable homme, et ce film est tiré d'une histoire vraie.
Nous plongeons dans les années 1930, entre les deux guerres, où le monde essaie de revivre sur les cendres de 1918, avant de replonger quelques années plus tard.
Papillon, le héros principal est un homme qui m'a tout de suite plu. Il a un je-ne-sais-quoi qui émane de lui, une espèce de force dont on ne peut même pas se faire idée. Et tout le long du film, l'acteur ne m'a pas déçu. Il joue à la merveille chacune des scènes, tellement bien que ça en devient surréaliste.
Le scénario se passe en Guyane, dans des camps de travail, qu'on aurait très bien pu appeler "Camp de concentration" avant l'heure. J'ai été révoltée par tant de violence, encore passée sous silence aujourd'hui. J'ai été agréablement surprise qu'il n'y est aucune restriction d'âge car, oui, on assiste à tout, et ça peut choquer les plus sensibles ou les plus jeunes.
Parfois, il y a quelques longueurs, mais c'est tout de suite repris par un moment d'action intense, haletant, qui vous empêche juste de cligner des yeux.
Au de-là de Papillon, j'ai adoré Louis. Il est humain. Il réagit comme monsieur tout le monde. Il a de grandes faiblesses, il nous fait bondir parfois par son manque de réactivité mais mon dieu qu'il est fort mentalement à sa manière.
Je crois que je ne peux que le conseiller pour tous ceux qui aiment les scénarios historiques, et je le déconseille pour les plus jeunes.
Bonne découverte tout de même pour se détendre et ne pas se prendre la tête !