On ne gagne pas en misant tout sur sa défense.

"Pourquoi l´homme est-il donc un loup
Cinq siècles et plus de barbarie
En aurons-nous un jour assez
Du sang des larmes et des cris"

Nous sommes ce que nous sommes

[Harley est devant la porte d'un magasin qui est en train de se faire braquer]
Braqueur : Le fric ! Ouvre ta caisse et file-moi le fric connasse !
[Harley rentre dans le magasin calmement]
Harley : Je pourrais avoir euh... pour dix dollars sur la pompe 2... Suzie ?
Braqueur : Eh couche-toi pauv' cloche.
Harley : Y a des trucs qui me foutent les boules des fois... Dans ta station service l'air est filtré, pur et frais, et il suffit que deux tas de merde se radinent pour que ça pue.
Braqueur : Je t'ai dit cou-couche panier espèce de trou du cul si tu veux pas que j'te fasse sauter la carafe.
Harley : Si on m’avait donné une pièce de 10 cents à chaque fois qu’un mange-merde m’a sorti son flingue, je serais à l’abri du besoin.

Bernie : Je sais pourquoi il pleut, il pleut parce que mes putain d'essuie-glace de merde sont morts, et que si je m'étais fait chier à les changer tu peux être sûr que le soleil brillerait... en pleine nuit.

Ryder : Les stations services vendent des cigarettes ?
Jim : Vous ne voulez pas d'essence ?
Sinistre énumérationRyder : J'ai pas besoin d'essence.
Jim : Qu'est ce que vous voulez ?
[Rires]
Jim : Qu'est-ce qu'il y a de si drôle ?
Ryder : C'est ce que l'autre type a dit aussi.
Jim : Quel autre type ?
Ryder : Celui qui était au volant de la voiture qu'on a passée, celui qui m'avait pris en stop avant toi.
Jim : Et il est resté dans la voiture ?
Ryder : Ah oui, ça j'en suis sûr. Il serait pas allé très loin à pied.
Jim : Pourquoi ça ?
Ryder : Parce que je lui ai coupé les deux jambes. Et les deux bras. Et la tête. Et je vais te faire la même chose.

[Dans le dortoir, pendant la revu du Sergent, quand il passe devant Fausse-couche]
[Le Sergent-instructeur US dans toute sa splendeur ;) ]
Sergent : Pfaffenback? Qui tu regardes comme ça ?
Fausse-couche : PERSONNE CHEF !
Sergent : Oh. J'ai même pas l'honneur de t'intéresser quand je passe devant toi ! P'tit gars ce genre d'attitude est suicidaire ! Je suis Dieu tout puissant et je peux t'en faire chier !

Gates : J’ai une proposition pour toi.
Eddy : C’est non Gates, même si tu prends un bain.

Tom : Est-ce que tu aurais laissé quelque chose derrière toi quand tu es venue foutre le bordel dans mon cerveau ?

Volney : Gregory, vos douilles ne sont pas aussi disciplinés que celle de Daslow.

Inspecteur de Police : Moi, les trafiquants de drogue, c'est comme ça que je les aime.
Inspecteur de Police : Pasteurisés.

Général Ross : Vous avez bien fait de nous appeler. Je dois savoir où il se trouve. Elle court un grave danger tant qu'elle est avec lui.
Doc Samson : De quel danger vous parlez ? Il l'a protégé. Vous avez failli la tuer.

Mac : On a affronté bien pire.
Indiana : Ah oui ? Quand ?
Mac : Flensburg, ils étaient le double.
Indiana : On était plus jeune.
Mac : Je suis toujours jeune moi !
Indiana : On avait des armes. Non ... baisse les bras s’il te plaît, tu m’fais honte.

Mme Clément : Michel, tu vas me faire le plaisir de te mettre un costume et une cravate.

