Commentaires de films faits par morrigan
Répliques de films par morrigan
Commentaires de films appréciés par morrigan
Répliques de films appréciées par morrigan
Penny : Voyons voir... Vais-je passer ma dernière nuit sur terre à regarder maman et papa donner le change pour ne pas encore s'engueuler ? Ou dépenser dix ans d'argent de poche au centre commercial ? Trouve la réponse.
Will : Maman va être très énervée.
Penny : Et quelle sera la punition ? Privée de sortie ?
Audrey : Alors, vous trouvez pas qu’elle est bizarre ?
Mushnik : Ca c’est l’moins qu’on puisse dire. Mais ... mais qu’est ce que c’est que cette drôle de plante, Seymour ?!
Seymour : Je sais pas, une Dionée je pense, de la famille des gobe-mouches mais je l’ai encore trouvée dans aucun de mes bouquins. J’l'ai quand même baptisée. J’l’appelle ... une Audrey II.
Lisa : Oui, sauf qu'il a des déficits d'attention.
Danny : Ensoleillé.
Tommy : Ensoleillée ?
Danny : Ouais.
Tommy : Tu y es depuis 2 ans et c’est tout ce que t’as à me dire ?
Danny : Les Simpson passent 1h plus tôt.
Capitaine Red : Allons, allons, petit, soit raisonnable. Descends de là, viens par ici !
La Grenouille : Pour me faire manger ?
Capitaine Red : C'est une loi de la nature, foutredieu ! Le plus fort mange le plus faible. [Il coupe la voile sur laquelle se tenait La Grenouille qui, du coup, s'accroche au mât] Allez, quoi, descends, mets-y un peu du tien !
La Grenouille : Cannibale !
Capitaine Red : Mon petit cochooon...
La Grenouille : J'suis pas un cochon, j'suis La Grenouille, français de Saint-Malo. [Le capitaine Red donne des coups de sabre à la base du mât, à la manière d'un bûcheron] Le cannibalisme est un péché mortel. Ça vous portera malheur. Vous irez rôtir en enfer.
Capitaine Red : Que fais-tu de la confession ? Tu crois que le Bon Dieu l'a faite pour les merous ?
Belone : Faites pas ca, vous allez bousiller ma voiture....j´suis garé sous votre fenêtre, vous allez me tomber dessus à tous les coups...C´est une vieille voiture, elle est emboutie de tous les cotés, il y a que le toit d´intact...faites pas le con...
Patient : C’est grave ?
Block : C’est élevé.
Médecin : C’est à 42 que c’est grave. Il pourrait avoir des convulsions. Vous risquez une attaque. Y’a souvent la mort au bout d’ailleurs.
Ken : B-bien fait.
Melle Millerand : Vous ne préférez pas vous reposer ?
Pdt Beaufort : Me reposer de quoi ? Le repos, c'est fait pour les jeunes, ils ont toute la vie devant eux. Moi pas.
Capitaine de Morsac : Affirmatif, mon garçon. C'est le nom du navire.
Reia : Et Ma'i, il vient avec toi ?
Capitaine de Morsac : Affirmatif. C'est Ma'i quoi ? Ma'i tout court ?
Reia : Ma'i Mure-ore. Celui-qui-ne-peut-pas-mourir.
Capitaine de Morsac : Ma foi, voilà une qualité bien utile pour un soldat.
Ethan [à l'indienne qui vient de faire du café] : Est-ce que je peux en avoir, Madame Pawley ? [à Martin] Bravo. Je suis d'avis que Madame Pawley sera toujours une femme fidèle et dévouée.
Martin : Ça suffit. Taisez-vous. [à l'indienne] Oh, écoute ! Comment faire pour que tu comprennes que tu fais erreur ?
[Réponse en indien de la jeune fille]
Ethan : Elle dit qu'elle s'appelle "L'oie sauvage volant dans le ciel nocturne", mais qu'elle accepte que tu l'appelles "Écoute" si ça te fait plaisir.
Griff : T’en aurais pas oublié un par hasard ?
Paco : Lequel ?
Griff : Sac à merde !
Valéras : Lorsqu'il a débarqué au Malagawi, la situation politique n'était plus la même. Il n'était plus question d'exécuter Njala.
Colonel Martin : Surtout plus.
Le Ministre : Donc vous avez rappellé Beaumont.
Colonel Martin : Non, monsieur le Ministre.
Le Ministre : Pourquoi ?
[Echange de regards emmerdés de Valéras et de Martin]
Alice : Vous voulez un petit peu de cognac dans votre café monsieur le Ministre ?
Le Ministre : Je vous demande pourquoi vous n'avez pas rappellé Beaumont ?
Colonel Martin : Eh bien, parce qu'on a jugé opportun, en haut lieu, de signaler la présence de Beaumont au président Njala.
Le Ministre : Vous l'avez vendu.
Colonel Martin : Non... pas vendu, monsieur le Ministre. Donné. Par raison d'état, c'est gratuit la raison d'état enfin souvent...
Frank Castle : Je vais me débrouiller sans lui.
Philippe : Qu'est-ce tu racontes ?
Paulette : Hein ?
Philippe : Beau comme moi ?
Paulette : Non enfin, je veux dire beau comme tu l'avais trouvé beau toi-même.
Philippe : Ah oui, fausse joie.
Phoebus : Et ?
Marc-Antoine : Et j’ai bien envie d’vous mettre mon poing dans la figure.
Phoebus : Ah bon, comment tu vas faire ? Regarde, t’as oublié tous tes muscles à la maison. Tu savais pas qu’y’avait bagarre cet après-midi, du coup t’as pas pris tes affaires de sport.
Tony Blair : C'est quoi, cette histoire ? Qu'est-ce qui se passe ?
Cherie Blair : Va savoir. Diana ? D'une façon ou d'une autre, c'est toujours Diana !
Charles : Oui. Et si je foutais mon poing sur votre gueule ?
Peloux : C'est que vous n'êtes pas un vrai hippie.
Charles : Non. C'est que vous êtes un vrai con.
MacCleary : À condition qu'on tire lentement... je commence à rouiller.
Docteur Spiletti : Ça te ferait plaisir, espèce d'âne rouge !
Peppone : Mais, docteur !
Médecin : Médicalement, il est mort ! [Se penchant vers Spiletti] Il respire, c'est un fait. Mais c'est aussi un outrage à la science !
Perrache : Quoi ?
Toulouse : Ils l'ont raté. Charmant est à l'hôpital, il a reçu un bouchon de champagne dans l'oeil. On l'enterre tout à l'heure, vaudrait mieux qu'il soit mort.
Bertrand Barnier : Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ça lui fera une belle jambe !
Christian : 64 723 000 francs !
Bertrand Barnier : Quoi !
Christian : Je dis 64 723 000 francs ou 647 230 francs, si vous préfèrez.
Bertrand Barnier : Vous ?
Christian : Moi !
Bertrand Barnier : Vous avez hérité ?
Christian : Non, Monsieur.
Bertrand Barnier : Alors, d'où sortez-vous tout cet argent ?
Christian : Je vous l'ai volé.
Bertrand Barnier : Comment ?
Christian : Je vous dis "je vous l'ai volé".
Bertrand Barnier : A moi ?
Christian : A vous.
Bertrand Barnier [en riant] : Enfin, c'est pas possible !
Christian : Ah si si, je vous assure.
Bertrand Barnier [furieux] : C'EST PAS POSSIBLE !