Michel : Mais maman, les costumes et les cravates, c'est pour les gangsters, maintenant. C'est comme ça qu'on les reconnait. C'est les escrocs, les ministres, les trucs comme ça qui sont en costume cravate.

John : Et j’étais venu ici pour pouvoir bouffer du bubblegum et en cogner quelques un. Et comme j’ai plus de bubble gum ...

[J.A.R.V.I.S. crée le design d'une nouvelle armure couleur or]
J.A.R.V.I.S. : Le rendu est terminé.
Tony Stark : Un peu trop ostentatoire, non ?
J.A.R.V.I.S. : Oui, où avais-je la tête ? Vous êtes toujours si discret.
Tony Stark : D'accord. Rajoute un peu de rouge carrosserie.
J.A.R.V.I.S. : Oui. Ça vous aidera à passer inaperçu.

Sam : Magnifique ! Tu ressembles de plus en plus à ta mère.
Victoria : Alors tu vas bientôt commencer à me détester ?

Infirmière : Monsieur Bond ? On doit vous faire une analyse d'urine. Voudriez-vous remplir ce gobelet ?
Bond : D'ici ?

M : Trop d'éléments subversifs, c'est là tout votre problème.
Bond : Trop d'éléments subversifs ?
M : Oui, il y a des toxines qui détruisent l'esprit et le corps humain. Quand on mange trop de viande rouge, de pain blanc et qu'on boit trop de martini dry.
Bond : Vous avez raison, je devrais arrêter le pain blanc.

Gastié-Leroy : Les rouges sont les pays en guerre. Les jaunes ce en instance de l’être. Et les blancs, les salauds de pacifistes.

Homme : Vous avez mis la Suisse en jaune, ne me dites pas qu’elle prépare la guerre.

Gastié-Leroy : Un vieux rêve personnel.

« Ce n’est tout de même pas parce qu’on leur vend des armes, qu’on leur dit de tirer ! » général POIZEROT.

Garrison : Alors, qui a tué le Président ?
Ferrie : Oh, merde ! Mais vous allez pas arrêter, bordel ? Fait chier ! Qui a... Il est trop grand pour vous, putain. Vous réalisez pas ? C'est... C'est... Qui a descendu le Président ? Qui a tué Kennedy ? On s'en fout. Merde ! C'est un mystère. C'est un mystère enveloppé dans une devinette roulée dans une énigme.

[Antoine raconte à son ami Adrien la pièce policière qu'il écrit]
Antoine : Le maître-chanteur arrive de là, comme toi tout à l'heure, il vient là. Et quand il est là...
Adrien : Pan pan, tu tues.
Antoine : Comment ça, panpan tutu ?
Adrien : Pan pan, tu tues. Pan pan, tu le tues !

Joe [parlant à sa meteorite] : Ici sur terre on appelle ça une ville. C’est grand et rond, et dans les grandes villes tout le monde se déteste, et les gosses veulent te démolir la gueule.

Spider : Non mais je le sortirais.
Johnny : Comment ?
Spider : Anesthésie générale. Trépanation et ouverture au forceps.
Johnny : C’est ça. Et moi, je peux crever.
Spider : De toute façon tu risque la rupture d’anévrisme. Si j’te triture tu pourras peut être survivre. Tu perdras 2 ou 3 fonctions motrices, tu perdras constamment la mémoire au bout de 3 minutes, peut être 4.

Harry : Tim m’a dis que vous étiez coureur sur monoplace.
Cole : Exact.
Harry : Et maintenant vous voudriez piloter sur Nascar.
Cole : Exact.
Harry : Euh ... et vous vous y connaissez en Stock Car ?
Cole : Euh ... je suit toute les courses à la télévision.
Harry : Vous les suivez à la télévision.
Cole : Sur Canal Sport, ils font d’excellent reportages, c’est incroyable ce qu’on peux apprendre.

- Des vampires lesbiennes ? La prochaine fois, je me ferai peut-être sodomiser par un loup-garou homo !